AccueilCatégoriesSociétésHistoireHistoire du travail
5 Événements
- 1
Trier
-
Paris
Appel à contribution - Épistémologie et méthodes
Penser et réaliser la transformation du travail
L’apport de la démarche ergologique et de l’œuvre d’Yves Schwartz
Ce que propose la démarche ergologique c’est la co-production des savoirs pour transformer le travail et plus largement la vie sociale. Comme l’indique le projet scientifique du colloque, « l’approche ergologique, son histoire et ses questions, intéressent a priori tous ceux qui explorent à leur façon les méandres de la vie humaine, mais aussi quiconque veut réfléchir à sa propre activité et à celle des autres, reconsidérer les manières de faire et d’agir, ouvrir de nouvelles perspectives dans les façons de travailler, d’agir et de vivre ». Cette approche, dont notre présent a vivement besoin, est pourtant insuffisamment connue et parfois considérée comme complexe à appréhender. Tel est le constat à l’origine du colloque international pour lequel est publié cet appel à contributions.
-
Appel à contribution - Sociologie
« La nouvelle revue du travail », printemps 2017
L’objet de ce corpus est de questionner ensemble « rapports de genre » et « rapports au travail » dans un contexte où s’exacerbent, dans ces deux registres comme dans leurs intersections, les tensions entre les dynamiques d’émancipation et le renouvellement ou l’aggravation des logiques de domination. Le sens des processus d’engagement / désengagement du travail (professionnel) en est sans doute rendu plus énigmatique. Il mérite d’être décrypté de manière fine. Il ne s’agit donc pas de décrire, une nouvelle fois, les multiples inégalités et discriminations manifestant le poids des rapports sociaux de sexe, mais d’interroger la question de la centralité subjective du travail à partir d’une perspective genrée.
-
Albi
Journée d'étude - Études du politique
Le syndicalisme espagnol dans le cadre des relations internationales
Le cas de l’Union générale des travailleurs (1888-1986)
L’émergence d’un mouvement ouvrier organisé en Espagne, et plus spécifiquement d’obédience socialiste, est inséparable de l’internationalisme. Dès sa création, en 1888, l’Union générale des travailleurs (UGT) cherche à incorporer le mouvement ouvrier international. Ainsi, au fil de son histoire, elle adhère aux grandes organisations : Fédération syndicale internationale, Fédération syndicale mondiale, Confédération internationale des organisations syndicales libres et Confédération européenne des syndicats. Elle participe également aux travaux de l’Organisation internationale du travail et elle noue des relations avec les autres confédérations étrangères. Enfin, l’UGT s’investit au sein d’organismes de solidarité et de protection sociale internationaux, notamment Solidarité démocratique espagnole. Bien qu’ils n'aient fait à ce jour l’objet que de rares recherches, le développement et la portée de l’activité syndicale de l’UGT à l’échelle internationale se sont avérés décisifs dans la survie de la centrale, notamment à des moments cruciaux de son histoire, tels que la dictature franquiste et la transition à la démocratie.
-
Cachan
Mondes et marchés du travail dans l'Europe du Sud (XVe-XXIe siècle)
Incertaine contractualisation : liberté et contrainte au travail
Dans la dynamique de spécification du travail et des activités productives à l’égard des autres activités sociales, les institutions juridiques jouent un rôle crucial. L’élaboration d’un droit de travail et le développement d'assurances sociales reposant sur la cotisation des employeurs et des salariés introduisent des catégories nouvelles dans la vie sociale et économique. Ils enjoignent les acteurs économiques à se reconnaître dans l'une ou l’autre catégorie. Mais que se passe-t-il avant l’entrée en vigueur d'un Code du travail, la reconnaissance d’un contrat de travail ou l’identification d'une catégorie de « chômeur » permettant de regrouper dans une condition commune ceux qui travaillent pour un même « employeur » ?
-
Rome
Appel à contribution - Histoire
Merchants, jurists and other "intermediate groups" in Early Modern Southern Europe
Merchants, farmers, jurists, clerks in large institutions, secretaries, independent landowners, local elites and highly sought master craftsmen, among many others, are individuals with an ambiguous social status. Looking at who was not born exactly noble, nor exactly commoner, but stood on the border between one world and the other, is one of the goals of this initiative. As part of a project developed in Portugal focusing on the Holy Office’s familiaturas, it will be held on September 16 and 17, 2015, a workshop at Escuela Española de Historia and Archaeological in Rome. Our aim is to select a total of 8 applicants, that will be joined by 4 guest speakers, for a joint reflection on the dynamics and profiles of ‘intermediate groups’, as well as on the methodologies for their study in Early Modern Times.
5 Événements
- 1