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  • Nice

    Colóquio - Representações

    Framing street art

    L’art est partout : il suffit d’ouvrir les yeux et/ou de décréter que quelque chose est de l’art. C’est ce qu’a fait Ernest Pignon-Ernest en collant des cadres sur des murs de la ville de Nice, entre 2004 et 2013. Chantre du lieu porteur intrinsèque de poésie et de mémoire, l’artiste ne faisait rien d’autre que d’utiliser le signe-cadre comme outil de révélation du potentiel artistique des murs, c’est-à-dire comme outil d’artification. Le cadre fait en effet référence à l’œuvre muséale, qu’il entoure, protège et met en valeur. Par définition, les œuvres de street art n’ont pas de cadre à proprement parler si l’on entend par street art un art « self-authorized », c’est-à-dire auto-autorisé, et réalisé dans l’espace public ou les lieux abandonnés, en tout cas in situ. Le cadre est pourtant une question essentielle et problématique, à plusieurs titres.

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  • Nice

    Seminário - Representações

    Street Art et récit en Europe et dans le Monde

    Le Street Art est un mouvement mondial, dans le monde réel et dans le monde virtuel d’internet. Par ailleurs, la plupart des artistes voyagent beaucoup et exercent leur art dans les différents pays qu’ils traversent. Pourtant, les œuvres de Street Art sont génétiquement in situ : ce sont des œuvres en situation, voire des œuvres de situation. Le mouvement s’inscrit donc paradoxalement entre globalité et spécificité. L’Europe joue un rôle moteur, puisque c’est aussi bien en Europe (avec notamment le Situationnisme, Ernest Pignon-Ernest ou Gérard Zlotykamien) qu’aux États-Unis (avec le mouvement du Style Writing Graffiti, Keith Haring ou Jean-Michel Basquiat) que le mouvement a émergé. Parmi les plus grands street artists figurent d’ailleurs, par exemple, des britanniques comme Banksy ou des français comme C215.

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  • Nice

    Chamada de trabalhos - Época Contemporânea

    Framing Street Art

    Cross-disciplinary International Conference by Nice Street Art Project

    L’art est partout : il suffit d’ouvrir les yeux et/ou de décréter que quelque chose est de l’art. C’est ce qu’a fait Ernest Pignon-Ernest en collant des cadres sur des murs de la ville de Nice, entre 2004 et 2013. Chantre du lieu porteur intrinsèque de poésie et de mémoire, l’artiste ne faisait rien d’autre que d’utiliser le signe-cadre comme outil de révélation du potentiel artistique des murs, c’est-à-dire comme outil d’artification. Le cadre fait en effet référence à l’œuvre muséale, qu’il entoure, protège et met en valeur. Par définition, les œuvres de Street Art n’ont pas de cadre à proprement parler si l’on entend par Street Art un art « self-authorized », c’est-à-dire auto-autorisé, et réalisé dans l’espace public ou les lieux abandonnés, en tout cas in situ. Le cadre est pourtant une question essentielle et problématique, à plusieurs titres.

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