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• 15 fév 2021

  Nantes

  Appel à contribution - Époque moderne

  Curiosité, entreprises intellectuelles et explorations scientifiques dans les écrits de femmes à l'époque moderne (XVIe-XVIIIe siècle)

  L’objet de ce colloque international invite à considérer la part des questionnements intellectuels des femmes dans la République des Lettres, la contribution de la curiosité des femmes dans le renouveau des savoirs à l’époque moderne et de la scientia en particulier.

   

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• 10 mai 2014

  Nantes

  Appel à contribution - Études des sciences

  Jules Verne, la science : jusqu’où explorer ?

  Cinquièmes rencontres Jules Verne

  Ouvertes à un large public, ces rencontres s’adressent aux professionnels (chercheurs, enseignants, acteurs de la culture scientifique, industriels) comme aux citoyens. Les « Rencontres Jules Verne » réuniront des chercheurs des disciplines scientifiques ou des sciences humaines, mais également des ingénieurs, architectes, journalistes, artistes … Ce sera l’occasion de croiser et de confronter des approches différentes : histoire des idées, histoire littéraire, analyses philosophiques et anthropologiques de l’imaginaire social. Sans oublier les « verniens », analysant le projet sociétal de l’auteur des Voyages Extraordinaires.

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• 10 sep 2013

  12 sep 2013

  11 sep 2013

  La Baule-Escoublac

  Colloque - Pensée

  Matière et nécessité au XVIIIe siècle

  Quatrièmes journées de La Baule

  Au XVIII^e siècle, la matière est par bien des aspects une idée neuve en Europe. Si le siècle précédent est celui de l’invention moderne de la nature, désormais comprise comme l’ensemble des phénomènes obéissant à des lois, il devient impossible de reculer devant la question ontologique sous-jacente, qui est celle de l’éventuelle synonymie entre naturalité et matérialité. D’où la présence quasi obsédante d’un matérialisme philosophico-scientifique qui, souvent interprété comme un motif polémique et anti-théologique, est peut-être d’abord à comprendre comme le produit d’une rationalité qui assume jusqu’au bout son projet d’objectivation de la nature. Ontologiquement conséquent, ce matérialisme ne pouvait à son tour que soulever la question de ses suites pratico-métaphysiques, ouvrant la voie à un fatalisme renouvelé, parce que ne découlant pas directement de fondements théologiques.

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