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Wars, hope, despair and peace in History
The causes of violence and wars is a traditional theme of controversy. Some old philosophers, like Maurras or von Moltke, see war as a divine law. Others, like Plato, think that it results from human passions or that it constitutes a biological necessity (Nietzsche, Malthus). Still others attribute it to nationalism fueled by despotism. For Marxists, conflict comes from the clash of economic forces. Scholars, philosophers, and moralists debate whether aggression is a constant factor in human nature, an innate or acquired character.
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Béja
La notion de limite d’État est présente dès l’Antiquité. En effet, l’Empire romain est bordé, à partir du Ier siècle, par un limes, ligne de postes fortifiés permettant de contrôler et de repousser les populations « barbares » vivant de l’autre côté. Par endroit, il s’agit d’une ligne continue. Ainsi, entre 122 et 127, l’empereur Hadrien fait édifier un mur de 117 kilomètres entre l’Angleterre et l’Ecosse actuelles. Au VIe siècle, l’historien byzantin Procope de Césarée distingue bien la romaion gè (terre des Romains) et les autres régions situées au-delà. Le mot « frontières » apparaît en français au XIIIe siècle. Il dérive du terme militaire « front » désignant la zone de contact avec une armée ennemie. L’acception actuelle se fixe progressivement à partir du XIVe siècle, à mesure que les pouvoirs étatiques se renforcent et qu’ils soumettent les territoires dépendant d’eux à des lois et à des impôts. Le progrès des techniques cartographiques et les travaux des ingénieurs topographes qui se développent à l’époque moderne permettent aux dirigeants de mieux définir les limites de leurs territoires et de mieux les contrôler. Cependant la fixation des frontières n’est pas uniforme dans le temps et, au XXe siècle, certains pays, en proie à des difficultés politiques ou économiques, n’ont pas encore exactement précisé l’emplacement de leurs confins.
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Béja
Tourism - the phenomenon and its socio-economic consequences
Le mot tourisme possède deux sens : l’acte de voyager pour des raisons non lucratives et l’activité économique correspondante. Les dictionnaires français du XIXe siècle soulignent les caractères de « curiosité » et le « désœuvrement » qui sont le propre des touristes. Au XXe siècle, les institutions internationales complètent la définition en ajoutant le critère du temps. Le tourisme ne peut naître et se développer que si diverses conditions sont réunies : la curiosité, le goût de la découverte et le dépaysement ; des ressources permettant de financer cette curiosité ; du temps libre pour pouvoir quitter temporairement la résidence habituelle ; des moyens de transport et d’hébergement.
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Béja
Identities: the concept, manifestations and evolutions
The complex and polysemic notion of identity offers great opportunities for reflection. Historians, geographers, sociologists, ethnologists, political scientists, geo-politicians, economists, linguists, philosophers, semiologists, theologians..., among others, with methods specific to their discipline, analyze identity, its formation, its relationship with the territory and surrounding populations, the symbolic, written and verbal communication with group members or neighboring groups, changes over time and space. Thus, each particular identity and appears to understand it, we must analyze the highly variable combination of multiple constitutive factors themselves change over time and space.
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Béja
Farming systems’ crises, food insecurity and peasant resistance
Which ways for an authentic sustainable development?
The food issue keeps feeding concern and controversy. Rightly since the fate of a large fraction of humankind is at stake: the number of people suffering from hunger has exceeded one billion in 2009, which is intolerable, in spite of its slow current reduction. Nowadays speculating about the population growth is rather outdated, since it is practically admitted that the Earth will reach a maximum of ten billion people in the course of this century. The actual question is how to ensure a decent food supply to all of this population, on account of resources that are indeed globally limited and above all most unequally distributed. The current crisis of farming systems throughout the world is a ransom for centuries of collective irresponsibility.
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Béja
L’eau, c’est la vie, ou la base de la vie. Cette affirmation, dictée par le bon sens et fréquemment érigée en proverbe, mériterait-elle que l’on s’y attarde si la crainte (fondée ou non) de voir l’humanité un jour privée d’eau ne lui conférait une lancinante actualité ? En fait, il s’agit là d’une manière réductrice de poser la question. Que les plus grands spécialistes parviennent à démontrer rigoureusement qu’aucune pénurie globale d’eau douce n’est à redouter dans un avenir prévisible devrait certes soulager la conscience de la partie de l’humanité qui jouit d’un confort matériel minimal. Par contre, que changerait une telle nouvelle au sort de tous ceux qui ne disposent pas d’un accès régulier à l’eau potable ou qui sont exposés aux multiples maladies transmises par l’eau, aux catastrophes naturelles liées à l’eau, etc. ? Raisonner exclusivement en termes de disponibilités physiques revient à éluder le caractère éminemment social des règles d’accès à l’eau, quels que soient les lieux et les époques.
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