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  • Paris 04 Hôtel-de-Ville

    Colloque - Histoire

    Temps et temporalités sous la Révolution

    Accélération du temps, perte des repères, situation de déphasage... autant de termes largement utilisés pour décrire divers phénomènes de la période révolutionnaire. La Révolution offre un terrain d’investigation privilégié pour qui s’intéresse à la manière dont ses acteurs ont conçu, vécu et représenté le temps. À un autre niveau d’analyse, on s’intéressera à la manière dont les révolutionnaires ont mis en place de nouveaux instruments de mesure et de représentation du temps : du calendrier révolutionnaire (octobre 1793) à la confection de nouvelles horloges, le temps s’impose comme une véritable obsession, pouvant être à l’origine de cas de folie. 

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  • Nantes

    Colloque - Droit

    Theological Foundations of Modern Constitutional Theory: 16th-17th Centuries

    Fondements théologiques de la théorie constitutionnelle moderne : XVIe-XVIIe siècles

    This conference aims to assemble different studies laying bridges between modern constitutional theories and theology from the perspective of intellectual history. Though modernity of law and politics has been usually accounted in the context of Reformation, the paper-givers’ approaches to the question will not be restricted in any confessional perspective, Protestant or Catholic. For, whatever the word ‘theology’ may have connoted in the time of religious confrontations, theoretical attempts to legitimize human rights and political authority at those days can be regarded as part of the general current of philosophical investigations, in a new manner and with different foci than ever, into the concept of justice with reference to that of God.

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  • Paris

    Journée d'étude - Histoire

    Diffuser, recevoir, conserver la loi du XIVe au XVIe siècle

    L'UMR de droit comparé de Paris 1 et le Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris 1 également, associés au Centre Jean Mabillon de l'École nationale des chartes, organisent une journée d'étude consacrée à la matérialité de la loi. En effet, si l'idéologie législative qui structure la construction de la souveraineté a été bien mise en évidence à l'époque des grandes entreprises historiographiques sur la Genèse de l'État moderne, la réalité concrète de la loi (écriture, diffusion, authentification, réception, conservation...), au bas Moyen Âge et dans la première modernité, demeure encore insuffisamment connue, alors qu'il s'agit d'une documentation essentielle et souvent utilisée, mais pour laquelle les catégories d'analyse demeurent encore largement incertaines.

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  • Paris

    Colloque - Europe

    Pierre Le Grand et l'Europe des sciences et des arts

    Circulations, réseaux, transferts, métissages

    L’année 2013 marque une date importante dans l’histoire de la Russie : le 400e anniversaire de la Maison Romanov, la dynastie royale et impériale qui compte une quinzaine de souverain(e)s. Si les premiers Romanov ont eu pour tâche primordiale de sortir l’État moscovite de la période des Troubles au XVIIe siècle, Pierre Ier (1672-1725) a profondément réorganisé le pays en lui conférant définitivement le statut d’empire et en l’intégrant comme un partenaire politique, militaire et intellectuel compétitif dans l’espace européen. Parmi les instruments de cette transformation majeure, le transfert et l'acculturation des savoirs européens ont joué un rôle fédérateur. La thématique du transfert et de l’acculturation des savoirs européens (leurs mécanismes, leurs acteurs, leurs filières) a généré, au fil du temps, une abondante littérature.

     

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  • Paris

    Séminaire - Époque moderne

    Famille, normes et pouvoir dans la modernité politique

    La modernité politique sera envisagée cette année sous l’angle des rapports entre famille et politique. En effet, sous l’Ancien Régime, les structures de la parenté et de l’alliance d’un côté, l’organisation des pouvoirs publics de l’autre, sont dans un jeu d’influence et d’interaction, tant au niveau des pratiques que des représentations et des justifications. À l’homothétie de la « famille, séminaire des États » répond la métaphore du « Roi, père du peuple », et si l’ordre public justifie l’ingérence de la législation royale dans les affaires familiales, l’État royal se pense nécessairement en termes dynastiques de perpétuation lignagère. Néanmoins, et simultanément, la doctrine de la souveraineté vient achever un long processus de distinction entre les pouvoirs, pensés de plus en plus abstraitement, et les personnes physiques de ceux qui les exercent : elle rend possible l’émergence d’un modèle alternatif à celui de la patrimonialisation du pouvoir, qui oppose intérêt public et intérêts privés, et modifie progressivement les modes de construction, de maintien et d’objectivation des positions de domination. Cet éloignement des deux sphères du domestique et du public transforme alors la question des influences réciproques en celle d’une délimitation du domaine spécifique de chacun. 

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