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  • Call for papers - Thought

    The current state of moralisation in capitalism

    L’Homme et la Société journal

    Dans un contexte global où les inégalités économiques atteignent de nouveaux sommets et engendrent des perceptions d’injustices cruelles et insolubles pour les acteurs individuels et collectifs quel que soit leur pays, le capitalisme semble, aux yeux d’une grande majorité, entaché d’une immoralité croissante. Dans le même moment, les déclarations visant la moralisation du marché et de la finance se développent et s’intensifient dans une perspective qui viserait à atténuer les maux présents, sans être suivies d’effets concrets. Par cet appel à articles, L’Homme et la Société souhaite engager le débat sur les transformations présentes qui, sous couvert de moralisation du capitalisme, découragent, démobilisent et en fin de compte démoralisent les possibles vers une autre société.

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  • Nanterre

    Conference, symposium - Sociology

    Debt as a social relationship: limitations or the condition of freedom?

    Le concept même de dette, que celle-ci soit publique ou privée, permet de caractériser tout un ensemble de relations sociales sur lesquelles le regard porté ne peut être neutre. L’objet du colloque est d’interroger les présupposés qui sous-tendent différentes conceptions de la dette et de l’endettement, de comprendre comment celles-ci s’entrecroisent et s’appliquent au sein de la réalité. Comment qualifier ces différentes relations sociales qui se développent sous l’entremise de la dette ? Le problème que nous posons renvoie à des considérations qui mettent en discussion certains postulats insuffisamment questionnés autour de la notion de dette, mais, plus largement, sur le devenir de nos sociétés et des liens sociaux qui s’y développent.

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  • Paris

    Call for papers - Political studies

    Politicising, depoliticising and repoliticising

    Quel sens donner à l’affirmation selon laquelle « tout est politique » ? D’un côté, à chaque point précis où il y a domination, asymétrie de pouvoir, il y a conflit possible et émancipation possible, donc il y a de la politique. De l’autre, celle-ci n’existerait qu’en puissance, en chaque lieu où l’ordre social serait absolument naturalisé, où son arbitraire et sa contingence seraient intégralement recouverts. Il existe donc deux cas-limites, celui ou en un sens rien n’est politique, et celui de la politisation « totale » : deux polarités qui nous permettent de poser le problème différemment. Car si tout n’est pas toujours considéré comme politique, c’est-à-dire effectivement politisé, tout n’est-il pas, par contre, politisable (l’organisation du travail dans les luttes ouvrières, le privé dans les mouvements féministes, la technique dans les mouvements écologistes, les migrations dans les luttes postcoloniales…) ?

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