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Paris
De lumière, de pierre, de cire et de verre
L'église et la lumière au Moyen Âge
Le thème retenu pour cette nouvelle rencontre consacrée à la période médiévale est celui des multiples relations entre l’église et la lumière, à la fois naturelle et artificielle. Afin d’appréhender cette dialectique entre matérialité (les pierres, le verre, la cire) et immatérialité (la lumière), cinq axes ont été privilégiés. Le premier, intitulé « Lumières écrites », invite à explorer le thème de la lumière dans la théologie médiévale. Le deuxième « Lumières pétrifiées » et le troisième « Lumières filtrées » questionnent les rapports entre lumière et architecture et entre lumière et art du vitrail. Le quatrième axe « Lumières incarnées » s’intéresse aux fonctions et aux usages des luminaires dans l’espace ecclésial. Enfin, le dernier « Lumières d’aujourd’hui et églises d’hier » clôture ce parcours en brouillant les repères chronologiques et en explorant les rapports entre pratiques artistiques contemporaines et vieilles pierres, qu’il s’agisse des mises en scène sonores et lumineuses des églises par Skertzò ou de l’installation de vitraux contemporains dans des lieux d’histoire. -
Bielefeld
Appel à contribution - Histoire
Pratiques musicales ludiques au Moyen Âge et à l'époque moderne, 1200-1800
La musique de Luther, les bals masqués à la cour de Louis XVI, les processions et les mystères dans les villes du Moyen Âge tardif, le théâtre musical et l'opéra ou les mariages ruraux peints par Brueghel - sont tous des exemples bien connus de pratiques musicales en Europe pendant le Moyen-Âge et l'Époque moderne. Au-delà de ces sujets il existe des nombreuses pratiques musicales, notamment associées aux pratiques ludiques. En abandonnant les thèmes bien connus pour d'autres qui n'ont pas encore fait l'objet de recherches ou qui sont considérés comme des curiosités, le focus sur les pratiques ludiques déplace les sujets à première vue périphériques et ambivalents au centre de l'intérêt. -
Stirling
Appel à contribution - Histoire
Plantations au cœur du monde sauvage ?
Les ordres monastiques réformés en Europe du Nord, 1100-1600
En 1113, David, le plus jeune fils de sainte Marguerite d’Écosse, établit à Selkirk dans le Sud de l’Ecosse une colonie provenant de l’abbaye de Thiron-Gardais fondée par saint Bernard de Ponthieu. Ce fut le premier établissement d’un ordre de type bénédictin réformé fondé dans les îles Britanniques. L’arrivée de ces moines continentaux marqua le début d’une ère de profonds changements religieux, politiques, culturels, sociaux et économiques dans les pays situés à la bordure septentrionale du monde christianisé, depuis l’Écosse et l’Irlande à l’ouest à travers l’Angleterre, la Scandinavie et l’Allemagne du Nord jusqu’en Pologne et l'Estonie à l’Est. Afin de célébrer le 900e anniversaire de cet événement, l’université de Stirling accueillera une conférence pluri-disciplinaire (du 10 au 12 juillet 2013) afin d’explorer l’impact monastique sur la culture et la société de l’Europe septentrionale du XIIe au XVIe siècle ainsi que son héritage moderne. -
Montpellier
Table ronde internationale
Les rapports entretenus avec le catholicisme hispanique et la représentation du pouvoir du roi d’Espagne au delà de ses frontières est un des phénomènes les plus significatifs de l’évolution politique et culturelle de l’Europe occidentale au cours des guerres de Religion. Vers 1580, l’enracinement de la Réforme protestante en Europe avait, aux yeux des plus radicaux des catholiques, considérablement amoindri le prestige que certains souverains pouvaient tirer de la protection de la chrétienté. La politique de défense de la Foi (mêlée à celle d’intérêts patrimoniaux) par Philippe II d’Espagne permet son identification, en Angleterre, en France, en Irlande, mais aussi à Chypre, en Grèce, dans les Pays-Bas ou dans l’Empire, au chef naturel d’une « reconquête » catholique face au péril huguenot et à l’Islam. -
Paris
Coexistences confessionnelles en Europe à l'époque moderne
Entre théories et pratiques, XVIe-XVIIe siècle
Journée d'étude de l'Institut de recherche pour l'étude des religions. Organisée en quatre séances distinctes, elle cherchera à offrir de nouveaux aperçus, au niveau européen, sur cette période de troubles confessionnels en Europe, en l'axant notamment autour de la notion de tolérance, des premières « paix de religion » à la révocation de l'édit de Nantes et la reconquête catholique en Europe centrale. Une première partie s'intéressera aux questions juridiques ; les questions abordées seront prolongées lors de la seconde séance, notamment par l'étude du « simultaneum », ou comment trouver une issue à la présence conjointe des deux confessions. La troisième session s'intéressera à la question des prédications et du rôle qui leur est prêté dans le combat pour la conversion de l'autre et l'unité de foi (catholiques contre réformés, et inversement). On se posera la question de l'efficacité d'un tel processus, qui entraîne bien souvent la naissance d'un sentiment d'identité face à l'adversité. Enfin, la dernière séance s'interrogera sur le processus de remise en cause des paix de religion, vu au travers de la politique des Habsbourg et, en France, des restrictions apportées par Louis XIV, aboutissant à l'édit de Fontainebleau. -
Montpellier
Discours et pratiques en France et en Angleterre, XVIe-XVIIe siècles
Se fondant sur une approche pluridisciplinaire et comparative (théologie, histoire des mentalités, histoire des idées religieuses, histoire littéraire), ce colloque se présente comme une enquête géographique et confessionnelle sur la prédication chrétienne autour de la mort en France et en Angleterre au XVIe et au XVIIe siècles. Les communications présentées se proposeront d’étudier le sermon non seulement comme un texte imprimé mais aussi comme un acte public, un discours prononcé devant et pour une assemblée, et donc une performance mettant en présence des acteurs du corps religieux et social. -
Lyon
Construction et transmission de « l'identité judéo-converse » en Espagne à partir du XVe siècle
Ce colloque a pour but d'interroger la légitimité d'une vision des judéo-convers comme un groupe bien défini, doté de caractéristiques propres qui constitueraient sa spécificité. Ni Juif, ni chrétien, à cheval entre deux identités fortes, comment ce groupe a-t-il pu construire sa propre identité, et, éventuellement, la transmettre à ses descendants ? L’idée de transmission, outre qu’elle implique l’existence de caractéristiques spécifiques qui permettent de différencier un groupe de génération en génération, suggère que les « convers » ont tardé à oublier leurs origines non-chrétiennes et ont cherché, du moins pour certains, à les faire connaître à leurs enfants. Mais au-delà d’une appartenance religieuse, quelles sont les possibles manifestations d’une « mentalité converse » dans la société espagnole du Siècle d’Or ? Quelles transformations a connu cet héritage ? Ce sont là quelques-unes des questions auxquelles ce colloque tentera de répondre.
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