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  • Peterborough

    Call for papers - Representation

    Resistance and testimony

    Le prochain numéro de la revue GenObs portera sur le Témoignage et la résistance dans le cadre de violences extrêmes (génocides, crimes contre l'humanité, crimes de masse), sur les liens que ces deux activités peuvent partager, les modalités et les visages avec lesquels ils se manifestent avant, pendant, voire après les violences et comment ils sont perçus, lors de leur émergence, parfois avec un fort décalage temporel grâce, entre autres, aux archives. Comment la mémoire et le témoignage se donnent-ils lorsque l’on pose la question de la résistance ou comment la résistance se manifeste-t-elle dès lors qu’elle advient dans un cadre testimonial non seulement lors de commémorations, mais également lors de procès, de productions cinématographiques, d'œuvres d'art, etc.?

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  • Peterborough

    Call for papers - Representation

    The notion of guilt - scorned today?

    Une notion aujourd'hui bafouée ?

    « Responsable mais pas coupable ! » Si le fait de se dire responsable d’un acte implique nécessairement de s’en reconnaître l’auteur, cela n’a-t-il pas pour conséquence naturelle d’accepter d’en être imputable et, partant, de reconnaître aussi la faute commise dès lors que cet acte a été la cause de dommages ? N’y a-t-il pas, derrière cette idée, une esquive des victimes, de leurs droits comme de leurs souffrances ? Notre intention est d’étudier la notion de culpabilité dans le cadre de violences extrêmes (génocides, crimes de masse, crimes contre l’humanité, etc.). Dans cette perspective, nous entendons conduire une lecture de la culpabilité pour nous pencher sur ses diverses modalités lorsque celle-ci s’inscrit dans un contexte où les persécutions et massacres sont commis sur fond d’antagonismes religieux, raciaux, nationaux ou ethniques, en vue de satisfaire un projet politique reposant sur la construction d’une nouvelle cohésion sociale, excluant l’Autre étranger au groupe à refonder.

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  • Cataraqui

    Conference, symposium - Africa

    History of peacekeeping: New perspectives

    Le département d’histoire du Collège militaire royal du Canada organise un symposium bilingue d’histoire militaire les 2 et 3 novembre 2017 ayant pour thème « l’histoire du maintien de la paix : nouvelles perspectives ». De nombreux(ses) conférenciers(ères) du Canada, des États-Unis, de l’Afrique et de l’Australie proposeront leur vision, non seulement des opérations qui ont eu lieu mais aussi examineront les perspectives pour les nouvelles opérations de maintien de la paix dans un monde en changement, où les guerres prennent différentes formes et où les opérations de maintien de la paix doivent ajuster leur intervention en fonction des forces en présence.

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  • Toronto

    Call for papers - Sociology

    Warfare, distance and “civilizing process”

    Cette session – simple ou double selon l'affluence et la qualité des abstracts proposés – invite des socio-historiens, sociologues ou historiens qui interrogent les pratiques guerrières en termes proxémiques et de transformation du rapport au corps à présenter l'état de leurs réflexions et recherches théorico-empiriques. Les abstracts peuvent porter sur des cas d'étude issus de l'époque médiévale jusqu'au siècle passé, véritable laboratoire de violences de masse, de même qu'elles peuvent bien sûr avoir trait aux guerres ayant cours aujourd'hui. La session aura lieu dans le cadre du prochain congrès mondial de sociologie qui se déroulera à Toronto du 15 au 21 juillet 2018 et est organisée par le comité de recherche RC56 (Historical Sociology), notamment lié à la fondation Norbert Elias.

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  • Oshawa

    Call for papers - Language

    Genocide: regimes of pardon

    Réfléchir sur le pardon dans le contexte d’un génocide revient à penser l'impossibilité de l'acte même de pardonner et à reposer la question de la responsabilité du crime qui, au-delà de son caractère « étatique » est autant collectif qu’individuel. Comment envisager le pardon dans cet imbroglio de responsabilités ? Qui pardonne, à qui et quelles sont les modalités de ce pardon, s’il est envisageable ? Est-il une nécessité ou une possibilité, un droit ou un devoir, un acquit ou un mérite? C’est pour répondre à ces questions qu’est né le thème de ce colloque, inspiré par les rencontres qui lui ont précédé : après avoir réfléchi sur le témoignage, la mémoire, le tiers et le témoin second, et la justice, le pardon arrive bien à propos pour poursuivre les débats sur le génocide et sa gestion. Si pardonner c’est remonter dans le passé de la faute pour rouvrir la blessure afin de mieux la panser, est-il possible de pardonner sans « banaliser le mal », sans rendre possible sa résurgence ?

     

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  • Hamilton

    Call for papers - Representation

    Génocide, justice et témoins

    Des discours de la justice aux discours sur la justice

    Témoigner est un acte fondamental et essentiel au fonctionnement de la justice. Le recours au témoignage, en convoquant les témoins directs – les survivants dans les cas de génocide – et les experts – les historiens depuis quelques décennies, les journalistes, etc. – constitue le mode de preuve que l'on recevra au prétoire. Tous ces témoins attesteront solennellement par leur déclaration de la véracité des faits. Convoquant dans une même enceinte victimes directes (les témoins) et exécutants ou planificateurs de génocide, la justice peut-elle répondre à la fois à l'idéal philosophique et moral qu'elle incarne lorsque les victimes sont, par exemple, malmenées par les avocats de la défense ? Comment peut-on, comment faut-il comprendre ou définir cet "art du bon et de l'égal", comme définissait la justice une formule médiévale ?

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  • Hamilton

    Call for papers - Language

    Genocide, justice and witnesses. From discourses from justice to discourses about justice

    Témoigner est un acte fondamental et essentiel au fonctionnement de la justice. Convoquant dans une même enceinte victimes directes et exécutants ou planificateurs, la justice peut-elle répondre à l'idéal philosophique et moral qu'elle incarne ? Comment peut-on, comment faut-il comprendre ou définir cet « art du bon et de l'égal » ? Devant tout génocide, la justice est, comme instance légale ou comme visée idéale vers laquelle les victimes voudraient que tende la justice, non seulement une tentative de rétablissement de la dignité humaine, mais surtout un exercice du droit, qui entend veiller à la réparation de l’idéal moral de la responsabilité, de l’idéal social du vivre ensemble et de l’idéal politique de l’aménagement de l’espace citoyen qui favorise la liberté pour tout le monde. Mais comment les victimes l'entendent-elles lorsqu'elles témoignent en dehors du cadre judiciaire ? Voilà ce à quoi nous invitons aussi à réfléchir durant ce colloque qui se veut pluridisciplinaire.

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