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París
Narrativité : paroles, textes, images
Les séries d'images, qu'elles se veuillent indépendantes sur les parois des églises d'Occident, ou associées aux textes dans certains rouleaux peints de Chine et du Japon, racontent les histoires différemment. Mais que reste-t-il de l'histoire, quand on ôte ce qui est propre aux modes spécifiques du récit ? Nous examinerons au cours des deux journées de ce colloque différents types de « récits en images », en Europe et en Asie (Chine, Inde, Japon, Tibet), confrontés à leur source textuelle, et étudiés quand c'est possible dans leur contexte vivant.
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Aix-en-Provence
Jornada de estudio - Representaciones
Au fondement du cinéma de genre : mythes, archétypes, schèmes, gestes
Sous quelles modalités métaphoriques (strates ? Plis ? Palimpsestes ? Phasmes ?) le film de genre révèle-t-il l’apparition d’un semblable sous le différent ? Cette interrogation avait suscité notre première journée d’études (14 novembre 2014 : Dépasser le postmodernisme : la bâtardise comme horizon générique permanent). Loin d’être clôturée, elle appelait une seconde série de questionnements, portant sur la nature des images mêmes auxquelles le cinéma de genre se réfère ; si elle s’identifie au contexte mythique, elle implique l’évidence qu’une matrice pure d’où tout découlerait est impossible. Les mythes, comme les symboles desquels ils participent et dont ils sont une incarnation individuée (et, en cela, le cinéma exprime idéalement ce trait définitoire, lui qui méconnaît les types et n’expose, filmiquement, que des individus), partagent un réseau plus souterrain, dans lequel, sitôt qu’on s’est dégagé de la valeur socioculturelle (le mythe comme reflet d’une civilisation à un moment donné) qu’on veut leur accoler, recherche qui a son intérêt, mais nous semble insuffisante, en ce qu’elle consiste trop souvent à traduire par une équivalence ce qui se lit dans un bouillonnement, on croise plusieurs pistes – archétypes, schèmes, gestes.
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París
Convocatoria de ponencias - Asia
« Le ciel garde encore la trace du prince Actarus » : Goldorak, 40 ans après
Diffusé pour la première fois sur nos écrans en juillet 1978, Goldorak, anime japonais réalisé par Toei Animation et adapté d'un manga de Go Nagai (UFO Robo Grendizer), est un succès immédiat. Il marque toute une génération d’enfants, fait la Une de Paris Match en janvier 1979 et suscite colère et désespoir chez les adultes qui le relèguent au rang de « japoniaiserie » et l’accusent d’influences délétères sur les enfants – en 1981. Trente-sept ans après sa première diffusion en France, il est temps de porter un nouveau regard sur cette fiction sérielle, d’autant plus que cet anime est encore très présent dans les mémoires et a laissé des traces dans la vie artistique. Goldorak est devenu une icône culturelle qui suscite passion et nostalgie – un objet qu’il convient d’éclairer par des approches universitaires croisées.
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- 2015
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