AccueilL'Encyclopédie méthodique (1782-1832)
L'Encyclopédie méthodique (1782-1832)
L'Encyclopédie méthodique (1782-1832) : des Lumières au positivisme
Publié le samedi 23 septembre 2000
Résumé
Annonce
Centre Alexandre Koyré (Paris)
Sous le patronage de :
Société française pour l'histoire des sciences humaines (Paris)
Société Diderot (Paris)
Avec la collaboration du Centre international d’étude du 18e siècle (Ferney)
Colloque international :
L'Encyclopédie méthodique (1782-1832) : des Lumières au positivisme
Conception et organisation :
Claude Blanckaert (C.N.R.S./Centre Koyré) - Michel Porret (Uni. de Genève)
Comité scientifique :
François AZOUVI - Bronislaw BACZKO - Andrew BROWN - Giovanni BUSINO
Roger CHARTIER -Anne-Marie CHOUILLET - Jean DHOMBRES - Jean EHRARD
Jean GOULEMOT - Alain GROSRICHARD - Roland MORTIER - Dominique PESTRE
Annie PETIT - Daniel ROCHE - Jean STAROBINSKI - François WALTER
Genève : 17-19 mai 2001 :
Université de Genève - Faculté des Lettres - Bâtiment central
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I. L'encyclopédie suprême
L'Encyclopédie méthodique ou par ordre de matières par une société de gens de lettres, de savants et d'artistes; précédée d'un Vocabulaire universel, servant de Table pour tout l'Ouvrage, ornée des Portraits de MM. Diderot et d'Alembert, premiers Éditeurs de l'Encyclopédie représente la «collection la plus vaste produite par la librairie française» selon Brunet (Manuel du libraire, 1814). Mise en chantier sous la monarchie durant les dernières années de l'Ancien Régime dès 1782 par Charles Joseph Panckouke (1736-1798), éditeur notamment du Journal des savants, de l'Année littéraire, du Mercure de France et du Supplément de l'Encyclopédie, l'Encyclopédie méthodique avait pour ambitions scientifiques et éditoriales de corriger l'«état d'imperfection» de l'Encyclopédie réalisée entre 1751 et 1772 par Diderot et d'Alembert. Éditer une «encyclopédie suprême» : en décembre 1781, dans les pages 52 à 155 du Mercure de France, Panckoucke, entre projet intellectuel et opération économique, annonce la publication de vingt-sept traités ou dictionnaires spécialisés. Ceux-ci doivent être répartis en 42 volumes in-4°, et en 84 volumes dans une édition in-8° (la seule qui verra le jour) de «Discours et sept volumes de Planches [plus un Atlas]». Panckoucke veut mettre sur le marché une encyclopédie parfaite dans sa forme et dans son contenu. L'organisation méthodique des matières se présente ainsi :
Les Mathématiques; La Physique; La Médecine; L'Anatomie et la Physiologie; La Chirurgie; La Chimie; L'Agriculture; La Botanique; L'Histoire naturelle, contenant la Géographie physique ou les Phénomènes généraux de l'Histoire naturelle de la Terre; L'Histoire naturelle des animaux; L'Histoire naturelle des Minéraux; La Géographie ancienne et moderne; Les Antiquités; L'Histoire; La Théologie; La Philosophie ancienne et moderne; La Métaphysique, la Logique et la Morale; La Grammaire et la Littérature; La Jurisprudence; Les Finances; L’Économie politique; Le Commerce; La Marine; L'Art Militaire; Les Beaux-Arts; Les Arts et Métiers Mécaniques; Vocabulaire universel.
Au tournant de 1800, la «topographie» de la connaissance que dessine la Méthodique, estimée à 199 volumes et 100 000 articles environ1, montre combien les sciences naturelles, les sciences exactes l'emportent sur les sciences de l'homme et les belles-lettres ou humanités. En effet, sur un total de 174 dictionnaires recensés, si on cumule les dictionnaires consacrés aux sciences naturelles, à la médecine et aux sciences exactes (respectivement 51, 17, 13 vol, soit 81 vol.), cette catégorie double celle des sciences de l'homme (41 vol.) et laisse largement derrière elle les belles-lettres (11 vol.). Ce côte pragmatique de l'Encyclopédie méthodique est renforcé en outre par l'importante section des dictionnaires techniques qui totalisent 35 volumes (à peine moins que la catégorie des sciences de l'homme). En comparant les 116 dictionnaires consacrés aux sciences naturelles, à la médecine, aux sciences exactes et à la technique (66.66%), aux 52 volumes consacrés aux sciences de l'homme et aux belles lettres (29.88%), il ressort que près de 7 dictionnaires sur 10 (66.66%) de l'Encyclopédie méthodique concernent la première catégorie des sciences voulues exactes et expérimentales (solde : varia, 3.44%). Voulant favoriser le progrès de l'humanité pour en accélérer la perfectibilité par une culture encyclopédique, Panckoucke met en avant les sciences naturelles et les sciences exactes.
Au-delà de l'opération commerciale de Panckoucke et au-delà du gigantisme positiviste de la Méthodique qui gonfle sa taille initiale (un inventaire français signale 210 volumes, dont «157 volumes dits de texte»; «53 dits de planches»), elle déclasse l'épistémologie des Lumières et prépare celle du 19e siècle. Par rapport au classement encyclopédique des Lumières qui ne suivit pas celui de Leibnitz hostile à l’ordre alphabétique et favorable à celui thématique, Panckoucke échappe au «vice abécédaire» en posant les principes d'une encyclopédie classée méthodiquement pour corriger la «confusion des objets résultant de la loi qu'on s'était faite mal à propos de renfermer toutes les connaissances humaines dans un seul et même Dictionnaire, au lieu de donner à chaque Science, à chaque Art son Dictionnaire particulier». Pour que «chaque Science ait son Dictionnaire et que ce Dictionnaire soit comme un Traité complet sur cette Science», l'entreprise de Panckoucke suivra six principes qui corrigent l'Encyclopédie Diderot et d'Alembert :
1°. La correction des fautes dont tout le mérite et toute l'attention des Auteurs n'ont pu préserver la première [encyclopédie]. 2°. L'addition de toutes les parties de Sciences et d'Arts, et de tous les articles omis, ainsi que les notions acquises postérieurement à cette première Édition. 3°. Le complément de la nomenclature de toutes les parties. 4°. La correspondance rigoureuse entre le Discours et les Planches. 5°. La réduction de ces mêmes Planches, la suppression des inutiles et leur remplacement par d'autres plus utiles. 6°. La réforme d'un plan trop peu favorable à l'instruction, et qui rejetait sur le lecteur une peine que l'Auteur doit toujours lui épargner.
Ainsi, Panckoucke abandonne l'«arbre des connaissances» pour ventiler celles-ci dans sa collection de dictionnaires spécialisés par «ordre de matières» (27 au départ, près de 54 à la fin de l'entreprise). Cette classification repose sur l'idée qu'il faut organiser les données du savoir selon un ordre «méthodique» qui correspond, peut-être, à la manière dont les hommes ont accumulé leurs connaissances et constitué les sciences. Cette dissidence de Panckoucke, par rapport à l'héritage classique de l'encyclopédisme, ressemble à celle des éditeurs de l'Encyclopedia Britannica soucieux d’«éviter la folie de tenter un ordre alphabétique des disciplines» (1768). Chacun de ces dictionnaires respecte donc l'ordre alphabétique dans une encyclopédie thématique. Impasse de l'encyclopédisme des Lumières, la Méthodique prépare les configurations épistémologiques du 19e siècle. Selon Jean Ehrard, l'Encyclopédie méthodique opère ainsi la transition lente des Lumières vers le positivisme qui récuse alors «de faire se refléter dans l'ordre du savoir l'ordre universel des choses»2. Telle est la modernité de l'Encyclopédie méthodique qui «a remédié à l'incohérence de sa soeur aînée» (Pierre Larousse3).
Sa rupture affichée avec l'idéal encyclopédique des philosophes ressort en outre de la biographie de ses «Auteurs et Rédacteurs» (entre 73 vers 1782, 100 vers 1789), dont la notoriété intellectuelle est forte dans le monde scientifique et celui des lettres de la fin du 18e siècle. Les rédacteurs de la Méthodique constituent une nouvelle génération d’encyclopédistes qui se détache du «voltairisme» et du «diderotisme» universalisant des Lumières. Médecins (deux fois plus que pour l'Encyclopédie de Diderot), chirurgiens, chimistes, botanistes, juristes (trois fois plus que pour l'Encyclopédie de Diderot), hauts fonctionnaires royaux, géographes, professeurs (écoles techniques), inspecteurs de manufactures, littérateurs : issus principalement du Tiers-état, recrutés surtout dans les Académies royales (Académie des Sciences, Académie française, Société royale de Médecine, Société royale d'Agriculture, de Marine, etc.), l'immense majorité des auteurs de la Méthodique sont des praticiens avant d’être des généralistes, des professionnels, des savants engagés dans la recherche et dans l'enseignement (20% dans la Méthodique, 6% dans l'Encyclopédie de Diderot), souvent salariés de l'État. L'«équipe de Panckoucke» repose sur des scientifiques recrutés dans les Académies royales qui remplacent les philosophes. Au-delà d'un inventaire universel de la connaissance, hérité encore de l'encyclopédisme classique, la Méthodique reste ainsi une collection d'oeuvres diverses, plutôt qu'une entreprise collective. Génial éditeur, Panckoucke réunit des individualités contrastées : le matérialiste athée Jacques-André Naigeon (1738-1810), éditeur des trois volumes de la Philosophie ancienne et moderne (1791-1793) ; l'Abbé Nicolas Sylvestre Bergier (1718-1790), éditeur des trois volumes de Théologie (1788-1790), qui fustige la tolérance envers les protestants et prône une philosophie de l'histoire proche du providentialisme de Bossuet ; l'anatomiste Félix Vicq-d'Azyr (1748-179).
II. Le colloque : entre déficit bibliographique et études ponctuelles, penser la Méthodique
Traversant avec peine la Révolution (défection des souscripteurs; collaborateurs de la Méthodique rattrapés par l'histoire: Pommereul émigre; Boucher d'Argis est guillotiné; trois autres, emprisonnés, échappent de justesse à la mort; d'autres ne rendent pas leur copie, etc.) et la Restauration, achevée finalement en 1832 grâce à la ténacité des successeurs de Panckoucke, cette encyclopédie, n'a suscité, à ce jour, que des études ponctuelles. Georges B. Watts posa en 1958 les premiers jalons d'une étude de l'Encyclopédie méthodique4. Après avoir rappelé en 1979 qu'elle «repose [toujours] ignorée sur les rayons les plus inaccessibles des bibliothèques de recherche», R. Darnton en a écrit l'histoire éditoriale en insistant notamment sur l'aventure capitaliste, pharaonique, dans laquelle s'est lancé Panckoucke après Diderot et d'Alembert («la folie de Panckoucke»). Il conclut son étude en soulignant que la «dernière encyclopédie» contribue à la reconstruction des rapports entre monde du livre, capitalisme et culture politique vers la fin du 18e siècle. En 1994, Frank A. Kafker, ne lui consacre qu'une douzaine de pages dans son étude érudite des encyclopédies héritières de Diderot et d'Alembert. En dehors de ces trois travaux et d'une petite douzaine d'articles (ou parties d'articles) consacrés à l'ultime encyclopédie de Panckoucke (notamment dans les Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie), tout reste à faire dans l'étude de l'Encyclopédie méthodique. Ce colloque veut répondre à ce déficit scientifique dans l'histoire culturelle de la Méthodique.
Ouvrons à nouveau le chantier immense de l'Encyclopédie méthodique pour en établir un inventaire plus fiable, en repenser le contenu, la forme et le projet de ceux qui l'ont écrite ou compilée, en analyser les frontières disciplinaires. La topographie des connaissances dans l'Encyclopédie méthodique oblige à son étude collective menée par des historiens des sciences naturelles et exactes, ainsi que par des historiens des sciences de l’homme alors naissantes : c’est à quoi vise ce colloque. Autour des deux grandes divisions que formule peut-être la Méthodique (sciences de la nature et exactes, «sciences de l'homme»), le colloque réunira à Genève une trentaine de chercheurs spécialisés dans l’histoire culturelle de l’encyclopédisme, dans celle de l’épistémologie que recoupent les champs des dictionnaires de Panchoucke.
Tradition genevoise des colloques sur les Lumières et principes du colloque sur la Méthodique
Depuis 1992, le Département d'histoire générale (en étroite collaboration, selon les cas, avec d'autres départements de l'Université de Genève ou d'autres institutions scientifiques ou universitaires étrangères) a notamment accueilli cinq colloques internationaux consacrés à des objets ou à des figures dominantes du 18e siècle : la Peur (1992, avec le Dpt de français); Beccaria (1994, avec le Dépt de droit); Voltaire (1994, avec le Dpt de français); Rousseau (1996, idem); Montesquieu (1998, idem). Tous publiés ou en voie de publication, les actes de ces colloques renouvellent la bibliographie des Lumières et font de la Faculté des Lettres de Genève (siège du Groupe d'études du 18e siècle qui se réunit mensuellement), un centre d'étude dix-huitiémiste remarqué au plan international5. Organisé en étroite collaboration avec le Centre Alexandre Koyré (Paris), appuyé par la Société française pour l'histoire des sciences humaines, le Groupe d'études du 18e siècle de Genève et le Centre international d’étude du 18e siècle (Ferney), le colloque de 2001, consacré à l'Encyclopédie méthodique, enrichira la tradition genevoise d'études du 18e siècle ainsi que celle de l’histoire culturelle des Lumières.
Forme du colloque
Ouvert par une conférence initiale portant sur l'héritage de l'Encyclopédisme à la fin du 18e siècle, le colloque, prolongé par une exposition consacrée aux encyclopédies à la Bibliothèque publique et universitaire de Genève, pourrait se diviser en trois parties.
Une première séance sera consacrée à l'histoire éditoriale de l'Encyclopédie méthodique : chantier éditorial, auteurs, influence, traductions, etc. Une seconde partie illustrera la nouvelle division des connaissances dans laquelle s'inscrit l'Encyclopédie méthodique à la fin du 18e siècle en montrant comment elle prépare l'épistémologie positiviste (continuités et ruptures épistémologiques). Finalement, la troisième partie, étudiera les dictionnaires de la Méthodique (inventaire des connaissances) ou tracera dans plusieurs dictionnaires une thématique particulière (ex. : place du républicanisme, bilan de l’Ancien régime, figure et héritage de certains penseurs ou savant des Lumières, nouveaux objets, etc.). Cette triple approche permettra, dans une table ronde conclusive, de dresser un meilleur bilan de la Méthodique (héritage de l'Encyclopédie Diderot et d'Alembert, impasses, etc.).
Esprit du colloque
Repenser l'arbre de la connaissance des Lumières : ce colloque interdisciplinaire ne reproduira pas la volonté de Panckoucke en détaillant exhaustivement le contenu de l'Encyclopédie méthodique, même s'il peut mieux l’évaluer par un bilan détaillé des dictionnaire. Chaque participant établira l'identité bibliographique complète du dictionnaire sur lequel il travaille : éditeur, année d'édition, nombre d'articles, renvois (planches ou autres volumes), évaluation de l’héritage de l'Encyclopédie Diderot et d'Alembert, sources, etc. Au-delà de la collecte de ces inédites données quantitative, le colloque interrogera le système méthodique pour comprendre l'articulation culturelle entre encyclopédisme des Lumières et nouvelle configuration scientifique du 19e siècle. Il posera un bilan sur les Lumières et sur l’édification du positivisme en montrant peut-être que l'encyclopédisme pharaonique de Panckoucke contribue à effacer la hiérarchie verticale entre les sciences pour la remplacer par une configuration horizontale. Au tournant des Lumières et du siècle positiviste, l'Encyclopédie méthodique montre, peut-être, que les nouveaux enjeux de l'épistémologie se situent aux frontières entre les disciplines et non plus dans des rapports de hiérarchie verticale entre elles.
Édités par C. Blanckaert et M. Porret, les Actes du Colloque matérialiseront ensuite les résultats scientifiques du colloque en livrant au public le premier ouvrage spécialisé consacré à l'Encyclopédie méthodique.
C.B. - M.P.
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Choix bibliographique :
Bret, Patrice
Lavoisier et l’Encyclopédie méthodique : le manuscrit des régisseurs des poudres et salpêtres pour le Dictionnaire de l’Artillerie (1787). - Florence, 1997
Darnton, Robert
The business of enlightenment : a publishing history of the Encyclopédie, 1775-1800. - Cambridge, 1974
Doig, K.H.
L'Encyclopédie méthodique et l'organisation des connaissances
in : Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, 12(1992), pp. 59-69
Ehrard, Jean
De Diderot à Panckoucke : Deux pratiques de l'alphabet
in : L'Encyclopédisme : actes du Colloque de Caen, 12-16 janvier 1987. - Paris, 1991, pp. 234-252
Hardesty, Kathleen
The Supplément to the Encyclopédie. - La Haye, 1977. - (Archives internationales des idées ; 89)
Kafker, Frank Arthur (ed.)
Notable encyclopedias of the late eighteenth century : eleven successors of the Encyclopédie. - Oxford, 1994. - (Studies on Voltaire and the eighteenth century (SVEC) ; 194)
idem avec Kafker, Serena L.
The encyclopedists as individuals : a biographical dictionary of the authors of the Encyclopédie. - Oxford, 1988. - (Studies on Voltaire and the eighteenth century (SVEC) ; 257)
Larousse, Pierre
Préface au grand dictionnaire universel du 19e siècle (1865). - Paris, 1993
Pinault, Madeleine
L'Encyclopédie. - Paris, 1993
Rey, Roselyne
Naissance de la biologie et redistribution des savoirs
in : Revue de synthèse, tome 115(1994), no 1-2, pp. 167-197
Swiggers, Pierre.
Grammaire et théorie du langage au 18e siècle : «Mot», «Temps», «Mode» dans l'Encyclopédie méthodique. - Lille, 1986. - (Histoire de la linguistique)
Teysseire, Daniel
A propos de l'Encyclopédie Méthodique
in : recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, 11(1991) pp. 142-149
(inventaire établi selon un recueil factice de documents concernant l'Encyclopédie méthodique déposé à la Bibliothèque Mazarine)
Tucoo-Chala, Suzanne
Charles-Joseph Panckoucke et la Librairie française, 1736-1798. - Pau, 1977
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Notes :
1 Sources : R. DARNTON, L'Aventure de l'Encyclopédie, 1775-1800, p. 334; Librairie du Congrès, Washinghton, The National Union Catalog Pre-1965 Imprints, vol. 000, pp. 630-631; B.P.U. (Genève) : collection de l'Encyclopédie méthodique; Michel PORRET, collection de l'Encyclopédie méthodique.
2 «De Diderot à Panckoucke : deux pratiques de l'alphabet», L'Encyclopédisme : Actes du Colloque de Caen 12-16 janvier 1987, sous la direction d'Annie Beck, Paris, 1990, p. 348.
3 Préface au Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle (1865), 1993, p. 114.
4 «The Encyclopédie méthodique», Publications of the Modern Language Association of America, LXXIII, 1958, pp. 348-366.
5 La Peur au XVIIIe siècle, discours, représentations, pratiques, études réunies et présentées par J. Berchtold et M. Porret, Genève, 1994; Etre riche au siècle de Voltaire, publié, idem, Genève, 1996; Beccaria et la culture juridique des Lumières. Etudes historiques édités et présentées par M. Porret, Genève, 1997; Rousseau visité, Rousseau visiteur, les dernières années, publié par J. Berchtold et M. Porret; Le Temps de Montesquieu, publié par M. Porret et C. Volpilhac-Auger, Genève sous presse.
Lieux
- Genève, Confédération Suisse
Dates
- jeudi 17 mai 2001
Mots-clés
- Encyclopédie méthodique, positivisme
Contacts
- Faculté des Lettres
courriel : - Université de Genêve ~
courriel : http://www [dot] unige [dot] ch/lettres/istge/colency [dot] html
URLS de référence
Source de l'information
- Université de Genêve, faculté des lettres ~
courriel : http://www [dot] unige [dot] ch/lettres/istge/colency [dot] html
Licence
Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la CC0 1.0 Universel.
Pour citer cette annonce
« L'Encyclopédie méthodique (1782-1832) », Colloque, Calenda, Publié le samedi 23 septembre 2000, https://calenda-formation.labocleo.org/185749