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  • Béja

    Appel à contribution - Histoire

    Guerres, espoirs, désespoirs et paix dans l’histoire

    L’origine de la violence et des guerres constitue un thème traditionnel de controverses. Certains philosophes antiques, ainsi que Maurras ou von Moltke, voient dans la guerre une loi divine. D’autres, comme Platon, pensent qu’elle résulte des passions humaines ou qu’elle constitue une nécessité biologique (Nietzsche, Malthus). D’autres encore mettent en cause le nationalisme attisé par les despotismes. Pour les marxistes, les affrontements viennent du choc des forces économiques. Les savants, les philosophes, les moralistes quant à eux se demandent si l’agressivité constitue une constante de la nature humaine, un caractère inné ou acquis.

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  • Béja

    Appel à contribution - Sociologie

    Systèmes agraires en crise, insécurité alimentaire et résistances paysannes

    Quelles voies pour un authentique développement durable ?

    La question alimentaire ne cesse de nourrir angoisses et controverses. À juste titre, car c’est le sort d’une grande partie de l’humanité qui est jeu : le nombre d’êtres humains souffrant de la faim a dépassé le milliard en 2009, ce qui est intolérable, même s’il redescend lentement depuis. De nos jours, il ne s’agit plus de spéculer sur l’accroissement démographique, dès lors qu’il est pratiquement admis que la Terre atteindra au cours de ce siècle un maximum de 10 milliards d’habitants. La question fondamentale est de savoir comment assurer une alimentation décente à l’ensemble de cette population, sur la base de ressources certes globalement limitées, mais surtout très inégalement réparties. La crise actuelle des systèmes agraires à l’échelle du monde est la rançon de plusieurs siècles d’irresponsabilité collective.

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  • Béja

    Appel à contribution - Géographie

    Entre abondance et rareté : eau et sociétés dans le monde arabo-méditerranéen et les pays du Sud

    L’eau, c’est la vie, ou la base de la vie. Cette affirmation, dictée par le bon sens et fréquemment érigée en proverbe, mériterait-elle que l’on s’y attarde si la crainte (fondée ou non) de voir l’humanité un jour privée d’eau ne lui conférait une lancinante actualité ? En fait, il s’agit là d’une manière réductrice de poser la question. Que les plus grands spécialistes parviennent à démontrer rigoureusement qu’aucune pénurie globale d’eau douce n’est à redouter dans un avenir prévisible devrait certes soulager la conscience de la partie de l’humanité qui jouit d’un confort matériel minimal. Par contre, que changerait une telle nouvelle au sort de tous ceux qui ne disposent pas d’un accès régulier à l’eau potable ou qui sont exposés aux multiples maladies transmises par l’eau, aux catastrophes naturelles liées à l’eau, etc. ? Raisonner exclusivement en termes de disponibilités physiques revient à éluder le caractère éminemment social des règles d’accès à l’eau, quels que soient les lieux et les époques.

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