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• 10 avr 2008

  Paris

  Journée d'étude - Histoire

  Rébellions urbaines

  Comparaison Belgique-France-Italie

  Il s’agit dans cette journée d’études d’amorcer une comparaison du phénomène à l’échelle européenne autour de deux problématiques qui croisent les approches spatiale et temporelle, en accord avec la perspective pluridisciplinaire qui est celle du projet. La première questionne la notion de génération en s’interrogeant sur l’évolution des modalités d’action collective entre les deux générations d’immigrés qui se sont succédé en Belgique et en France depuis les années 1970. L’accent sera notamment mis sur l’impact des temporalités de la mémoire coloniale dans ces formes d’action. La seconde met en relation ces luttes sociales avec les territoires urbains dans lesquels elles se déroulent, à partir de l’étude croisée, sur la moyenne durée, des cas de Lyon et de Milan.

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• 15 mar 2008

  Istanbul

  Appel à contribution - Sociologie

  Être en société, le lien social à l’épreuve des cultures

  Catégories langagières énonciatives d’un espace méditerranéen

  Catégories langagières énonciatives d’un espace méditerranéen : de « l’homo oeconomicus » à « l’homo reciprocus ». Nous allons nous demander si quelques mouvements émergents -les minorités par ex.- ne mobilisent pas des « ressources » différentes de celles dont on se sert habituellement, comme « classes sociales », « mouvements sociaux » etc. Il s’agirait des catégories langagières de la « reconnaissance » (et non plus seulement de « l’action sur l’autre », homme ou nature), de l’inter-dépendance (et non plus seulement de l’indépendance) etc. Ces critères, énonçant non plus un « homo economicus » mais un « homo reciprocus », ne seraient-ils pas propres d’une « autre modernité », à l’œuvre dans la culture commune aux deux rives de la Méditerranée ?

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• 11 mar 2008

  Lyon

  Séminaire - Préhistoire et Antiquité

  Épigraphie et modèles cuturels

  Séminaire « Étude des modèles culturels dans l'Antiquité »

  Si les techniques de déchiffrement des inscriptions sont globalement demeurées identiques depuis le XIXe siècle, l'interprétation de cette documentation a quant à elle grandement évolué, grâce à l'apport cumulé de la sociologie et de l'anthropologie. Plus qualitative (analyse du discours, des représentations mentales et des dispositions d'esprit des Romains) que quantitative (recensement des inscriptions, établissement du texte...), cette nouvelle approche de l'épigraphe a permis d'accéder aux représentations mentales et aux dispositions d'esprit des Romains, autrement dit, à leur culture, et a ainsi ouvert de nouvelles voies d'exploration à la recherche historique.

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