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Limoges
Conference, symposium - History
Saying, de-scribing and representing violence
L’idée de ce colloque n’est pas d’étudier la violence en elle-même, mais de voir comment, à travers les époques, cette notion a pu être utilisée, mise en scène, discutée et instrumentalisée. Il s’agit donc, en premier lieu, de mener une réflexion sur les stratégies discursives à l’œuvre dans les textes, que ce soit des œuvres historiographiques, des œuvres littéraires ou encore des articles de presse. C'est aussi l’occasion d’analyser les représentations figurées de la violence, ainsi « mises en images » à l’échelle des manuscrits ou dans les arts monumentaux, mais aussi à travers l’élaboration de rituels. Enfin, il s'agit aussi de s’interroger sur toutes les formes de représentation de la violence et leur instrumentalisation.
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Paris
Socio-political uses of the category of genocide
La catégorie de génocide est une notion juridique et scientifique qui fait l’objet de nombreux débats et polémiques dans le monde contemporain. Forgé par le juriste Raphaël Lemkin en 1944, ce terme est aujourd’hui devenu très fréquent, au point que son usage est au cœur de discussions et de conflits, aussi bien dans l’espace public (tel événement du passé peut-il être qualifié de génocide ?), que dans l’espace savant de l’écriture de l’histoire. Utilisé à l’origine pour désigner le crime perpétré par les nazis à l’égard des juifs et des tsiganes, il est devenu central dans la dénomination d’événements historiques auparavant appelés « massacres », et dans l’acquisition d’une stature internationale pour ces événements. Un certain nombre de termes dérivés sont même apparus, comme ethnocide, ou génocide culturel, manifestant de nombreuses projections émotionnelles et morales collectives. Face à la multiplication des discours convoquant cette catégorie, on peut distinguer la question de la qualification génocidaire au niveau scientifique et juridique, de celle de ses usages dans l’espace social.
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Cergy
Falsehoods and fiction in history and geography (2011-2012)
Tandis que la fiction relève d’un genre bien connu – une création originale – le faux peut revêtir plusieurs sens : un mensonge, une contrefaçon ou un pastiche par exemple. Des « faux » sont devenus célèbres par leurs conséquences : de la fausse donation de Constantin par laquelle l’empereur romain Constantin Ier (IVe s. après JC) aurait donné au pape la primauté sur les Églises d’Orient et la puissance sur les Églises d’Occident à la fausse dépêche d’Ems qui conduit la France à déclarer la guerre à la Prusse en 1870, l’histoire compte de nombreuses falsifications, intentionnelles ou non, dévoilées ou non. Depuis une vingtaine d’années, l’histoire des représentations s’intéresse à tous ces faux repérés car, s’ils ne disent pas le vrai ils peuvent révéler une autre vérité. Le séminaire, à destination des étudiants de master professeur de lycées et collèges en histoire et géographie, est ouvert à toutes les personnes, en particulier les enseignants intéressés par ces sujets.
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