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Béja
La notion de limite d’État est présente dès l’Antiquité. En effet, l’Empire romain est bordé, à partir du Ier siècle, par un limes, ligne de postes fortifiés permettant de contrôler et de repousser les populations « barbares » vivant de l’autre côté. Par endroit, il s’agit d’une ligne continue. Ainsi, entre 122 et 127, l’empereur Hadrien fait édifier un mur de 117 kilomètres entre l’Angleterre et l’Ecosse actuelles. Au VIe siècle, l’historien byzantin Procope de Césarée distingue bien la romaion gè (terre des Romains) et les autres régions situées au-delà. Le mot « frontières » apparaît en français au XIIIe siècle. Il dérive du terme militaire « front » désignant la zone de contact avec une armée ennemie. L’acception actuelle se fixe progressivement à partir du XIVe siècle, à mesure que les pouvoirs étatiques se renforcent et qu’ils soumettent les territoires dépendant d’eux à des lois et à des impôts. Le progrès des techniques cartographiques et les travaux des ingénieurs topographes qui se développent à l’époque moderne permettent aux dirigeants de mieux définir les limites de leurs territoires et de mieux les contrôler. Cependant la fixation des frontières n’est pas uniforme dans le temps et, au XXe siècle, certains pays, en proie à des difficultés politiques ou économiques, n’ont pas encore exactement précisé l’emplacement de leurs confins.
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Kinshasa
Theologies post Jean-Marc and what his work has lest to posterity
Quelles postérités de son œuvre théologique ?
Dix ans après la mort de Jean-Marc Ela, le 26 décembre 2008, à Vancouver au Canada, son œuvre inspire les champs aussi variés que la théologie, la sociologie, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, l’économie, la politique, la culture, la démographie, l’écologie et la science. Aux dix ans de la mort de J.-M. Ela, le colloque international a pour but d’appréhender son œuvre dans son intégralité et dans toute sa diversité en la plaçant dans la trame de ses relations multiples (théologiques, sociales, religieuses, éthiques, politiques) et en actualisant son approche de la libération et ses postérités.
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Yaoundé
The geopolitics of religion in Camerooon
Ce projet d’ouvrage, sur la Géopolitique du fait religieux au Cameroun, veut élargir la notion de Géopolitique des religions d’Yves Lacoste (2002). Si ce dernier la circonscrit autour de territoires physiques avec expression d’une violence ouverte, nous entendons davantage la géopolitique du religieux comme l’analyse des rapports de forces de groupes se revendiquant religieux, pour la conquête de territoires physiques et symboliques, avec expression d’une violence protéiforme - ouverte, symbolique ou sournoise. Quant aux territoires de Dieu (Lasseur, 2005), qui font ainsi l’objet de rivalités de pouvoirs, ils concernent des espaces physiques, mais aussi des territoires symboliques.
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Hammamet
De par son origine et son histoire même, le terme tabou s'inscrit en premier lieu dans le large champ de l'anthropologie. Il se donne à comprendre comme une pratique sociale condensant à la fois interdit, impureté et sacré. Selon les usages et les mœurs, sa mise en œuvre se traduit le plus souvent par des injonctions réglementées proscrivant de toucher à la chose tabouée. Dans ce sens, l'exercice social du tabou peut peser non seulement sur la personne, son corps, ses gestes, sa parole mais peut également façonner, réglementer, determiner son mode de vie, voire mettre fin à sa vie.
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Rabat
Sociological appraisal and social changes in Morocco
Dans ces moments de transitions, sociopolitiques, culturelles et démographiques que connaît le Maroc, le rôle que doivent jouer les sciences sociales est plus que jamais décisif. Car celles-ci permettraient-elles sans doute de saisir et d’analyser les temporalités dans lesquelles se tracent des devenirs à la fois anthropologique et sociopolitique. Le colloque « Bilan sociologique et changements sociaux au Maroc » qu’organise le B.E.S.M. s’inscrit justement dans cette logique. Il s’agit en plus de faire un bilan synthétique et analytique de l’apport des sciences sociales durant ces deux dernières décennies – relatif aux domaines sociologiques importants sur lesquels elles ont focalisé et des questionnements anthropologiques qu’elles ont ouverts – d’ouvrir un débat interdisciplinaire neuf et critique, à partir de perspectives différentes mais complémentaires, sur les nouvelles dynamiques sociales qui se déploient et se reformulent dans le Maroc d’aujourd’hui. Des dynamiques que nous comptons, en l’occurrence, saisir à travers des pratiques et des processus sociologiques, en donnant à ce terme une dimension globale qui réfère aux expressions religieuses et culturelles, aux articulations politiques et économiques ainsi qu’aux multiples relations entre les catégories individuelles et collectives qui forment la société marocaine.
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Buea
Conference, symposium - Religion
Religions, langues et cultures africaines à l’ère du numérique
Les rapports de forces et d’équilibre
La religion, la langue et la culture ont toujours été au centre de la vie de l’homme, permettent à ce dernier de communiquer, et déterminent ses rapports avec le monde. La transmission de ces éléments centraux du quotidien de l’être humain s’est souvent opérée au travers de multiples instruments et moyens : le tam-tam, la radio, la télévision et aujourd’hui l’internet. On a pu ainsi constater que l’islam, religion dominante au Maghreb, sert de support aux usages, habitudes et comportements quotidiens, même s’il y ajoute quelques rituels culturels traditionnels. En Afrique subsaharienne, le christianisme partage équitablement sa domination avec l’islam et d’autres religions traditionnelles. Dans les deux cas, les religions arabo-judéo-chrétiennes ne reconnaissent pas les rites dits « païens » et promettent l’enfer à leurs praticiens. Face à cette situation de conflits religieux, comment le pédagogue doit-il se comporter ? Comment doit-il analyser les différentes voies d’extension des religions en Afrique francophone ? Faudrait-il oublier la tradition au profit de nouveaux acquis (dogmes religieux, Internet, propagande télévisée) ? En bref, quelle est la place/le rôle des chercheurs dans ce jeu d’intérêts sur fond de fanatisme déclaré ou subtile ?
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Abidjan
La Faculté de Théologie et de Sciences des Religions (FTSR) de l’Université Internationale des Sciences Sociales HAMPATE BA, veut illustrer l’universalisme et la haute pertinence de ses missions institutionnelles et sociales, avec la réflexion sur la rencontre Ecologie et Religion. La Faculté veut initialiser, en Côte d’Ivoire, au service de l’émergence d’une nouvelle culture (attitudes et pratiques) relative au respect de l’environnement, un courant d’études. Au plan de la raison scientifique et pédagogique, l’objectif premier de l’étude est de montrer le renouvellement profond de la théologie ( herméneutique, philosophie) à la rencontre des défis majeurs du temps, l’écologie ; l’objectif second est d’explorer les potentialités de culture qu’offre la spiritualité (les religions) comme un vecteur de mutation de la pensée et de l’agir écologistes relatifs à la préservation de l’environnement, de l’espèce humaine et de son développement biologique, psychique, économique, social, culturel.
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