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• 22 mar 2020

  Paris

  Call for papers - Sociology

  Thinking with José Casanova. Deprivatisation of the clergy

  French Association for the Social Sciences of Religions

  José Casanova (Berkley Center for Religion, Peace, and World Affairs, Université de Georgetown, USA)  a  contribué à renouveler l’étude des religions dans la sphère publique et dans les relations internationales. Théoricien de la déprivatisation (deprivatization) du religieux, il  est un des chercheurs les plus importants et les plus reconnus pour penser le  « retour des religions ». Nous entendons mettre en place sur toute une journée un dialogue direct et approfondi avec lui dans le cadre d’un format original : une masterclass. Le présent appel invite donc chercheuses et chercheurs souhaitant mener une discussion avec son œuvre à proposer une intervention.  L’enjeu est d’ouvrir le champ de la discussion sur son œuvre, sur les axes centraux de sa pensée (déprivatisation et transnationalisation du religieux), mais toute contribution sur un autre aspect de son oeuvre (politisation, désaffiliation, interreligieux, laïcité...) ou à partir de terrains nouveaux est bienvenue.

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• 15 sep 2018

  Paris

  Call for papers - Political studies

  Religious actors in the international space

  Le rôle des acteurs religieux dans l’espace international n’est pas aisé à définir. D’un côté, on ne peut qu’observer la part croissante prise par ces acteurs dans les enjeux internationaux qu’ils soient diplomatiques, militaires, économiques, sociaux ou culturels ; d’un autre côté, les théories des relations internationales, sur le plan analytique, n’accordent pas toujours à ces acteurs une attention suffisante, les acteurs religieux étant considérés comme des « seconds rôles » sur la scène mondiale, comparativement aux Etats, aux organisations internationales, voire aux groupes armés non étatiques. Les modes d’intervention des acteurs religieux sur la scène internationale sont pourtant nombreux, variés et significatifs sur le plan politique. Ce qui caractérise la présence de ces acteurs est à la fois l’imaginaire culturel, social et anthropologique qu’ils mobilisent, mais aussi leur stratégie pour faire valoir leurs revendications. Une double  question se pose : comment  les religions procèdent-elles  pour faire « défendre leur agenda » ? Et comment les Etats et les organisations internationales utilisent-elles des religions dans un but autant confessionnel que politique. Comment penser la recomposition de la place des religions au sein des relations internationales dans leurs relations avec les États et les organisations internationales ?

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