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• 13 mar 2014

  14 mar 2014

  Madrid

  Conference, symposium - History

  Funerary architectures and memory

  The management of necropolises in Western Europe (10th-3rd centuries BC)

  Cette rencontre internationale entend proposer, à l’échelle de l’Europe occidentale, un débat sur les questions liées à l’architecture funéraire et à la gestion des complexes sépulcraux protohistoriques. Ces deux journées sont l’occasion de développer les thèmes concernant la construction architecturale des monuments funéraires et parafunéraires, ainsi que l’utilisation qui en est faite par les sociétés protohistoriques. Il est également opportun de s’interroger sur l’organisation spatiale des structures au sein même des complexes sépulcraux, et de réfléchir à la manière dont les nécropoles / tumulus s’inscrivent dans le paysage et le territoire de ces communautés. Enfin, seront abordées les thématiques consacrées aux pratiques commémoratives et à toutes les actions réalisées après la mise en place des systèmes de couverture / signalisation des sépultures. Ce colloque vise à comparer, sur un espace géographique étendu, les données archéologiques issues de plusieurs contextes culturels afin d’identifier d’éventuelles convergences ou divergences dans la manière de gérer les morts. 

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• 09 fév 2009

  10 fév 2009

  Madrid

  Conference, symposium - Early modern

  « Insiders, outsiders ». Pratiques, dynamiques et symboliques de l'incorporation dans les micro-sociétés (1500-1650)

  Organisé par la Casa de Velazquez et le Centre Roland Mousnier (Université Paris-Sorbonne)

  Ce colloque organisé à la Casa de Velazquez interroge l’articulation entre individu et corps social mais aussi la résilience de l’un à l’autre, en invitant à mettre en lumière les pratiques, dynamiques et symboliques de l’incorporation dans les petites communautés entre 1500 et 1650. L’incorporation implique l’apprentissage et la mise en œuvre de valeurs, de normes et de pratiques communes que l’appartenance à la communauté requiert de l’individu. Ces journées entendent privilégier l’étude de « micro–sociétés » organisant un territoire précis, construites par des pratiques récurrentes, des rituels ou des imaginaires communs, par des institutions et des infrastructures englobantes ou encore par un statut collectif reconnu. Il convient d’interroger les formes, nouvelles ou traditionnelles, utilisées par ces communautés pour incorporer tant des nouveaux arrivants (outsiders) que ceux déjà présents en leur sein (insiders) mais dont la position vis–à–vis de la société ou dans la société a changé à la suite des grandes mutations du début de l’époque moderne.

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