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Montreal
Arbitrariness and arbitration: the grey areas of power (12th-18th century)
Dans le monde occidental contemporain régi par le droit et la loi, par les constitutions et les chartes, envahi par une normativité galopante, l’idée que le pouvoir puisse avoir une part d’arbitraire peut surprendre ou choquer. En 1690 pourtant, Antoine Furetière proposait une définition nuancée de l'arbitraire, reflétant une signification ancienne inspirée de la pratique du droit : « qui dépend de l’estimation des hommes, qui n’est point fixé par le droit, ni par la loi » ; un sens que l’on retrouve déjà chez Jean Froissart en 1397 : « qui dépend de la décision du juge », tout simplement. Ce colloque, au carrefour de l’histoire, du droit, de la philosophie et de l’anthropologie, propose d’envisager de manière pluridisciplinaire ou interdisciplinaire et par une lecture comparative les pratiques arbitraires/arbitrales dans le champ du droit privé, du droit pénal et de l’exercice du pouvoir public.
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Toronto
Warfare, distance and “civilizing process”
Cette session – simple ou double selon l'affluence et la qualité des abstracts proposés – invite des socio-historiens, sociologues ou historiens qui interrogent les pratiques guerrières en termes proxémiques et de transformation du rapport au corps à présenter l'état de leurs réflexions et recherches théorico-empiriques. Les abstracts peuvent porter sur des cas d'étude issus de l'époque médiévale jusqu'au siècle passé, véritable laboratoire de violences de masse, de même qu'elles peuvent bien sûr avoir trait aux guerres ayant cours aujourd'hui. La session aura lieu dans le cadre du prochain congrès mondial de sociologie qui se déroulera à Toronto du 15 au 21 juillet 2018 et est organisée par le comité de recherche RC56 (Historical Sociology), notamment lié à la fondation Norbert Elias.
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Montreal
Conceptualising Violence: An Exploration of its Representations and Dynamics
XXIV International and Interdisciplinary Colloquium of the Association des Étudiant(e)s Diplômé(e)s du Département d’Histoire de l’Université de Montréal (AÉDDHUM)
La violence sous sa forme physique a toujours été présente dans l’historiographie, ne serait-ce qu’à travers de l’histoire de la guerre. L’analyse de celle-ci s’est largement agrandie dans les dernières années, à la fois à d’autres formes de violence, mais aussi à d’autres « lieux » où elle s’articule. Lié au concept de « lieux de mémoire » la violence prend un autre sens. Interprété et réinterprété dans le temps et dans les discours, le legs de la violence s’altère et change au gré des époques. Des évènements violents s’institutionnalisent et se banalisent ; des évènements pacifiques sont violemment réinterprétés a posteriori par des opposants. De véritables combats de la mémoire naissent autour de l’interprétation à la suite d’évènements traumatiques. La discipline peut bénéficier de ces nouveaux défis en considérant les approches interdisciplinaires (anthropologie, archéologie, sociologie, etc.) ainsi que les nouvelles sources (images, art) et méthodologies.
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