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Attraktive Orte. Zur Aufnahme ausländischer StudentInnen

Accueillir l’étudiant·e étranger·ère

Hosting foreign students - Traverse journal 1/2018

Revue « Traverse » 1/2018

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Veröffentlicht am vendredi, 18. novembre 2016

Zusammenfassung

Depuis la peregrinatio academica du Moyen Âge, les étudiant·e·s circulent au cours de leur formation. Pour ce numéro de traverse, la focale se concentre sur la promotion, la présence et la prise en charge des étudiant·e·s étrangers·ères dans le pays et l’université d’accueil. L’objectif de ce numéro est d’offrir des comparaisons à la fois diachroniques – le sujet est particulièrement adapté à une approche transpériode – et spatiales, entre pays et entre universités.

Seit der mittelalterlichen «peregrinatio academica» sind StudentInnen während ihrer Ausbildung auf verschiedene Weise mobil. Diese Ausgabe von traverse konzentriert sich auf die Anwerbung, die Ankunft und die Aufnahme ausländischer StudentInnen im Gastland und an ihrer Gastuniversität. Das Ziel ist, sowohl diachrone – das Thema ist besonders geeignet für einen transepochalen Ansatz – wie räumliche Vergleiche zwischen Ländern und Hochschulen anzustellen.

Inserat

Argumentaire 

Depuis la peregrinatio academica du Moyen Âge, les étudiant-e-s circulent au cours de leur formation. Il y a plusieurs cas de figure : par exemple, certains centres universitaires deviennent des pôles d’attraction à l’échelle nationale ou internationale ; certains établissements sont fermés à des catégories de populations étudiantes (femmes, Juifs, etc.) qui partent étudier ailleurs ; des institutions d’élite développent leurs propres programmes d’échanges ; le statut social et/ou le marché du travail exigent une expérience de mobilité ; des concurrences régionales, nationales ou académiques encouragent la mobilité étudiante.

Pour ce numéro de traverse, la focale se concentre sur la promotion, la présence et la prise en charge des étudiant·e·s étrangers·ères dans le pays et l’université d’accueil. L’objectif de ce numéro est d’offrir des comparaisons à la fois diachroniques – le sujet est particulièrement adapté à une approche transpériode – et spatiales, entre pays et entre universités.

Axes thématiques

Les questions et thématiques suivantes fournissent le cadre de cette publication :

  • les objectifs assignés à l’accueil des étudiants : sont-ils attirés pour être ensuite employés dans l’économie locale (attraction des cerveaux) ? Ou pour légitimer certains pôles d’attraction ? Ou encore, dans une logique de rayonnement afin que ces élites, de retour dans leur pays, favorisent à long terme des relations politiques, culturelles et sociales avec l’université ou le pays d’accueil ?
  • La matérialité et les pratiques de l’accueil sur place : quels sont les acteurs – institutions (universités, organisations, administrations) et groupes (étudiants, communautés religieuses ou nationales) – qui prennent en charge l’accueil des étudiant·e·s étrangers·ères ? comment organisent-ils le logement et quelles prestations psychologiques et médicales fournissent-ils aux étudiant·e·s étrangers·ères ? Quelles sont les offres d’apprentissage et les aménagements en matière linguistique proposés ?
  • Le cadre politique entre promotion et restriction de la mobilité. Quelle place l’accueil des étudiant·e·s étrangers·ères occupe-t-elle dans la politique migratoire ? Les politiques de bourses et autres soutiens financiers constituent autant une aide financière, administrative et logistique qu’un moyen de contrôle à travers une sélection politique, idéologique et économique des étudiant·e·s. Par ailleurs, à côté de la prise en charge, des mesures restrictives sont prises, comme les renvois, les limitations de séjour et des possibilités de travailler pendant et après les études. Ces politiques se situent au croisement d’intérêts éducatifs (soutenues par certaines universités), diplomatiques et économiques.

Des propositions sur toutes les périodes et issues de tous les courants historiographiques sont bienvenues. Les articles peuvent porter sur des études de cas, des comparaisons, en prenant en compte les acteurs et/ou les institutions, ou adopter des perspectives plus larges, sur la longue durée.

Modalités pratiques d'envoi des propositions

Les articles seront publiés dans le n° 25/1 (2018) de la revue traverse – revue d’histoire. Ils doivent être rendus le 15 août 2017, pour permettre les relectures, et sont limités à 30'000 signes.

Merci d’envoyer un résumé de max. 2'500 signes et un court CV (y compris adresse postale)

jusqu’au 15 février 2017 à

karine.crousaz@revue-traverse.ch, matthieu.gillabert@revue-traverse.ch ou anja.rathmann@revue-traverse.ch.

Coordinateurs du numéro

  • Dr. Karine Crousaz
  • Dr. Matthieu Gillabert
  • Dr. Anja Rathmann-Lutz

Präsentation

Seit der mittelalterlichen «peregrinatio academica» sind StudentInnen während ihrer Ausbildung auf verschiedene Weise mobil: einzelne Universitäten entwickeln sich zu Anziehungspunkten auf nationaler oder internationaler Ebene, einige Institutionen schliessen bestimmte Gruppen (Frauen, Juden) vom Studium aus, die dann auswärts studieren, Eliteinstitutionen entwickeln eigene Austauschprogramme und internationale Netzwerke, der soziale Status und/oder der Arbeitsmarkt erfordern Mobilitätserfahrungen oder aber regionale, nationale oder akademische Konkurrenzen befördern die studentische Mobilität. 

Diese Ausgabe von traverse konzentriert sich auf die Anwerbung, die Ankunft und die Aufnahme ausländischer StudentInnen im Gastland und an ihrer Gastuniversität. Das Ziel ist, sowohl diachrone – das Thema ist besonders geeignet für einen transepochalen Ansatz – wie räumliche Vergleiche zwischen Ländern und Hochschulen anzustellen.

Themen 

Folgende Themenbereiche und Fragen sollen einen Rahmen für die BeiträgerInnen bieten:

  • Zunächst geht es darum, welche Ziele mit dem Empfang der Auswärtigen verbunden sind. Werden sie angeworben, um später in der lokalen oder nationalen Wirtschaft tätig zu sein („brain drain“), um einzelne Institutionen zu legitimieren und ihre Ausstrahlungskraft zu stärken, oder um unter den Eliten, die nachher in ihre Herkunftsländer zurückkehren und dort politisch, kulturell und sozial aktiv werden, positive Erinnerungen an Universität und Gastland zu schaffen, die eher langfristig wirken?
  • Ein weiterer Fragenkomplex widmet sich Materialität und Praxis der Massnahmen vor Ort. Welche Institutionen (Universität, Vereine, Ämter) und Gruppen (StudentInnen, religiöse oder nationale Gemeinschaften, …) erbringen diese Leistungen oder unterstützen sie? Wie sorgen sie für Unterkunft, psychologische und medizinische Betreuung der auswärtigen StudentInnen? Welche Angebote oder Erleichterungen hinsichtlich des Spracherwerbs werden gemacht? Unterstützen Massnahmen im Bereich Sport und Kultur die Integration der Neuankömmlinge?
  • Last but not least interessieren uns die politischen Rahmenbedingungen, die studentischer Mobilität Unterstützung bieten oder Restriktionen auferlegen. Das betrifft einerseits die direkte Einflussnahme über die Einwanderungspolitik im Kontext grösserer Migrationsbewegungen, wo die studentische Mobilität oftmals eine Sonderstellung einnimmt. Zudem erlaubt die unmittelbare oder mittelbare Gewährung von Stipendien und generell die Unterstützung auswärtiger Studierender gleichzeitig effektive Hilfe in finanzieller, administrativer und logistischer Hinsicht und Kontrolle durch politische, ideologische und ökonomische Auswahl, Zurückweisung, Limitierung des Aufenthalts und der Arbeitsmöglichkeiten während oder nach dem Studium. Indirekt haben auch die allgemeine staatliche Bildungspolitik (Unterstützung bestimmter Universitäten) sowie diplomatische und wirtschaftliche Interessen eine bedeutende Rolle bei der Auf- und Annahme ausländischer StudentInnen inne. 

Wir heissen Vorschläge aus allen Epochen und Teildisziplinen willkommen. Die Artikel können akteurszentrierte Fallstudien oder institutionenorientierte Vergleiche sein, aber auch breiter angelegte Perspektiven in der longue durée einnehmen.

Vortragsvorschläge  

Die Beiträge werden als Heft Nr. 25/1 (2018) der traverse – Zeitschrift für Geschichte erscheinen.

Sie haben einen Umfang von max. 30’000 Zeichen und sollen bis zum 15.8.2017 an die Redaktion gelangen, damit ausreichend Zeit für Überarbeitung und Lektorat bleibt.

Bitte senden Sie ein Abstract mit max. 2500 Zeichen und einem kurzen CV (inkl. Postadresse) bis

zum 15.2.2017

an karine.crousaz@revue-traverse.ch, matthieu.gillabert@revue-traverse.ch oder anja.rathmann@revue-traverse.ch.

Wissenschaftliche Leitung

  • Dr. Karine Crousaz
  • Dr. Matthieu Gillabert
  • Dr. Anja Rathmann-Lutz

Daten

  • mercredi, 15. février 2017

Schlüsselwörter

  • étudiant, université, échange

Kontakt

  • Karine Crousaz
    courriel : karine [dot] crousaz [at] unil [dot] ch
  • Matthieu Gillabert
    courriel : matthieu [dot] gillabert [at] unifr [dot] ch
  • Anja Rathmann
    courriel : anja [dot] rathmann [at] revue-traverse [dot] ch

Verweis-URLs

Informationsquelle

  • Karine Crousaz
    courriel : karine [dot] crousaz [at] unil [dot] ch

Zitierhinweise

« Attraktive Orte. Zur Aufnahme ausländischer StudentInnen », Beitragsaufruf, Calenda, Veröffentlicht am vendredi, 18. novembre 2016, https://calenda-formation.labocleo.org/384424

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