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• 13 déc 2007

  14 déc 2007

  15 déc 2007

  Paris

  Conference, symposium - History

  Colonisation - évangélisation

  Les relations entre les pouvoirs coloniaux, les pouvoirs locaux et les missions

  Il s’agit d’étudier la première colonisation qui va jusqu’aux prémices de la période révolutionnaire (l’Indépendance américaine) et est axée vers l’évangélisation et le commerce, d’y voir les oppositions aussi bien que les complémentarités.On étudiera ensuite la seconde colonisation qui débute après l’abolition de l’esclavage et se construit sur des principes laïcs, notamment celui de civilisation.Il s’agira d’examiner les orientations, parfois contradictoires, des États colonisateurs, la manière dont les pouvoirs locaux ont reçu les missions, la position de Rome et de la Propaganda Fide, enfin, la présence transversale des différentes sociétés missionnaires.

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• 18 oct 2007

  Lyon

  Call for papers - Urban studies

  Cosmopolitanism and the city: urban production and consumption 1600-1800

  International Conference on Urban History, Lyon, 27th - 30th August 2008

  La session a pour objet d'étudier l'impact des échanges interculturels et des conflits ou contradictions engendrés par l'essor, aux XVIIe et XVIIIe siècles, du commerce mondial, en particulier la circulation croissante des biens de consommation de luxe orientaux, américains, européens : quelles furent les relations entre ville, cosmopolitisme, nationalisme, production et consommation ? Trois thèmes seront abordés plus précisément : le poids grandissant des importations exotiques sur la consommation européenne ; les influences du cosmopolitisme sur les producteurs et les consommateurs (langage, lieux, identités...) ; les conflits ou contradictions culturels, politiques et économiques induits.

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• 22 mai 2007

  Paris

  Study days - Ethnology, anthropology

  Violence, souffrance, mémoires

  Journée d’étude IRIS-EHESS

  Les actes qui visent l’intégrité corporelle et leurs effets constituent bien le cœur empirique des objets d’enquête que nous abordons afin d’éviter de réduire la violence à ses seules traces discursives, ou aux usages métaphoriques du concept. Mais rares sont les occasions données à l’ethnographe de pouvoir assister de visu à ces actes de violence au moment même où ils se déroulent. De ce fait, il est acculé à devoir décrire ces mêmes actes à travers le témoignage d’un tiers, victime ou autre. Ces considérations, déjà traitées pendant la Journée d’étude « La violence : descriptions, catégorisations » organisée l’an passé par des chercheurs du GTMS (Di Bella, Dussy, Losonczy et Naepels) referont certainement surface lors de la présentation de certains des thèmes qui nous occupent aujourd’hui au sein de l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux. Sciences sociales, politique, santé. En effet, les enquêtes que nous présenterons susciteront, nous l’espérons, une réflexion collective sur l’articulation des questions empiriques, éthiques et épistémologiques que soulève la construction de cet objet scientifique.

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