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  • Call for papers - Thought

    The current state of moralisation in capitalism

    L’Homme et la Société journal

    Dans un contexte global où les inégalités économiques atteignent de nouveaux sommets et engendrent des perceptions d’injustices cruelles et insolubles pour les acteurs individuels et collectifs quel que soit leur pays, le capitalisme semble, aux yeux d’une grande majorité, entaché d’une immoralité croissante. Dans le même moment, les déclarations visant la moralisation du marché et de la finance se développent et s’intensifient dans une perspective qui viserait à atténuer les maux présents, sans être suivies d’effets concrets. Par cet appel à articles, L’Homme et la Société souhaite engager le débat sur les transformations présentes qui, sous couvert de moralisation du capitalisme, découragent, démobilisent et en fin de compte démoralisent les possibles vers une autre société.

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  • Paris

    Call for papers - Thought

    The death of ethics? Democracy at stake

    Revue française d’éthique appliquée no.7

    Ce numéro 7 de la Revue française d’éthique appliquée prendra l’éthique comme objet de réflexion. Il ne s’agira cependant pas, en première intention, d’inviter les contributeurs à proposer une définition philosophique de l’éthique, mais plutôt à la considérer comme un champ de pratiques sociales protéiformes se désignant elles-mêmes comme relevant de l’ éthique. Que devons-nous et que voulons-nous faire de cette profusion des pratiques de l’éthique ? Quels rôles social et politique cette sphère de l’éthique est-elle en mesure de porter dans l'espace démocratique ?

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  • Aberystwyth

    Call for papers - Thought

    Dialectics of Dread and Refuge

    Theatre, Performance and Philosophy Working Group (TaPRA Conference)

    In A Grammar of the Multitude, Paolo Virno discriminates between the Kantian view of the dialectic of dread and refuge, which is based on a distinction between particular danger and absolute danger (also articulated by Heidegger through the distinction between fear and anguish) and the collapse of this distinction in the post-Fordist world, in which "the dividing line between fear and anguish, between relative dread and absolute dread, is precisely what has failed." (Virno 2004, 32) If post-Fordist institutions rely on a culture of pervasive dread – manifest as fear and anxiety – how do we resist this nearly intangible culture today? Arguably, we are moving beyond the sort of entrenched paralysis Virno speaks of, towards a new sort of political breakthrough, a manner of imagining life not determined by institutional cultures of fear and anxiety. Yet much thinking needs still to be done around the ways in which we engage in concerted resistance: do we fight within institutional walls – and if so, how do we resist systems of perpetual visibilisation – the gaze of securitization that renders us so exposed? What does this fight look like? Do we exit – and if so, where to? Is there a new underground? 

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  • Berlin

    Call for papers - Political studies

    Marx, Semiotics and Political Praxis

    This special issue of Open Cultural Studies will return to the work of Karl Marx to reflect on and engage with his coherent articulation of words and their use, of words and actions, and of the intellectual and the political. The coherence of his discourse and praxis offers tools to think through, if not seek to transform, the alienated semiotic landscape of our times as described by the Frankfurt school philosopheers, Jean Baudrillard, Frederic Jameson, Sloterdijk and Slavoj Žižek. To commemorate the 200th anniversary of Marx's birth, in this special issue we want to honour his 11th Thesis on Feuerbach: "philosophers have only interpreted the world, in various ways; the point, however, is to change it."

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  • Call for papers - Thought

    Revolution and emancipation

    Au sens strict, une révolution est un changement de régime politique. Elle est aussi définie par le Larousse comme un « changement brusque et violent dans la structure politique et sociale d'un État, qui se produit quand un groupe se révolte contre les autorités en place, prend le pouvoir et réussit à le garder ». Mais en mettant l’État et la violence au centre de la définition, ne se prive-t-on pas de penser la diversité des moments révolutionnaires ou insurrectionnels et de leurs effets ? Que signifie « prendre » et « garder » « le » pouvoir ? De quel universel les volontés subversives se réclament-elle ? De quelles autorités, de quelles légitimités les prétentions révolutionnaires se prévalent-elles ?

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  • Paris

    Call for papers - Political studies

    Politicising, depoliticising and repoliticising

    Quel sens donner à l’affirmation selon laquelle « tout est politique » ? D’un côté, à chaque point précis où il y a domination, asymétrie de pouvoir, il y a conflit possible et émancipation possible, donc il y a de la politique. De l’autre, celle-ci n’existerait qu’en puissance, en chaque lieu où l’ordre social serait absolument naturalisé, où son arbitraire et sa contingence seraient intégralement recouverts. Il existe donc deux cas-limites, celui ou en un sens rien n’est politique, et celui de la politisation « totale » : deux polarités qui nous permettent de poser le problème différemment. Car si tout n’est pas toujours considéré comme politique, c’est-à-dire effectivement politisé, tout n’est-il pas, par contre, politisable (l’organisation du travail dans les luttes ouvrières, le privé dans les mouvements féministes, la technique dans les mouvements écologistes, les migrations dans les luttes postcoloniales…) ?

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  • Call for papers - Political studies

    Dette et subjectivation politique : perspectives anthropologiques, sociologiques et philosophiques sur les formes d’insécurité financière

    Congrès 2015 de la société québécoise de science politique

    Pour Maurizio Lazzarato (2011), la dette représente l’archétype du rapport social – auquel tout échange est subordonné. Or, celle-ci instaure d’emblée un rapport de pouvoir, où le créancier jouit de la « possibilité d’exploiter, de soumettre, de commander, de diriger ». Le processus actuel d’endettement, qui affecte à la fois les ménages et les États, doit donc avoir, sur l’ensemble de la vie commune, des conséquences qu’il est important de faire apparaître. Quelles formes d’insécurité et de vulnérabilité découlent des formes sociales émergentes ? Quelles difficultés ces dernières introduisent-elles en vue de la pratique démocratique ? Quel est le rôle et l’articulation des institutions politiques, économiques et juridiques dans cette restructuration de la sphère publique ? Quelle possible redéfinition de la citoyenneté l’intelligence critique de cette relation sociale permet-elle de formuler ?

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  • Call for papers - Political studies

    Ethics and political personality: the state of debate in Cameroon

    Les notions de caractère et de personnalité jouent un rôle important en philosophie morale et politique, en psychologie, en politique publique, bref dans toutes les sciences qui interrogent l’homme public dans son rapport avec lui-même et sa société. Depuis plusieurs décennies, l’on assiste au Cameroun d’une part à une médiatisation sans précédent des actes politiques (parade de distribution de dons dans une école, un centre de santé, etc.), prise de position en faveur des comportements éthiques des gestionnaires de la fortune publique et d’autre part, un espace public réticent, allant même jusqu’à dénier à ces acteurs politiques l’amour de la patrie. 

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  • Saint-Denis

    Conference, symposium - Political studies

    Times of rupture

    Second conference of young researchers in the critical studies of policy

    Selon une phraséologie répandue, le temps présent serait celui de l’enchevêtrement de crises de toute sorte – économiques, politiques, écologiques, sociales, voire « anthropologiques ». Mais le recours immodéré au thème de la crise ne nous rend-il pas aveugle aux virtualités de l'avenir ? Ces « crises » multiples, persistantes, systématiques, loin de contenir en elles la possibilité de leur propre dépassement, ne reconduisent-elles pas simplement les logiques de leur avènement, dans une répétition du même qui nous enchaîne à son immanence et à sa nécessité (la libéralisation étant supposée régler la crise du néolibéralisme, la croissance la crise écologique et le pouvoir des experts la crise politique) ? Au lieu de déchiffrer et de gérer les crises internes au système, peut-être faudrait-t-il davantage repérer et expérimenter les ruptures qui brisent ces systèmes reproducteurs pour construire des réalités alternatives, projeter des avenirs nouveaux, inventer des peuples autres, suivre des lignes de fuite, se lancer dans des nouvelles possibilités de vie ?

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  • Montpellier

    Conference, symposium - Modern

    Pour Althusser

    Science, idéologie, philosophie, politique

    De ses interventions dans le champ épistémologique à sa lecture des philosophes, jusqu’au matérialisme aléatoire, et en passant par la découverte des appareils idéologiques d’État, Althusser a illustré, par sa puissance d’innovation conceptuelle, toutes les dimensions du travail philosophique. L’université de Montpellier 3 et l’équipe CRISES (EA 4424) lui consacrent deux journées, les 27 et 28 mai, pour ressaisir l’étendue du travail, et la vivacité des problématiques, de celui qui a marqué le marxisme français.

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  • Tours

    Call for papers - Political studies

    Authority and freedom: anarchy and the problem of politics

    En conjuguant des approches historiques réfléchies et des approches théoriques référées à des situations historiques concrètes, les différentes contributions s'organiseront selon les trois axes principaux du colloque : a) revisiter la notion du politique à partir de la critique anarchiste de l'État ainsi que des expériences anarchistes ou des « sociétés sans État » ; b)  reprendre, à nouveaux frais, les deux questions centrales du rapport entre culture (mode de vie) et politique, d'une part, et entre culture et transformation sociale, d'autre part ; c) interroger les présupposés ontologiques de l'anarchisme et notamment sa croyance en une nature « bonne » de l'humain, et penser la relation entre l'anarchisme et le politique à partir d'une anthropologie post-freudienne.

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