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• 16 nov 2017

  15 nov 2017

  17 nov 2017

  Lyon

  Colóquio - Época Contemporânea

  Policing port cities during the colonial era : Tianjin and Shanghai interaction between Western and Oriental police forces, 1860-1945

  Limits of the western police model in China

  In the past 20 years, the Research Center on Shanghai History (ECNU) and the Lyon Institute of East Asian Studies (IAO) have established close cooperative relations : joint projects, joint publications, joints conferences, as well as the co-training of graduate students have become significant and regular markers of increasingly close relationships. On this basis we hope to further co-promote Shanghai and Tianjin as centers of new urban history and social order. This project will avail new archival materials (municipalities archives), memoirs of policemen, photography, illustrated journals, correspondances, police reports etc…

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• 25 mar 2015

  26 mar 2015

  Paris

  Colóquio - Sociologia

  Disqualification socio-spatiale dans les villes françaises et japonaises

  Regards croisés entre l’histoire et la sociologie

  Organisé par deux établissements de recherche, l’École des hautes études en sciences sociales (Paris) et l’université de la Ville d’Osaka (Japon), ce colloque se propose de réfléchir à la disqualification socio-spatiale dans les villes françaises et japonaises. Du point de vue sociologique, historique et sociolinguistique, nous entendons donner l’occasion dans ce colloque de discuter de ce thème à travers la question de la pauvreté, de l’immigration, de la marginalité urbaine, de la banlieue, de l’intégration et du colonialisme, et de comparer les situations au Japon et en France du XIX^e siècle à nos jours.

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• 21 fév 2013

  22 fév 2013

  Paris

  Colóquio - Época Moderna

  L’échange architectural : Europe et Extrême-Orient (1550-1950)

  Ce colloque international sera l’occasion d’examiner la question des échanges opérés dans le domaine architectural entre Europe et Extrême-Orient au cours de la période 1550-1950. A priori, on peut supposer que, s’agissant de deux mondes éloignés, et entrés tardivement en contact direct et régulier, l’identification de ce qui est échangé devrait s’en trouver facilitée. Pourtant, s’il semble évident de reconnaître une forteresse néerlandaise en Indonésie, des églises jésuites en Chine, une pagode chinoise en Angleterre, ou un pavillon de thé japonais en France, il est difficile d’analyser ce qui s’est passé chaque fois, ce qui a été transmis ou emprunté, et comment cet échange a pu se produire et avoir lieu. Il est donc nécessaire de procéder à une enquête portant à la fois sur les causes et le contenu de l’échange.

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