Accueil

Accueil




  • Épinal

    Appel à contribution - Asie

    Topologies de l'Imaginal

    Perspectives transculturelles et anthropologie de l'Imaginaire

    Notre proposition est d'explorer diverses traditions et situations actuelles pour rendre compte de cette fascination pour l’Imaginal et son caractère opératoire que nous constatons dans les sociétés initiatiques d’hier et d’aujourd’hui dans les arts, les romans (cf. le gothique, la fantasy, le fantastique, l’utopie, diverses quêtes, les arts plastiques, l’Art total,les créations numériques, Il s’agira d’étudier les « images conteuses » (Bachelard) et autres « lieux conteurs », ces ponts suprêmes situés « entre un hic et nunc prosaïque et un illudtempus mythique » (Carmigiani), en fait, un véritable inter-monde. 

    Lire l'annonce

  • Paris

    Cycle de conférences - Ethnologie, anthropologie

    Sources, archives et histoire institutionnelle de l'ethnomusicologie de la France

    L'ethnomusicologie de la France se met en place dès 1937 au sein du musée national des Arts et tradition populaires avec la création d'un « secteur musique » confié par Georges Henri Rivière, directeur du musée, à Claudie Marcel-Dubois. La première enquête de « folklore musical » intervient dès 1939. Claudie Marcel-Dubois, secondée dès 1946 par Maguy Pichonnet-Andral, réalise ou programme, jusqu'au milieu des années 1980, plus d'une soixantaine de missions portant sur les terrains français et francophones. Sous leur férule, une profession s'organise, trouvant ses marques et définissant sa méthodologie ; une discipline, l'« ethnomusicologie de la France », s'affirme et revendique son autonomie aux côtés d'une ethnomusicologie « générale » ou exotique, qui a pris quelques longueurs d'avance au musée de l'Homme. Il est grand temps de prendre la mesure d’une entreprise aussi systématique, d’autant qu’elle se déploie, pour l’essentiel de la période considérée, en situation de quasi-monopole.

    Lire l'annonce

  • Évry

    Journée d'étude - Europe

    La référence à l’originaire dans les écrits et la presse musicale de la première moitié du XXe siècle

    Le recours à l’origine accompagne le développement des récits nationaux et atteint son point d’orgue dans les logiques d’appartenance qui assurent le déploiement de l’ombre identitaire au cours de l’entre-deux-guerres. On perdrait néanmoins beaucoup à réduire l’ambivalence fondamentale de la notion à la seule opposition à l’idée de progrès ou à la norme d’ouverture à l’autre. Cette journée d’études circonscrit la réflexion autour de la presse musicale du premier XXe siècle et des écrits de compositeurs. Le mot-valise « origine » recoupe des usages polysémiques selon les aires géographiques, les enjeux historiques et artistiques, les parti-pris politiques ou crypto-politiques. Organisateurs : Philippe Gumplowicz et Timothée Picard.

    Lire l'annonce

  • Paris

    Journée d'étude - Histoire

    Frédéric Ozanam (1813-1853), facettes d'un itinéraire

    Le bicentenaire de la naissance de Frédéric Ozanam, né en 1813 à Milan, est l'occasion de revenir sur l'itinéraire d'un homme qui fut à la fois un catholique social et un universitaire en Sorbonne. À l'initiative de la Société de Saint-Vincent-de-Paul et du Centre d'histoire du XIXe siècle, cette journée d'études se propose de présenter des regards renouvelés sur la figure d'Ozanam, à travers quatre facettes de sa trajectoire : « Université », « Catholicité », « Intimité », « Éternité ». L'édition en six volumes de sa correspondance, dont un volume d'inédits paru en 2013, ses papiers peu connus conservés au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France, comme ses publications imprimées forment un matériau particulièrement riche qui sera interrogé. Cette manifestation scientifique, ouverte à un large public, constituera le point de départ d'un projet éditorial. 

    Lire l'annonce

  • Lyon

    Journée d'étude - Ethnologie, anthropologie

    Populaire ? Urbaine ? Traditionnelle ? Du monde ? À propos de la labellisation en musique

    L’objec­tif de cette jour­née est d’inter­ro­ger la label­li­sa­tion d’une pra­ti­que musi­cale comme « popu­laire », « urbaine », « tra­di­tion­nelle » ou encore comme « musi­que du monde ». Qu’elle cor­res­ponde à une stra­té­gie com­mer­ciale (faire reconnaî­tre un genre à des consom­ma­teurs), à une démar­che intel­lec­tuelle (ana­ly­ser une pra­ti­que et sa récep­tion) ou qu’elle réponde à des enjeux poli­ti­ques locaux, natio­naux ou inter­na­tio­naux, la caté­go­ri­sa­tion musi­cale a lar­ge­ment inté­ressé les musi­co­lo­gues, les anthro­po­lo­gues, les his­to­riens ou les socio­lo­gues. En se foca­li­sant sur des musi­ques qui, pour des rai­sons diver­ses, se dis­tin­guent de la « musi­que clas­si­que occi­den­tale », il s’agira d’explo­rer les pré­sup­po­sés idéo­lo­gi­ques, les enjeux sociaux et poli­ti­ques et les ima­gi­nai­res sociaux qui sous-ten­dent l’exis­tence de telles étiquettes et qu’à leur tour celles-ci vien­nent cons­truire.

    Lire l'annonce

  • Paris

    Colloque - Ethnologie, anthropologie

    Edgar Morin et l'âme du cinéma

     « Au sein du réalisme fleurit un animisme » peut-on lire dans Le cinéma ou l’homme imaginaire, ouvrage que publie Edgar Morin en 1956. Le cinéma y révèle son penchant au paradoxe : dans le même temps  où il « fait percevoir » (au sens pratique du terme), il « donne à voir » (dans le sens visionnaire).  Ainsi le cinéma introduit le spectateur dans une expérience qui frotte une matérialité extérieure à la matière irréelle du film, proche du rêve. Véritable mouvement dialectique de la matière sur et contre elle-même. Ce colloque, consacré à la relation persistante qu’entretient Edgar Morin avec le cinéma, souhaite interroger les enjeux anthropologiques, éthiques et esthétiques qui coexistent au sein d’une œuvre attachée au « vif » du cinéma et qui fait aujourd’hui rappel. « Dans la salle obscure…morts provisoires, nous regardons les vivants », écrivait-il alors… En présence d’Edgar Morin.  

    Lire l'annonce

  • Paris

    Journée d'étude - Histoire

    Bible et morales dans la France du XIXe siècle

    Les morales religieuses, fondées sur le Décalogue et portées par les croyances et les rites, l’enseignement et la prédication des trois confessions inscrites dans le « système des cultes reconnus » (catholicisme, protestantisme et judaïsme), tendent à perdre une partie de leur caractère d’universalité, d’autorité et de légitimité sur l’ensemble de la société au cours du XIXe siècle. Elles doivent désormais composer avec des morales séculières, nées dans le sillage de la philosophie des Lumières, qui accordent la part centrale à l’homme, à la société ou encore à la science et ne fondent plus leur éthique sur une législation révélée. Néanmoins si le lien entre la croyance et la morale tend à se défaire, la lecture de la Bible demeure une source d’inspiration pour les penseurs de tous horizons et la morale biblique imprègne encore très largement les discours et les actes.

    Lire l'annonce

  • Paris

    Colloque - Histoire

    Art et sociabilité au XVIIIe siècle, 1715-1815

    Ce colloque a pour but d’examiner les pratiques sociales des artistes, des amateurs, des critiques, des salonniers, etc., pour comprendre les échanges sociaux et les réseaux formés non seulement par le commerce des objets matériels à travers l’étude des collections, du marché de l’art et des expositions, mais aussi par le commerce des idées à travers l’étude des écrits sur l’art et de l’art de la conversation. Ainsi, on peut s’interroger sur le rôle qu’ont joué les pratiques sociales au sein de la sphère publique dans l’évolution de la production artistique et des échanges matériels, économiques et verbaux.

    Lire l'annonce

  • Paris

    Colloque - Moyen Âge

    Moines et démons

    Autobiographie et individualité au Moyen Âge central

    Au Xe siècle, commence une grande époque d’historiographie et d’hagiographie, en Europe centrale et occidentale, avec souvent quelques touches autobiographiques. La grande œuvre est celle d’Otloh de Saint-Emmeram, de laquelle on a rapproché souvent les Monodies de Guibert de Nogent. Il paraît intéressant aujourd’hui de réunir des médiévistes pour faire le point sur ces auteurs et sur les clercs et moines qui, entre le milieu du Xe et le début du XIIIe siècle, esquissent une étude d’eux-mêmes en évoquant leur individualité ou leurs démons, soit dans un essai d’autobiographie à résonance augustinienne, soit lorsqu’une chronique ou une vie de saint leur en fournit l’occasion.

    Lire l'annonce

RSS Filtres sélectionnés

  • Histoire intellectuelle

    Supprimer ce filtre
  • Ethnologie, anthropologie

    Supprimer ce filtre
  • France

    Supprimer ce filtre
Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search