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  • Champs-sur-Marne

    Study days - Europe

    Domestic relationship to work (16th-18th centuries)

    Cette journée d’études se propose d’examiner différents univers de travail définis a priori comme non domestiques – manufactures, ateliers artisanaux, boutiques, police, armée, marine, bureaux, etc. – en interrogeant l’existence ou la persistance de rapports domestiques, c’est-à-dire : de formes de rémunération associées à la domesticité : gages, temporalité indéfinie du paiement, formes de pécules ou de dot ; d’une disponibilité temporelle extensible et potentiellement sans limite de l’employé ; d’une dépendance personnelle explicitement engagée dans la relation de travail ; on s’intéressera aussi à la question d’une empreinte domestique dans la définition des tâches (pluri-activité vs spécialisation ?).

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  • Paris

    Call for papers - Early modern

    Workers and Mobility in the Early Modern Cities: Actors and Strategies

    The important changes that are currently taking place in the job market have prompted historical consideration of the issues of job insecurity and flexibility. Far from being exclusive to modern day societies, a mobile workforce - above all between sectors - was also a feature of the early modern world of work. The work of charitable organisations and confraternities, individual and family strategies, career paths, contracts and work agreements are all fields in which traces of this mobility are visible and it was seen not so much, or not solely, as a chance for social betterment but also and above all as a unstable state. The goal of this workshop is to contribute to an analysis of certain more specific labour mobility issues in the light of the historical debate which has taken place over recent years.

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  • Paris

    Call for papers - History

    Les métiers de la parole (Occident, XIIIe-XVIIe siècle)

    Apprentissage, pratiques didactiques et transmission des savoir-faire techniques

    L’exercice des "métiers de la parole" qui apparaissent au XIIIe siècle nécessite l’apprentissage exigeant de savoir-faire oratoires et de codes rhétoriques, dont la transmission et l’acquisition imposent des pratiques didactiques spécifiques. S’il importe de poser la question du rapport entre savoir théorique et savoir pratique, il s’agit d’interroger le temps qui existe entre la fin des études et la pleine maîtrise de la pratique professionnelle. Si le prédicateur, le professeur, l’avocat et l’acteur se posent en figures emblématiques des ‘métiers de la parole’, ne sont pas exclus de l’étude les métiers pour lesquels la parole, sans être au centre de la production professionnelle, est un des moyens de l’exercice : l’ambassadeur, l’officier royal, le notaire, le marchand, etc. L'existence d'une possible communauté de culture professionnelle entre ces métiers n'a pas encore été envisagée : comment apprend-on son métier, quand l’exercice de celui-ci, bien que non manuel, nécessite un très grand savoir-faire technique ?

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