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Yaoundé
Appel à contribution - Économie
Économie, économie informelle, emplois et croissance en Afrique subsaharienne
Regards des sciences sociales et économiques
Depuis plusieurs décennies, la situation socio-économique de beaucoup de pays d’Afrique subsaharienne laisse à désirer. L’économie formelle (secteur formel) telle qu’elle existe dans les pays développés n’y est pas performante dans une large mesure ; et c’est l’économie informelle (secteur informel) qui ne cesse de prendre une ampleur considérable aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain. Il s’agit d’un terrain de prédilection qui permet de répondre à un besoin de survie et de lutte contre la pauvreté. On y retrouve « une population de plus en plus hétérogène : des migrants de toute origine, des jeunes diplômés en quête d’un premier emploi, des laissés-pour-compte du système scolaire, des chômeurs du secteur moderne victimes des politiques de stabilisation » (Maldonado et al., 2001). Les dirigeants politiques, les fonctionnaires de l’État et le personnel du secteur privé évoluent également dans ce même secteur formel qui se révèle, dans certains cas, comme un moyen d’accumulation du capital, parfois au détriment de l’État ou de l’intérêt général.
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Paris
Cycle de conférences - Histoire
Les paris de l'industrie, 1750-1920
En amont de l’exposition sur l’industrie à Paris, 1750-1920 qui sera présentée à partir de début décembre au Réfectoire des Cordeliers, ce cycle de conférences se propose de mieux faire connaître les lieux, les acteurs et les grands enjeux de l’industrie à Paris depuis la fin du XVIIIe siècle. Signe de l’entrée dans la modernité pour les uns, porteur de régression sociale pour les autres, l’ère industrielle est assurément une période de profondes transformations du tissu urbain et d’importants bouleversements du champ économique et social pour les Parisiens. La dimension problématique de cette activité doit aujourd’hui être redécouverte.
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Paris
Les métiers de la parole (XIIIe-XVIIe siècle)
Apprentissage, pratiques didactiques et transmission des savoir-faire techniques (Occident)
Au XIIIe siècle, une « parole nouvelle » se développe dans la prédication, la parole royale, l’enseignement universitaire, mais aussi par le poids grandissant des juristes et des gens du Parlement, comme par la renaissance éclatante du théâtre urbain. L’exercice des « métiers de la parole » qui apparaissent alors nécessite l’apprentissage exigeant de savoir-faire oratoires et de codes rhétoriques, dont la transmission et l’acquisition imposent des pratiques didactiques spécifiques, lesquelles ont peu retenu l’attention des historiens, plus préoccupés des questions de contenu pédagogique. Il s’agit d’interroger le temps qui existe entre la fin des études et la pleine maîtrise de la pratique professionnelle. L'existence d'une possible communauté de culture professionnelle entre les « métiers de la parole » n'a pas encore été envisagée : comment apprend-on son métier, quand l’exercice de celui-ci, bien que non manuel, nécessite un très grand savoir-faire technique ?
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