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  • Paris

    Call for papers - Religion

    Foucault and religion, the self and the field - the social sciences of religion in thought and action

    CéSor doctoral students seminar

    Cette année, le séminaire des doctorants du CéSor sera l'occasion d'instaurer une discussion active entre doctorants et chercheurs et invités du laboratoire. Le but de ce séminaire sera de réfléchir ensemble sur plusieurs auteurs de référence en sciences sociales des religions, mais aussi de plusieurs thèmes de recherches transversaux à l’ensemble de nos travaux, reflétant ladiversité des doctorants de notre laboratoire et des thématiques liées au « fait religieux ». Dans cette optique, nous avons retenu comme principal auteurr Michel Foucault. Chaque deuxième séance sera un espace ouvert consacré à des questionnements relatifs aux itinéraires et pratiques de la recherche. Ce sera une occasion pour nous de tisser des liens entre doctorants et jeunes chercheurs du laboratoire, mais aussi de débattre des « politiques de terrain(s) » de chacun et d’échanger autour de nos difficultés rencontrées lors de la rédaction d’articles, de chapitres de thèse en cours, etc.

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  • Lille

    Conference, symposium - Religion

    Religions and contemporary policies of sexualities and family relationships

    Les transformations contemporaines de l’intime – dans le champ du genre, de la conjugalité ou de la filiation – politisent des espaces dont les magistères religieux se percevaient auparavant dépositaires. Ce colloque, ouvert à tous ceux qui s’intéressent à la complexité de la donne sociétale, analysera la manière dont les religions – et notamment l’Église catholique – occupent l’espace public. Dans une diversité des points de vue et des disciplines, les intervenants apporteront un éclairage sur les enjeux de la tension entre les anciens magistères religieux et les nouveaux magistères politico-éthiques.

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  • Rabat

    Call for papers - Sociology

    Sociological appraisal and social changes in Morocco

    Dans ces moments de transitions, sociopolitiques, culturelles et démographiques que connaît le Maroc, le rôle que doivent jouer les sciences sociales est plus que jamais décisif. Car celles-ci permettraient-elles sans doute de saisir et d’analyser les temporalités dans lesquelles se tracent des devenirs à la fois anthropologique et sociopolitique. Le colloque « Bilan  sociologique et changements sociaux au Maroc » qu’organise le B.E.S.M. s’inscrit justement dans cette logique. Il s’agit en plus de faire un bilan synthétique et analytique de l’apport des sciences sociales durant ces deux dernières décennies – relatif aux domaines sociologiques importants sur lesquels elles ont focalisé et des questionnements anthropologiques qu’elles ont ouverts – d’ouvrir un débat interdisciplinaire neuf et critique, à partir de perspectives différentes mais complémentaires, sur les nouvelles dynamiques sociales qui se déploient et se reformulent dans le Maroc d’aujourd’hui. Des dynamiques que nous comptons, en l’occurrence, saisir à travers des pratiques et des processus sociologiques, en donnant à ce terme une dimension globale qui réfère aux expressions religieuses et culturelles, aux articulations politiques et économiques ainsi qu’aux multiples relations entre les catégories individuelles et collectives qui forment la société marocaine.

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  • Bucharest

    Study days - Religion

    Medias, spirituality and secularism

    Cette manifestation scientifique, qui a pour vocation de réunir différentes instances, institutions et organisations académiques, politiques ou médiatiques à la Villa Noël, sera une occasion de dresser un bilan sur les questionnements sensibles liés à la liberté religieuse et de conscience, à la spiritualité et à la laïcité, symboles chargés de sens intellectuel, éthique et émotionnel. Débattre, discuter ou analyser ces thèmes dans les médias suscitent une certaine émotion et supposent certains a priori de la part des acteurs qui y participent. La question qui se posera ici est comment prendre « une distance épistémologique et éthique (et surtout politiquement correcte, n.n.) pour une laïcité et une spiritualité (n.n.) au service de la liberté » (Cissé, 2010) en considérant deux cas paradigmatiques, deux pays européens, la Roumanie et la France, dont l’un est le plus religieux de l’Europe et l’autre le moins religieux, et qui déclinent différemment dans la pratique la relation entre spiritualité et laïcité.

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  • Lyon

    Study days - Religion

    Youth, religions and writing today

    Masterclass and debate at the Université Lyon 2

    L’université Lyon 2 organise une journée autour du site « Raconter la vie » (http://raconterlavie.fr/), lancé par Pierre Rosanvallon, et de la collection qui lui est associée aux éditions du Seuil. Cette journée, centrée sur La Barbe, récit de vie d’Omar Benlaala publié en janvier 2015 au Seuil, est constituée de deux rencontres : une « master class » plutôt destinée à un public d’étudiants formés en lettres appliquées, en édition et traduction, mais ouverte à tous ; un grand débat « Jeunesse et religions aujourd’hui » animé par deux spécialistes de l’ISERL (Institut supérieur d’étude des religions et de la laïcité), co-organisé par l’université Tous Âges. Ce débat est également ouvert à tous.

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  • Call for papers - Ethnology, anthropology

    Subjects and objects of religion in a global world

    Depuis la fin des années 1980, nous assistons à l’émergence d’un mouvement permanent de globalisation des biens du salut, se construisant principalement sur leur « déculturation », ainsi qu’à l’apparition concomitante de nouvelles formes de religiosité affectant aussi bien les trois monothéismes que d’autres systèmes de croyances et dont les néo-fondamentalismes constituent l'une probablement des expressions les plus spectaculaires et les plus commentées. Ce numéro du Journal des anthropologues se donne pour objectif de comprendre comment les acteurs associent aujourd’hui leurs propres choix religieux et les normes démocratiques, dans des contextes (nationaux notamment) où prévalent une conception de la laïcité qui confine parfois à l’essentialisme. Il vise également à faire le point des connaissances sur la façon dont se fabrique aujourd’hui la « radicalisation » des fidèles, femmes et hommes.

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  • Call for papers - Sociology

    Les sciences humaines et sociales à l’épreuve de l’événement

    Numéro 1 de la revue Sociétés plurielles

    Le programme sociétés plurielles a inscrit, dès le départ, parmi ses priorités une recherche attentive aux enjeux de société. La vague d’attentats qui a secoué la France au mois de janvier 2015 s’est révélée, du moins à très courte échéance, comme un événement, autrement dit comme un marqueur distinguant un avant et un après, mais aussi comme un révélateur de questionnements et d’enjeux d’analyse pour les sciences humaines et sociales. Cet événement constitue une épreuve pour la recherche qui s’inscrit dans un autre régime temporel : celui de la durée – y compris de la longue durée – et de la réflexion. Nous proposons dans ce premier numéro de la revue Sociétés plurielles de nous interroger sur notre pratique, en deçà même de la méthode, pour proposer des réponses sur la valeur sociale des sciences humaines et sociales.

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  • Call for papers - Sociology

    Eros and Thanatos. Representations, theoretic and empirical perspectives in sociology

    SociologieS journal

    L’objectif du dossier est de proposer une collection de contributions sur le thème du sexe, de la mort et de leurs représentations corporelles, en offrant une perspective socio-anthropologique centrée sur la sociologie de la culture, qui prenne en considération également les approches interdisciplinaires limitrophes. Éros et Thanatos, ainsi que l’a écrit Louis-Vincent Thomas dans Mort et pouvoir (1978), ont une indéchiffrable connivence qui souligne comment la mort et la vie soient indissolublement accouplées. Par ce biais, le rapport entre sexe, mort et corporéité a toujours été un sujet d’étude fascinant, transversal à différents domaines et qui fait jouer entre elles la dimension personnelle interne de l’individu et la dimension sociale externe. Ce que Freud a argumenté à travers la coexistence et la lutte des pulsions opposées de vie (Éros) et de mort (Thanatos) dans l’individu qui se dirigent aussi à l’extérieur, lutte de laquelle ressort le sens de l’évolution civile de l’espèce humaine.

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  • Paris

    Lecture series - History

    The policies of multiculturalism: the French debat

    À l'automne 2013, Matignon publiait cinq rapports sur l'intégration dont les propositions provoquèrent de vives réactions de tous bords. Anti-françaises pour certains, anti-républicaines pour d'autres, trop ambitieuses pour les partisans d'une approche progressive, les suggestions des rapports semblent être restées lettre morte. Un an après, il est temps de s’interroger sur l'état des pratiques institutionnelles eu égard à la diversité culturelle et les raisons historiques qui expliquent pourquoi les politiques du multiculturalisme sont un sujet si sensible en France. Chercheurs et acteurs publics se réuniront à l'occasion de cinq conférences publiques, portant sur les thèmes les plus polémiques de ce débat : citoyenneté, République, religion, langue et politiques culturelles.

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  • Buea

    Conference, symposium - Religion

    Religions, langues et cultures africaines à l’ère du numérique

    Les rapports de forces et d’équilibre

    La religion, la langue et la culture ont toujours été au centre de la vie de l’homme, permettent à ce dernier de communiquer, et déterminent ses rapports avec le monde. La transmission de ces éléments centraux du quotidien de l’être humain s’est souvent opérée au travers de multiples instruments et moyens : le tam-tam, la radio, la télévision et aujourd’hui l’internet. On a pu ainsi constater que l’islam, religion dominante au Maghreb, sert de support aux usages, habitudes et comportements quotidiens, même s’il y ajoute quelques rituels culturels traditionnels. En Afrique subsaharienne, le christianisme partage équitablement sa domination avec l’islam et d’autres religions traditionnelles. Dans les deux cas, les religions arabo-judéo-chrétiennes ne reconnaissent pas les rites dits « païens » et promettent l’enfer à leurs praticiens. Face à cette situation de conflits religieux, comment le pédagogue doit-il se comporter ? Comment doit-il analyser les différentes voies d’extension des religions en Afrique francophone ? Faudrait-il oublier la tradition au profit de nouveaux acquis (dogmes religieux, Internet, propagande télévisée) ? En bref, quelle est la place/le rôle des chercheurs dans ce jeu d’intérêts sur fond de fanatisme déclaré ou subtile ?

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