Home
Sort
-
Bucharest
Labour and Global Solidarity during the Long 20th Century
History of Communism in Europe Journal, no. 12/2021
The current call for papers seeks new, transnational, methodologically innovative perspectives on labor and workers, stressing on the transformations work and work relations have undergone during the 20th century.
-
Paris
Artist-teachers in the 20th century: transmission through the prism of genre
L’historiographie existante sur l’enseignement artistique au XXe siècle s’intéresse peu au cas particulier des artistes femmes. Elle se concentre principalement sur quelques établissements qui, à l’image du Bauhaus, font rupture et s’affirment comme des lieux de l’avant-garde, laissant dans l’ombre la plus grande part des écoles, le rythme de leurs évolutions et les luttes discrètes qui s’y jouent. Plus généralement, le contenu des cours, les dynamiques de transmission et le fonctionnement des groupes demeurent eux aussi méconnus. Le manque de sources constitue l’une des difficultés majeures auxquelles se heurte la recherche pour envisager les méthodes d’enseignement. Il en va de même pour la féminisation des groupes et la manière dont elle modifie les rapports de force, de projection, ainsi que l’imaginaire et les récits mis en œuvre dans l’enseignement.
-
Paris
Organizations tested by telework
Sociologies pratiques - N°43
Qualifié d’« éternelle promesse », eu égard à la régularité depuis les années 1970 de l’annonce de son développement imminent (Aguilera et al, 2016), le télétravail connaît une véritable explosion en 2020, suite à deux mois de grève dans les transports à l’occasion de la réforme des retraites, puis à plusieurs semaines de confinement au printemps et une sortie de crise dont il est conçu comme une des mesures clés. Dans un contexte où le télétravail n’a jamais semblé aussi près d’un développement à grande échelle, il semble urgent de comprendre les significations de cette montée en puissance et de prendre la mesure de ses effets, à l’échelle des organisations.
-
Out of the studio. Photographers and mobile studios
Le numéro 2 de la revue Photographica entend explorer une histoire matérielle et visuelle du studio photographique mobile entendu comme déplacement hors les murs d’une activité professionnelle spécialisée. Une attention spéciale sera accordée aux dispositifs et usages des studios hors les murs, en ne limitant pas la question à celle du portrait, et en envisageant ces mobilités photographiques du point de vue du travail, du matériel, des pratiques des photographes et de la diffusion de la photographie. L'un des enjeux de ce numéro thématique est d'avancer dans le travail d'historicisation et de géographisation de ce phénomène peu étudié.
-
Mont-Saint-Aignan
Conference, symposium - Modern
The women of Normandy in the Maitron database. The women included and the women who should be
La thématique du colloque s’appuyant sur la base de données du Maitron rassemblée à l'université de Paris I (consultable en ligne), étudie combien le mouvement ouvrier comporte de militantes, et combien le mouvement social, au sens le plus large, inclut depuis longtemps la préoccupation de l’égalité des femmes. Quelques profils évoquent des périodes, des courants, des secteurs différents, dans le cadre de la Normandie.
-
Paris
Crises in care? Critical perspectives based on feminist theories
Regards critiques à partir des théories féministes
Cette journée d’études est organisée dans le cadre du séminaire public de l’équipe du Centre de recherches sociologiques et politiques de paris – Genre, travail, mobilités (Cresppa-GTM) par Aurélie Damamme et Efthymia Makridou. Elle se déroulera jeudi 12 avril 2018 de 09h30 à 17h00 au CNRS, site Pouchet, salle des conférences.
-
Professional judgement in social work
Pour son numéro du second trimestre 2018, la revue s’attache à interroger le jugement professionnel chez les travailleurs sociaux, et plus précisément ses conditions sociales de production. Dans un champ régi par des politiques sociales et des normes professionnelles plus ou moins explicites telles que le non-jugement ou la bienveillance censées cadrer l’action sociale, nous souhaitons interroger la part d’impartialité et de neutralité chez les professionnels.
-
Paris
The dynamics of the labour market for unskilled workers - mediation, promotion and selection
Médiations, valorisations, sélections
Comment le travail non qualifié – un travail sans qualité ou plutôt dont les qualités sont considérées comme sans valeur ou de faible valeur – fait-il l’objet d’échanges ? Comment s’effectuent les rencontres et les évaluations sur ce marché ? Telles sont les interrogations centrales qui président à l’organisation de ce workshop. En s’intéressant aux acteurs de l’échange, aux dispositifs et aux règles sur lesquelles ils s’appuient, l’objectif est de rendre compte du travail d’organisation, de médiation, de mise en valeur et d’évaluation effectué sur ce marché.
-
Nanterre
Emotions in care and service relations
Cette journée d’étude s’insère dans le champ de la « sociologie des émotions » et a pour objectif d’analyser la place et le rôle, complexes, joués par les émotions entre des individus impliqués dans un contexte de soin et/ou de service. Il s’agira d’analyser la manière dont les émotions s’expriment dans les relations, tant d’un point de vue empirique que normatif, et de nous interroger sur la place qui leur est faite dans nos analyses.
-
Nogent-sur-Marne
Researching contemporary China today - young researchers, new objects and methods
Jeunes chercheur·e·s, nouveaux objets et nouvelles méthodes
En l’espace de 20 ans, l’intérêt des chercheur-e-s en sciences sociales pour la société chinoise est allé croissant. L’espace universitaire international a ouvert largement ses portes aux étudiants et collègues chinois. Le nombre de doctorant-e-s chinois-e-s en France et à l’étranger et de Français en Chine s’est multiplié, tandis que le gouvernement chinois encourageait une ouverture du pays propice à la recherche en sciences sociales. Ces journées d’étude s’inscrivent dans ce contexte et ont une double visée. Leur ambition est de questionner de nouveaux objets d’études, quasi-impossibles ou improbables il y a encore deux décennies ou de revisiter des questions plus anciennes dans un contexte de libéralisation économique. Partant de là, le second objectif de ces journées, à travers l’exemple chinois, vise à réfléchir sur les modalités plus générales de l’enquête en sciences-sociales, à ses enjeux et ses limites, en particulier dans une perspective intergénérationnelle.
-
Saint-Denis
The processes of (de)subjectivation and the challenge of sociological investigation
Cette journée d’étude propose d’effectuer un retour sur les méthodologies employées dans les analyses des processus de (dé)subjectivation. Comment analyser la (dé)subjectivation tout en évitant les biais de l’essentialisation ? Comment, en tant que chercheur·euse, déterminer ce qui relève de l’assujettissement ou de la résistance du sujet ? Dans quelle mesure l’analyse sociologique reflète-t-elle la subjectivité du / de la chercheur·euse ? Ces quelques interrogations pointent l’imbrication particulière des enjeux d’ordre méthodologiques et théoriques dans l’étude de la (dé)subjectivation et la nécessité de les examiner conjointement pour mieux appréhender la pluralité et la complexité de ces processus.
-
Paris
Routines - "Gender and popular classes" seminar (2015-2016)
Séminaire « Genre et classes populaires » (2015-2016)
En étudiant le quotidien et l’ordinaire des activités sociales les plus diverses (allaiter, fumer, travailler chez soi, etc.), mais aussi la façon dont la routine est bousculée par l’évènement, le séminaire cherchera ainsi à retrouver un sens plus positif de la notion de routine : celle de savoir-faire intériorisé, parfois jusqu’à l’automatisme, acquis par la pratique et par l’expérience. La notion renvoie alors aux apprentissages souvent invisibles, aux processus d’incorporation du social, non pas seulement comme norme mais aussi comme compétence, comme savoir-agir et savoir-être, et donc aussi comme possibilité d’action. N’est-ce-pas précisément dans le quotidien que se cachent les marges de manœuvre et les petits détournements des normes sociales que le séminaire cherche à identifier depuis plusieurs années ?
-
Paris
"Gender and working classes" seminar, 2014/2015
Le séminaire « Genre et classes populaires » propose son programme pour l'année 2014-2015. Cette quatrième année sera consacrée à la notion de « routine-s » avec huit séances, de novembre à juin, à l'université Paris I Panthéon Sorbonne. La routine renvoie à la répétition d’actions ordinaires au quotidien, à des habitudes ancrées dans les corps et les esprits des individus. L’histoire se désintéresse souvent de cette temporalité mineure en faveur de l’évènement, de l’exceptionnel, reproduisant alors la vision négative de la routine comme monotonie, « train-train » quotidien, voire ennui. La sociologie est plus attentive aux dimensions ordinaires, elle qui cherche les régularités du monde social. Elle fait pourtant peu souvent l’effort de retracer précisément les activités qui appuient quotidiennement les tendances générales observées au niveau d’un groupe social. La routine renvoie à des actions invisibles car banales et attendues. Cette temporalité est plutôt celle du féminin que du masculin ; le temps du travail domestique en étant l’exemple le plus flagrant.
-
Paris
Conference, symposium - Sociology
Émotions et travail : quels apports sociologiques ?
Portée heuristique et effets d’une approche du travail en termes d’émotions
Les organisations de travail entendent de plus en plus mobiliser les émotions des travailleurs, qui expriment pour leur part un malaise croissant au travail. Les premières mettent les émotions au travail en les normant et en les instrumentalisant (le « travail émotionnel »), les seconds éprouvent une large palette d’émotions, parmi lesquelles la peur, l’ennui, l’excitation sont sans doute les plus courantes. Mais loin d’être homogènes, des colorations émotionnelles varient en fonction du métier, des formations suivies à l’origine, du genre…
-
Émotions au travail, travail des émotions
Nouvelle Revue du travail
Le travail qui occupe une place centrale dans la société sollicite sans cesse les émotions. En tant que producteur de rapports sociaux et de conflits, il engendre mépris et violence, suscitant des sentiments d’injustice, d’envie et de haine, etc. Et parce que le travail mobilise les individus « corps et âme » dans leur activité professionnelle, il engage leur enthousiasme et leur envie de bien faire, en s’appuyant sur des savoir-faire techniques mais aussi affectifs comme l’empathie ; il suscite également des émotions non recherchées (la douleur, l’ennui, le découragement, etc.) lorsque les conditions de production ne permettent pas aux salariés de faire du bon travail.
-
Besançon
The family business in the face of rupture
The rupture of family trajectory in small businesses
L'Institut de Hautes Etudes et du Développement (IHEID) de Genève et le Laboratoire de Sociologie et d'Anthropologie (LASA) de l'Université de Franche-Comté organise une journée d'étude sur le thème : « L’entreprise familiale face aux ruptures. Les ruptures de trajectoire familiale dans les petites entreprises ». Cette journée d'étude s'inscrit dans le cadre d'un projet Interreg IVA portant sur les Très Petites Entreprises (TPE) de l'Arc jurassien.
-
Paris
Gender ill-ease at work (2013-2014)
Women in surgery and consultancy
Le mal-être au travail sera analysé dans les deux prochaines (et dernières) séances du séminaire comme lié à la place symbolique et relationnelle qui est attribuée aux femmes dans le monde de la chirurgie (E.Zolesio) et du conseil (I. Boni). La dernière séance sera consacrée aux effets de l'organisation sur la place des femmes : culture de métier liée à la virilité dans le secteur du transport et fonctionnement des collectifs (H. Rivoal); la souffrance au travail à l'articulation des trajectoires de métier et trajectoires de vie dans une grande institution culturelle (A. Jacquelin).
-
Paris
Gender and popular classes in situ
2013 / 2014
À la croisée de l’histoire et de la sociologie, mais aussi de la géographie et de la science politique, le séminaire « Genre et classes populaires » se propose, depuis 2011, d’étudier les rapports sociaux de sexe / de genre à l’intérieur des classes populaires. Au plus près des pratiques et des discours des acteur-e-s, il s’agit de saisir la complexité des inégalités sociales mais aussi des identités, des appropriations - individuelles et collectives - des normes sociales et de leur éventuel dépassement. Les autres catégories de la différence (race, classe d’âge, sexualité…) sont prises en compte dans ces équations toujours multiples. Pour observer les formes prises par ces intersections, le séminaire appréhende les rapports sociaux dans des espaces délimités, in situ donc.
-
Revue multidisciplinaire sur l’emploi, le syndicalisme et le travail (REMEST)
La professeure Anne Renée Gravel (Téluq, Canada) et la professeure Annalisa Murgia (université de Trento, Italie) lancent un appel de texte sur le thème « Travail et genre » pour la Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail (REMEST). La Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail est une publication scientifique dont les articles sont soumis à l'évaluation anonyme des pairs. Publiée deux fois l'an sous forme électronique, la revue vise la diffusion de travaux de recherche sur le travail, sa transformation, sa gestion et ses institutions. À l'intérieur de ce créneau relativement large, elle privilégie une approche multidisciplinaire par la publication de travaux de recherches prenant source en relations industrielles, en psychologie du travail, en économie du travail, en sociologie du travail, en droit du travail ou en santé au travail. La Revue a une diffusion internationale et elle vise la publication de travaux de recherche qui, même s'ils s'inspirent le plus souvent d'expériences nationales, proviennent d'une grande variété de pays.
-
Oran
Night work, a physiological constraint and social difficulty
Le travail de nuit est une nécessité socio-économique essentielle notamment dans les secteurs stratégiques à l’exemple du secteur de la santé ou de la sécurité et dont la continuité des services est primordiale. Parallèlement, le sommeil est un processus neurophysiologique indispensable et vital pour le fonctionnement humain. La littérature scientifique selon différentes disciplines (médecine, psychologie, sociologie,…) relate les différents effets délétères surtout sur la santé mentale et la vie sociale chez le travailleur de nuit. Les efforts des chercheurs demeurent la pierre angulaire pour connaître davantage le processus du sommeil, ses perturbations neurophysiologique et psycho-clinique pour proposer les solutions d’adaptation de l’humain au travail de nuit à travers des mesures d’accompagnement pour éviter le malaise psychosocial résultant de la conciliation travail–famille.
Choose a filter
Events
- Past (24)
event format
Languages
Secondary languages
- English (17)
Years
Subjects
- Society (24)
- Sociology (24)
- Sociology of work
- Gender studies
- Urban sociology (1)
- Sociology of health (4)
- Economic sociology (3)
- Ages of life (2)
- Ethnology, anthropology (6)
- Geography (2)
- History (12)
- Economic history (1)
- Industrial history (1)
- Women's history (7)
- Labour history (7)
- Social history (4)
- Economy (5)
- Political studies (2)
- Sociology (24)
- Mind and language (10)
- Thought (1)
- Philosophy (1)
- Psyche (2)
- Psychology (2)
- Information (1)
- Representation (2)
- History of art (1)
- Cultural identities (1)
- Education (3)
- Epistemology and methodology (4)
- Thought (1)
- Periods
- Early modern (4)
- Modern (24)
- Nineteenth century (1)
- Twentieth century (5)
- Twenty-first century (6)
- Prospective (2)
- Early modern (4)
- Zones and regions (8)
- Asia (1)
- Far East (1)
- Europe (7)
- France (5)
- Switzerland (1)
- Asia (1)