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  • Paris

    Call for papers - Early modern

    Figures de veuves à l’époque moderne (XVIIe et XVIIIe siècles)

    Images d’un statut social accepté, caché, revendiqué ?

    Célèbres ou anonymes, il s’agira de questionner l’identité des veuves afin de mieux connaître leur influence politique, intellectuelle et sociale en cherchant à savoir si leur veuvage s’est révélé être un atout ou une faiblesse. Comment l’image de cette femme veuve s’est-elle développée au cours des XVIIe et XVIIIe siècles ? Et comment a-t-elle fait face à la représentation rousseauiste d’une femme mère dédiée à son foyer et à l’éducation de ses enfants, valeur montante de la seconde moitié du XVIIIe siècle ? La journée d’études propose de mieux cerner la figure de la veuve dans les arts non seulement en France, mais aussi en Europe.

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  • Versailles

    Seminar - Early modern

    « AteCop » : les premiers ateliers français de copistes en musique

    À côté des imprimeurs et des graveurs, les copistes sont des maillons essentiels de la production des sources musicales. Ils peuvent travailler dans un atelier très productif (celui de Philidor et Fossard en est l’exemple typique), ou à l’inverse être des copistes occasionnels, chargés de préparer l’exécution d’une œuvre particulière. Leur production peut s’inscrire dans une visée commerciale (comme chez Foucault et Loulié) ou dans une ambition patrimoniale. Jusqu’ici, leur production a surtout été considérée par le biais des études sur les collections musicales ou dans l’étude des sources d’un compositeur dont on prépare une édition critique. Leur travail est d’autant plus difficile à apprécier que leurs copies sont rarement signées ni datées, de sorte que leur identification est parfois difficile. Outre la graphie elle-même, leur travail peut être qualifié avec les outils de la codicologie (papiers, collation, reliure...) comme de la rastrologie (mise en page, mesures, encres...).

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  • Vichy | Paris

    Seminar - History

    Thermalisme et politique (XVIIe–XIXe siècle)

    Année 2021

    Ce séminaire vise à interroger les enjeux politiques autours des eaux minérales et des villes thermales de l’époque moderne. La médecine des eaux s’organise différemment selon les pays d’Europe : en France, elle se développe autour d’institutions multiples (hôpitaux, sanatoriums, fermes d’exploitations thermales). L’État cherche à assurer le contrôle de celui de l’eau elle-même et institutionnalise le thermalisme en développant un savoir d’état sur ces pratiques, qui s’accompagne de politiques de santé publique pour en faciliter l’accès. En Angleterre, l’assistance est agencée par des souscriptions, les sociétés de bienfaisance et des hôpitaux privés (Borsay, 1999). Par ailleurs, cette médecine s’exporte dans les colonies : les colons créent des stations thermales dans les colonies, et reviennent soigner leurs maladies coloniales aux eaux nationales (Jennings, 2009). La question de la propriété de l’eau, un bien commun (commons), est centrale dans tous ces développements institutionnels et entrepreneuriaux : à qui appartient l’eau ? La ville, l’état, les usages, les exploitants ?

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