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Villeneuve-d'Ascq
Colloque - Préhistoire et Antiquité
Figurines en contexte : iconographie et fonction(s)
Le symposium aborde les problèmes liés à l’identification et au-delà à la fonction des très nombreuses figurines de terre cuite de l’antiquité classique : les études de cas qui seront présentées porteront exclusivement sur des figurines recueillies en « contexte » – compris comme lieu de trouvaille et comme assemblage d’objets –, ce qui ouvre la voie à l’interprétation. Dans la plupart des cas, il s’agit de passer de l’iconographie à l’identification – divinité et laquelle ? mortel(le) et de quel statut social et familial ? – et de comprendre la fonction de ces objets dans les pratiques votives et funéraires, mais aussi dans les maisons. On fera ainsi progresser le débat entre tenants d’identifications et fonctions variables selon les contextes et tenants d’un système cohérent valable pour tous les contextes. Bien au-delà des modestes figurines, le symposium traitera ainsi d’archéologie de la religion et au-delà d’anthropologie culturelle. -
Villeneuve-d'Ascq
La citoyenneté romaine est fondée sur des statuts civiques et politiques juridiquement établis durant les premiers siècles de la République. Elle offre à l’empire romain un modèle civique destiné, en près de quatre siècles (IIe siècle avant notre ère - début du IIIe s. de notre ère), à englober une grande partie des hommes libres vivant en deçà des limites du territoire impérial. Deux étapes significatives d’un tel processus ont notamment été bien étudiées : la guerre des alliés (au début du Ier siècle avant notre ère) en Italie et l’édit de Caracalla de 212 qui octroie à la plus grande partie des hommes libres de l’empire la citoyenneté romaine. Cette thématique, explorée depuis les années 1970 selon plusieurs axes de recherche, juridique, social, politique, culturel et religieux (le contenu de la « romanisation »), mérite d’être explorée de nouveau. -
Villeneuve-d'Ascq
Symposium CorHaLi XXI. Les Trois Électre
Les auteurs tragiques grecs qui ont composé les pièces où sont mis en scène leurs héros malheureux n’ont pas inventé les histoires, les mythes, pourtant associés à leur nom. Le public savait avant la pièce de Sophocle, qu’Œdipe avait tué son père en ignorant que c’était son père et couché avec sa mère sans savoir que c’était sa mère. Le théâtre de ces auteurs du Ve siècle était inscrit dans la vie politique et religieuse de la cité. On attendait la mise en scène des mêmes mythes, et avec un appareil dramaturgique qui, sans être totalement absent, ne disposait bien évidemment pas des effets spéciaux qui corsent le spectacle de nos jours. Et pourtant le public venait voir ces pièces avec un plaisir toujours renouvelé. L’intérêt du drame résidait entièrement en ces mises en formes singulières, qui menaient l’intrigue vers la catastrophe attendue, mais sans que cette dernière fût le clou du spectacle.
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