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  • Rome

    Appel à contribution - Histoire

    Les accords du Saint-Siège avec les États (XIXe-XXIe siècle)

    Modèles et mutations, de l’État confessionnel à la liberté religieuse

    Ce colloque s’intéresse aux accords de droit international signés entre le Saint-Siège et les États, qui, le plus souvent mais pas exclusivement, ont pris la forme de concordats et de conventions similaires. Il s’agira de les examiner à la lumière des pratiques diplomatiques, mais aussi au regard des dynamiques politico-religieuses des XIXe-XXIe siècle, et notamment des principes et des exigences constitutifs de la modernité / contemporanéité. Il conviendra d’en mesurer l’évolution historique dans la typologie, la méthode, les contenus, la portée et les espaces concernés.

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  • Yaoundé

    Appel à contribution - Religions

    Laïcité(s) au XXIe siècle

    Que devient la laïcité au cours de ce God’scentury ? Cet atelier de travail est une opportunité d’engager une réflexion sur les particularismes, les ambiguïtés, les paradoxes dans la conceptualisation et les pratiques de la laïcité en Afrique en général et au Cameroun en particulier.

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  • Louvain-la-Neuve

    Colloque - Droit

    État et religions

    Ces dernières années, la thématique « État et religions » s’est particulièrement développée au gré de la diversification des croyances, du pluralisme, de l’immigration, de la sécularisation de la société, de la montée en puissance des droits de l’homme et de la lutte pour la protection d’une société démocratique. Parmi les multiples questions induites par ces différents facteurs, trois axes d’analyse ont été retenus à l’occasion du colloque international réunissant l’université catholique de Louvain, l’université de Rennes et l’université d’Ottawa le 25 novembre prochain.

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  • Sceaux

    Colloque - Droit

    Les logiques du droit

    Autour des formes de légitimation du pouvoir

    Ce colloque à vocation transdisciplinaire, est ouvert aux historiens, juristes, politistes et sociologues. Attachée à une conception « réaliste » du fait juridique qui considère le droit comme un fait social et historique, ce colloque est organisé autour de quatre demi-journées. La première sera consacrée à l’épistémologie du droit. La seconde demi-journée portera sur la question du droit et sa portée légitimatrice dans les « groupements hiérocratiques » (Max Weber), donc sur les liens entre droit et domination spirituelle. La troisième demi-journée s’intéressera à la même thématique, mais concernant les « groupements politiques » (Max Weber). Enfin la quatrième demi-journée se concentrera sur les liens entre codification et enjeux de pouvoir (convention, constitution), autrement dit sur le droit comme enjeu et instrument de luttes pour la conquête et la répartition du pouvoir, ainsi que ses traductions normatives.

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  • La Rochelle

    Colloque - Europe

    Les pères de l'Église à l'écoute du peuple

    Sens fidelium et discours autorisés durant l'Antiquité tardive

    Pour sa VIIe édition, le colloque de patristique et d'histoire ancienne de la Rochelle réunira des universitaires s'interessant à la lecture des pères de l'Eglise et au monde de l'Antiquité tardive tant sur le plan historique et littéraire que théologique et anthropologique. Tout au long de l'Antiquité tardive, on rencontre sinon l'expression du moins l'idée dusens fidelium, ce sens aiguisé qui agit au sein de la communauté pour repérer l'authenticité de la foi. Loin de s'identifier à l'expression d'une démocratie d'opinion, qui l'emporterait simplement par le nombre, cette perspicacité s'est fréquemment exprimée au sein de minorités : comment les Pères l'ont-ils accueillie, consultée, soutenue ou contestée ? Autant de questions que ce colloque cherchera à approfondir pour mieux évaluer l'impact de ce sensus fidelium.

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  • Oran

    Appel à contribution - Époque contemporaine

    L’exercice de l’autorité dans les mondes musulmans d’aujourd’hui

    Il existe de nombreuses façons d’appréhender la question de l’autorité. Celle-ci peut être définie comme une capacité de commandement ou de prescription exercée sur un individu ou un groupe social, qui induit l’acceptation et même l’obéissance. L’autorité serait donc un pouvoir qui n’aurait pas besoin de s’exercer pour exister, bien qu’en même temps, elle suscite des oppositions et requiert souvent la cœrcition ou la force, voire la violence, pour être effective. L’on peut aussi avoir une approche plus prédicative de l’autorité et la voir, non pas comme une chose en soi, mais plutôt comme une modalité de l’action. On parle alors d’une décision faisant autorité, d’une personne agissant avec autorité, d’une caractéristique propre à des relations entre parents et enfants, hommes et femmes, gouvernants et gouvernés. Comment cette question de l’autorité se pose-t-elle dans le contexte des mondes musulmans ?

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  • Paris

    Appel d'offres - Droit

    L'état civil de demain

    Appel à projet de la Mission de recherche droit et justice

    L’état civil est défini comme « la situation de l’individu dans la famille et dans la société » (Gérard Cornu, 2007), ce qui englobe les actes qui permettent d’identifier administrativement l’individu. Ses origines remontent à l’ordonnance de Villers-Cotterêt (août 1539), qui ordonne aux curés des paroisses de tenir un registre des baptêmes. Dans sa forme contemporaine, l’état civil est créé en 1792 où il succède aux registres paroissiaux qui comportaient à cette époque la mention des actes de baptême, de mariage et de sépulture. Les nouveaux registres vont recenser les naissances, mariages et décès. L’état civil va continuer de se perfectionner aux XIXe siècle et XXe siècle (mentions marginales, création du livret de famille). L’enjeu est à la fois multiple et fondamental pour l’Etat. Il s’agit de sécuriser les actes juridiques, en particulier les transactions, mais aussi d’assurer la police et l’ordre public dans la société (Anne Lefebvre-Teillard, 1990).

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  • Paris

    Journée d'étude - Religions

    L’ecclésiologie au miroir du complexe « théologico-politique » : le cas d’Erik Peterson

    Les définitions de l’Église comme société ont souvent privilégié une approche hiérarchique, au sens humain du terme, qui insistait sur l’inégalité foncière des membres, la masse des fidèles n’ayant vocation qu’à se soumettre à l’élite cléricale. La profonde originalité d’Erik Peterson (1890-1960) est d’avoir concilié une approche liturgique de l’Église et un sens aigu de sa nature juridique : tout baptisé est pour lui « citoyen de la Cité céleste », uni aux anges dans l’acclamation du Kurios, et précisément en tant que citoyen sujet d’un ensemble de droits et de devoirs par lesquels la cité trouve son équilibre et surtout sa fin, son eschaton.

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  • Paris

    Journée d'étude - Époque contemporaine

    Droits de l’homme et religions dans l’action extérieure de la France

    Le problème de la relation avec les grandes religions ainsi que l’impératif de sauvegarde de la liberté de religion ou de conviction est l’un des grands défis auquel doit répondre la promotion mondiale des droits de l’homme. La France n’y échappe pas et sa tradition politique ancienne en la matière en fait un acteur incontournable. Il existe cependant des divergences entre les États sur les contours qu’il convient de donner à la liberté religieuse dans la défense des droits de l’homme. Par ailleurs, les demandes, parfois insistantes, de certains mouvements ou États pour une meilleure protection des religions constituent un nouveau défi aux défenseurs institutionnels des droits de l’homme, notamment au sein du Conseil des droits de l’homme. La journée d’étude, se propose de préciser l’histoire et la définition de la « doctrine française » en matière de promotion des droits de l’homme et de défense de la liberté de religion ou de conviction.

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  • Aix-en-Provence

    Journée d'étude - Droit

    Droit et religions. Les rapports entre parents et enfants en quête de repères

    Face à l’affolement juridique actuel devant la perte des repères traditionnels, la relation entre filiation et parenté est en pleine mutation. Le LID2MS et le Centre Pierre Kayser se proposent d’aborder à travers une démarche disciplinaire les nouvelles relations entre filiation et parenté.Face aux mutations actuelles caractérisées par l’individualisation et la démocratisation au sein de la famille mais aussi par la dissociation entre la filiation et la procréation, il s’agira d’analyser, d’un point de vue essentiellement juridique les interactions entre les religions, les individus et le droit contemporain de la famille.

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