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De l’intervention à l’action : nouvelles avenues d’inclusion des communautés LGTQI
Revue Nouvelles pratiques sociales — Vol. 28, no 1 (automne 2015)
Ce numéro de Nouvelles pratiques sociales propose de réfléchir aux transformations politiques, sociales et culturelles qui approfondiraient l’inclusion sociale des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, trans* et intersexes. Nous invitons donc les auteures et les auteurs à soumettre des textes réflexifs, théoriques ou de recherche qui tiennent compte de ces enjeux. Ceci suppose de prendre en considération les capacités de réflexion et d’action que détiennent déjà les groupes LGBTQI, depuis longtemps constituées et mobilisées par eux-mêmes. Quels sont les savoirs expérientiels et théoriques émergents produits par ces groupes sociaux ? En quoi les avancées socio-législatives que l’on constate depuis les dernières décennies, concernant les personnes LGBTQI, participent-elles – ou non – aux changements des représentations les concernant et, de ce fait, à leur inscription sociale ?
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Être femme en Afrique subsaharienne : la fin des « cadets sociaux » ?
Revue Recherches féministes
Dans le contexte d’une approche de relations de pouvoirs construits, plusieurs écrits ont désigné les « cadets sociaux » comme l’ensemble des catégories sociales dominées, principalement les jeunes et les femmes, par opposition à leurs « aînés sociaux » dont l’autorité repose tant sur l'âge, la position dans la lignée que sur leur possession de ressources symboliques et matérielles. Ces rapports de subordination sociale organisés sur des rapports de séniorité ont permis la reproduction du système politique hérité de la colonisation (Bayart, 1989) tout en maintenant les « cadets » dans une position de marginalisation, ce qui limite leur mobilité sociale et l’accès aux positions de pouvoir.
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Genre, sexualité et société journal
La sociologie des masculinités (Connell, 2014), ainsi que certains travaux d’anthropologie (Ortner, 1989) et de cultural studies (Craig, 1992), ont mobilisé le concept d’hégémonie pour analyser les rapports de genre, générant de nouveaux outils critiques tels que la « masculinité hégémonique » (Connell, Messerchmidt, 2005). À la faveur du regain d’intérêt actuel pour la conceptualisation gramscienne de l’hégémonie (Thomas, 2009 ; Gramsci, 2011) et ses relectures post-structuralistes, féministes et postcoloniales (Said, 1980 ; Spivak, 2006 ; Hall, 2007, 2013), ce numéro de la revue « Genre, sexualité et société » souhaite réunir des contributions qui explorent et déploient les potentialités du concept d’hégémonie dans les études de genre et de sexualité. Quelle est la plus-value de ce concept par rapport à d’autres conceptualisations des rapports de genre et de sexualité ?
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Saint-Denis
Call for papers - Political studies
Hegemonic dynamics
Cette journée d’études co-organisée par le LabTop (Paris 8, France) et l’IHES (UNIL, Suisse) vise à mieux définir la culture populaire, en prenant notamment en compte les différentes dynamiques contemporaines qui ont largement modifié son visage. La culture populaire rend possible la contestation comme elle peut consolider l’hégémonie culturelle lorsqu’elle devient l’instrument des industries culturelles. Pour saisir cette tension, il s’agira de cerner les acteurs de ces deux facettes. Il s’agira donc d’interroger ensemble les dynamiques hégémoniques et contre-hégémoniques dans la culture populaire (cinéma, musiques populaires, romans, théâtre etc.) et les intérêts contradictoires qui s’y jouent.
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Paris
Gender, procreative norms and perinatality
Programme 2013-2014
Les pratiques sexuelles ne produisant pas nécessairement des enfants, la procréation est ici entendue au sens large et renvoie tout autant à la question de la gestion de la fécondité (contraception, avortement, accouchement sous X) qu’à celle des échecs de reproduction (fausse couche, IMG etc.), y compris médicalement assistée. En ce sens, nous inclurons dans notre réflexion les modalités de régulation des naissances et les normes qui les sous-tendent, notamment la norme contraceptive et la norme procréative qui définissent les « bonnes » conditions et la « bonne » temporalité pour avoir un enfant.
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Call for papers - Representation
The gender dimension in discourse, organisations and media practices
ESSACHESS – Journal for Communication Studies, volume 7, n° 2(14)/ 2014
En utilisant la notion de genre comme principe transversal sous-tendant toutes les composantes de la vie sociale : travail, famille, religion, migration, recherche, etc., nous nous proposons au travers de ce dossier de mettre en exergue la dimension sexuée de la vie sociale, aspect majeur longtemps ignoré (très peu de chercheurs parmi lesquels Marcel Mauss ont considéré la division par sexes comme matrice fondamentale alors que la plupart des sciences, de la sociologie à la médecine étaient gender blind). La « liquidité de la société moderne » (Bauman) a marqué aussi le concept de genre se situant entre « entre sexe social », « rapports sociaux de sexe » ou « différence de sexes » entendue comme différence socio-anthropologique construite et disséminée à travers les normes et les coutumes.
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Bordeaux
Women and networks in modern and contemporary societies
Realities and representations
Cette rencontre, ouverte aux chercheurs en sciences humaines et sociales, est envisagée comme un approfondissement des pistes déjà amorcées et un élargissement tant chronologique (XVIe-XXIe siècle) que géographique (Europe et mondes extra-européens). Dans la continuité des journées d’études précédemment menées dans le cadre du CEMMC (Université Bordeaux 3) sera maintenue une approche large du terme « réseaux », entendu comme l’existence de liens plus ou moins structurés entre des individus, noués sur la base de critères variables – liens familiaux, identité religieuse, affinités politiques, critères socioculturels, pratiques professionnelles, etc. Cette acception volontairement plus large que l’approche sociologique des networks entend néanmoins interroger création, évolution, organisation et instrumentalisation des réseaux au prisme de la place et du rôle joués par les femmes afin d’interroger le(s) rapport(s) entre réalités et représentations des réseaux.
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Pluralism in the feminist movements
L’homme et la société journal theme issue
Ce dossier thématique vise à restituer les pratiques des groupes féministes confrontés à la réflexion sur les inégalités profondes qui les traversent. Il questionnera les effets au niveau des actions militantes des discours qui dénoncent les points de vue hégémoniques. Comment la pensée sur l’intersectionnalité s’inscrit-elle concrètement dans le militantisme ? Comment la reconnaissance s’étaye-t-elle de manière empirique ? Il s’agira d’étudier des stratégies et des modes d’intégration ou de « démarginalisation » mis en œuvre dans les mouvements féministes nationaux ou transnationaux, mais aussi des résistances au pluralisme, des contre-discours rejetant la formation de coalitions et plaidant pour un strict séparatisme de l’action collective.
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- 2014
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