Dans le cadre du quatrième congrès du Réseau Asie-Imasie, nous nous proposons d’établir un diagnostic de la situation actuelle des milieux insulaires du Pacifique Sud dans le cadre d’une pluridisciplinarité : les sciences qualifiées traditionnellement de « dures » permettant d’éclairer les problématiques des sciences humaines et sociales et inversement.

La mondialisation a des effets inattendus sur les petits milieux insulaires ultra sensibles finalement aux phénomènes venus d’ailleurs.

Ces milieux se débattent depuis longtemps avec des problèmes spécifiques, qui peuvent varier considérablement d’une île à l’autre. Il y a donc des handicaps structurels, mais ils étaient souvent compensés par une certaine qualité de vie et par les réseaux de solidarité traditionnels.

Ces îles sont maintenant confrontés aux turbulences du monde entier, que ce soit les dérèglements climatiques, les dérèglements économiques (qui semblent pourtant épargner la grande nation qu’est l’Australie) ou le difficile ajustement des sociétés traditionnelles avec l’évolution des mentalités, des techniques et des besoins.

Nous nous proposons d’établir un diagnostic de la situation actuelle des milieux insulaires du Pacifique Sud dans le cadre d’une pluridisciplinarité : les sciences qualifiées traditionnellement de « dures » permettant d’éclairer les problématiques des sciences humaines et sociales et inversement.

Les communications retenues seront présentées au sein d'ateliers organisés pour le 4e congrès du Réseau Asie qui se tiendra du 14 au 16 septembre 2011 à Paris.

Les interventions seront de 20 minutes. Les propositions communications de 200 mots devraient être envoyées avec titres, mots-clés, ET une courte présentation de l'auteur ( titre académique, organisme de rattachement administratif, adresse électronique).

Merci d’envoyer les propositions avant le 15 octobre 2010 par e-mail : vfayaud@msh-paris.fr