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• 05 avr 2019

  Ghent

  Chamada de trabalhos - Geografia

  Qu'est-ce que les géographies carcérales apportent aux études sur les univers carcéraux ?

  19th Annual Conference of the European Society of Criminology : convergent roads, bridges and new pathways in criminology

  The term ‘carceral geography’ describes a vibrant field of geographical and space-centred research into practices and institutions of incarceration, ranging from prisons to migrant detention facilities and beyond. Although rapid, its development is far outpaced by the expansion, diversification and proliferation of those strategies of spatial control and coercion towards which it is attuned. The dictionary definition of carceral is ‘relating to, or of prison’, but as Routley notes ‘carceral geography is not just a fancier name for the geography of prisons’. Carceral geography is in close dialogue with longer-standing academic engagements with the carceral, most notably criminology and prison sociology. Dialogue initially comprised learning and borrowing from criminology, but within a more general criminological engagement with spaces and landscapes  recent years have seen criminologists increasingly considering and adopting perspectives from carceral geography.

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• 15 fév 2017

  Paris | Bruxelas

  Chamada de trabalhos - Sociologia

  Architecture carcérale contemporaine

  Matérialités, utopies, prospectives

  Ce séminaire opte pour un double parti pris. D’abord, il convient de se focaliser exclusivement sur des questions d’espace(s) pour évoquer la prison. En effet, la sociologie carcérale étant foisonnante, la focale d’analyse sera singulièrement réduite afin de se concentrer sur des questions architecturales, géographiques et spatiales. Ensuite, les interventions et discussions porteront essentiellement sur la prison contemporaine, c’est-à-dire en admettant les analyses historiques ou prospectives pour ce qu’elles ont à dire sur la prison, le système carcéral et la politique pénitentiaire d’aujourd’hui.

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• 13 jui 2014

  Bruxelles (Etterbeek)

  Jornadas - História

  Répondre à de nouvelles « menaces » ? Institutions de polices et « transitions » sociétales

  Perspectives sociohistoriques, Europe, XIXe-XXe siècles

  Qu’elle soit balisée par des facteurs économiques, politiques, sociaux ou culturels, la transformation de la vie en société constitue pour les autorités un « risque » qu’il convient d’encadrer et d’accompagner. La réponse étatique à cette situation de transformation peut être analysée au prisme policier. De manière informelle ou non, les systèmes policiers adaptent leurs cadres réglementaires, leurs structures et leurs pratiques pour répondre aux nouvelles menaces et aux nouvelles donnes qu’ils rencontrent et ont mission de gérer.

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• 30 jui 2014	01 jui 2014	02 jui 2014
  03 jui 2014	04 jui 2014

  Louvain-la-Neuve

  Informações diversas - Epistemologia e métodos

  Outils pour l’étude des groupes et réseaux sociaux

  École d’été internationale en méthodologies de la recherche en sciences humaines et sociales

  L'objectif de cette formation est d'aborder les problèmes méthodologiques des chercheurs engagés dans une recherche doctorale en sciences humaines et sociales, en lien avec l'analyse de groupes et réseaux sociaux. Les modules de formation seront axés vers la résolution de cas pratiques et la découverte de méthodes et outils informatiques dédiés à l'analyse de corpus de données relatives à des groupes et/ou réseaux sociaux.

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• 27 jan 2011

  28 jan 2011

  Bruxelas

  Colóquio - Sociologia

  Jeunesse et violence

  Approches socio-historiques

  L’actualité convoque de manière récurrente la question de la violence juvénile au premier rang des préoccupations des citoyens. S’entrecroisent dans les discours médiatiques la figure de l'enfant victime, à laquelle l’opinion se montre de plus en plus sensible, et celle du jeune agresseur, qui est au contraire l’objet de diabolisation. Depuis les années 1990, pouvoirs publics, intervenants sociaux et acteurs associatifs sont sommés de proposer des mesures de prévention et de traitement à l’égard d’une violence perçue comme exponentielle, qu’elle soit exercée ou subie par les enfants et les jeunes. Saisi par cette demande sociale, le personnel politique a fait de la sécurité et de la gestion des risques sociaux un nouveau mode de gouvernementalité.

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