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• 21 sep 2016	19 oct 2016	09 nov 2016
  30 nov 2016	14 déc 2016

  Fribourg

  Cycle de conférences - Histoire

  Forum fribourgeois pour l’histoire contemporaine

  Le forum fribourgeois est un lieu d'échange et de rencontre pour les chercheuses et chercheurs de l'université de Fribourg en histoire contemporaine (francophones et germanophones), qui travaillent sur les XIX^e et XX^e siècles.

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• 01 aoû 2016

  Lausanne

  Bourse, prix et emploi - Études du politique

  Deux postes de doctorant·e FNS à l'université de Lausanne

  En lien avec les activités de recherche de l'Observatoire de la vie politique régionale (Ovpr) et l'Observatoire des élites suisses (Obelis)

  Dans le cadre d’un projet financé par le Fonds national suisse de la recherche scientifique intitulé Urban Transformations and Local Political Elites: A Comparative Study among four Swiss Cities, l’Institut d'études politiques, historiques et internationales (IEPHI) de l'Université de Lausanne met au concours deux postes de doctorant·e FNS. Partie intégrante des activités de l’Observatoire de la vie politique régionale (Ovpr) et de l’Observatoire des élites suisses (Obelis), ce projet permettra aux doctorant·e·s d’être intégré·e·s dans un vaste réseau de recherche national et international.

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• 31 aoû 2016

  Berne

  Appel à contribution - Histoire

  Le parlementarisme suisse

  Revue traverse n°3/2018

  En 2013, un article de la revue traverse titre « L’autorité suprême de la Confédération délaissée par les historien·ne·s » et parvient de fait à la même conclusion. L’autorité la plus haute de Suisse, le cœur d’une démocratie qui fait l’objet de tant d’éloges, serait une tache blanche dans le travail des historien·ne·s ? La revue traverse entend donner l’impulsion pour mettre fin à ces lacunes et va consacrer le numéro 3/2018 au parlementarisme suisse.

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• 31 déc 2016

  Reims

  Appel à contribution - Europe

  L’émigration politique en Suisse au XXe siècle

  Pratiques, réseaux, résonances

  À la différence des émigrés venus chercher du travail ou entendant prendre un nouveau départ, l’émigré politique se distingue par sa volonté de rentrer dans son pays d’origine. A ce titre, le temps passé à l’étranger, le « temps suspendu », est rarement du « temps perdu ». Qu’elle soit choisie ou contrainte, cette mobilité est en effet souvent le lieu de pratiques censées hâter la chute du régime abhorré et ce faisant, poser les bases à un monde nouveau. La réflexion que nous nous proposons de mener entendra faire valoir et analyser la singularité de ces expériences du « dehors du monde ». Il ne s’agira pas de s’appesantir sur les conceptions politiques, les dispositions juridiques et institutionnelles concernant l’entrée et l’établissement de cette « émigration de cadres » sur le territoire helvétique – balisée par de nombreuses études, la question est maintenant bien étudiée – mais bien de montrer l’importance du « moment suisse » dans des trajectoires individuelles et collectives.

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