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  • Rome

    Conference, symposium - History

    Caging the sky: artistic, historical and anthropological approaches to avaries

    Ancrées dans le temps long de l’histoire des techniques, de la construction architecturale, de la domestication et de l’acclimatation par l’homme des espèces animales, les volières constituent un objet de recherche interdisciplinaire qui offre de multiples points d’entrée pour étudier les liens, présents ou passés, qui unissent les sociétés à leur environnement, pour explorer la place des oiseaux dans les imaginaires collectifs, mais aussi apprécier l’originalité des œuvres ou des constructions dont l’une des fonctions est de représenter, de signifier ou de rendre effectivement présente la vie animale.

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  • Paris

    Call for papers - History

    The creation of landscape in the theatre

    Dioramas, zoetropes, exotic, climatic, natural and acquatic theatre

    Voyages, exotisme, fictions touristiques, dioramas, hydroramas, théâtres nautiques, aquatiques, théâtres climatiques, catastrophes et dérèglements en scène… ces expériences, d’hier et d’aujourd’hui, qui transforment parfois le lieu lui-même en environnement (aquarium, jungle, désert, montagnes…), mettent en scène des décors, des lumières, des atmosphères, des dispositifs qui associent la scène et la nature. Des images déplacées, ni vraiment réalistes ni vraiment symbolistes, apparaissent, plaçant les spectateurs dans une expérience étrange et familière à la fois.

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  • Lyon

    Seminar - Representation

    Apocalyptic nature: Plant life and the end of the world

    Les travaux de l’équipe de recherche “Humanisme” porteront en 2019-2020 sur la thématique “Nature apocalyptique – végétal et fin du monde” (voir le projet détaillé). «... Quel est le lien spécifique qui unit le végétal et le motif apocalyptique ? La flore et l’humanité en crise ? Y a-t-il un paysage de prédilection en récit apocalyptique, dont on peut identifier une végétation spécifique ? Ou au contraire, l’apocalypse se donne-t-elle à saisir par l’absence – ou le refus – de paysage ? Si, d’évidence, le récit de fin du monde reconduit les invariants du locus terribilis, en inversant les caractéristiques du locus amoenus, quelle part y prend le végétal et peut-on repérer un certain nombre d’éléments récurrents ? D’autre part, le récit de fin du monde, en tant que situation extrême, qui radicalise la situation normale et exacerbe les tensions en les mettant au jour, transforme-t-il le statut du végétal et renouvelle-t-il notre conception du végétal en même temps qu’il fonde une nouvelle manière plus subjectivante de le dire ? Le texte littéraire interroge ainsi aussi bien ce qu’est la plante que ce qu’elle fait, son statut ontologique que sa part dans le processus de vie et dans le milieu dont il est constitutif ... ».

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  • 2020

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  • Nature, landscape and environment

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  • Cultural history

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