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Violences dans les Amériques

Violencias en las Américas

Violence in the Americas - American Studies doctoral and post-doc study day, 2018

Journées des jeunes américanistes 2018

Jornadas de los Jóvenes Americanistas 2018

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Publicado mercredi, 03 de janvier de 2018

Resumo

L’extrême violence qui sévit aujourd’hui en Amérique latine peut-elle constituer un observatoire privilégié des phénomènes de violence à différentes échelles spatiales et temporelles ? La « violence de rétribution » (Beik, 2007) des subalternes en demande de justice peut s’opposer à la « violence légitime » de l’Etat (Weber, 1998 [1971]), à la « violence symbolique » (Bourdieu, 2012) des institutions, ou encore à la violence structurelle des rapports d’oppression de classe, de genre et de race. L’objectif sera de proposer une démarche pluridisciplinaire de l’étude de la violence – trop souvent cantonnée à des champs disciplinaires – ainsi que d’identifier les problématiques permettant de penser l’intrication des différentes échelles d’analyse.

¿Puede la violencia extrema que sufre América Latina en la actualidad ser un observatorio privilegiado de los fenómenos de violencia en función de distintas escalas temporales y espaciales? La «violencia de retribución» (Beik, 2007) de los subalternos que reclaman justicia puede oponerse a la «violencia legítima» del Estado (Weber, 1998 [1971]), a la «violencia simbólica» (Bourdieu, 2012) de las instituciones, o incluso a la violencia estructural de la opresión de clase, de género o de raza. El objetivo será proponer un acercamiento interdisciplinar al estudio de la violencia – tan a menudo considerada desde disciplinas acotadas – e identificar aquellas problemáticas que permitan pensar la interconexión de diferentes niveles o escalas de análisis.

Anúncio

Journées d'étude les 21 et 22 mai 2018
Lieux : CEMCA (Mexico) et Casa de Velázquez (Madrid)

Présentation

La neuvième édition des Journées des Jeunes Américanistes (JJA) est une initiative des doctorants et jeunes docteurs de diverses institutions européennes et latino-américaines : le Centre des Études Mexicaines et Centre-américaines (CEMCA, Mexico), l'Institut Français des Études Andines (IFEA, Lima), la Casa de Velázquez (Madrid) et la Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED, Madrid). Les JJA proposent, pour les jeunes chercheurs, un espace de discussion interdisciplinaire et international, ouvert aux différentes réflexions et méthodes des Sciences humaines et sociales. L’édition 2018, consacrée à l’étude des Violences dans les Amériques, se déroulera de façon simultanée à Mexico et à Madrid les 21 et 22 mai. Chaque participant sera invité à présenter son travail en intégrant sa réflexion à la thématique des journées. À Mexico, les JJA prendront place dans un colloque international mené dans le cadre d'un Fonds d'Alembert et organisé en partenariat avec les services du SCAC sur le thème : « Le corps de la violence/el cuerpo de la violencia ».

Problématique

L’extrême violence qui sévit aujourd’hui en Amérique latine peut-elle constituer un observatoire privilégié des phénomènes de violence à différentes échelles spatiales et temporelles ? La « violence de rétribution » (Beik, 2007) des subalternes en demande de justice peut s’opposer à la « violence légitime » de l’Etat (Weber, 1998 [1971]), à la « violence symbolique » (Bourdieu, 2012) des institutions, ou encore à la violence structurelle des rapports d’oppression de classe, de genre et de race.

Phénomène incorporé dans les consciences et les corps, la violence se manifeste par le crime ou l’affrontement, mais aussi de façon moins spectaculaire et plus durable par le traumatisme ou le silence. Aussi, une approche contemporaine des violences dans les Amériques doit prendre en compte la multiplicité des acteurs concernés, qu’ils exercent la violence, qu’ils en soient victimes ou qu’ils l’observent.

Il s’agira de saisir la spécificité des violences à l’œuvre dans les Amériques, de l’époque préhispanique à nos jours, en passant par le moment fondateur des Indépendances (Halperin Donghi, 1985), mais aussi de les appréhender dans une perspective globale et connectée : par exemple dans les aspects liés au crime organisé, aux migrations, à la circulation des répertoires d’action (Tilly, 1984), ou encore aux représentations culturelles.

Enfin, l’objectif sera de proposer une démarche pluridisciplinaire de l’étude de la violence – trop souvent cantonnée à des champs disciplinaires – ainsi que d’identifier les problématiques permettant de penser l’intrication des différentes échelles d’analyse. Les propositions de communication pourront s’intégrer dans l’un des trois axes de réflexion suivants :

Axes de réflexion

1. Les acteurs politiques de la violence

Cet axe propose de s’interroger sur les acteurs ayant recours à des répertoires de violences à différentes échelles. Les territoires latino-américains se sont construits à partir de processus violents : les conflits de l’époque précolombienne comme la pratique de la guerre fleurie, de même que la conquête coloniale, l’esclavage, et les guerres d’Indépendance, civiles ou interétatiques pourront être abordés. Ainsi, les sciences sociales peuvent témoigner de l’action des forces coercitives de l’Etat et de ses alliés (police, armée, paramilitaires), souvent traversées par des tensions internes. Des acteurs et des groupes collectifs se sont également opposés aux Etats en développant des répertoires d’actions violentes et insurrectionnelles, qui pourront être analysés. Enfin, la violence est aussi exercée localement, par des élites ou des groupes dominants, afin d’affirmer leur autorité face à des entités globales ou régionales, et à des groupes subalternes. Les violences religieuses, liées aux rituels, aux sacrifices, à l’Inquisition ou à des phénomènes plus contemporains pourront aussi faire l’objet d’analyses spécifiques.

2. La violence à l'épreuve du terrain, le chercheur au cœur de la violence

Le chercheur travaillant sur la violence est personnellement confronté à ses manifestations sur le terrain. L’étude de ces situations-limites constitue en soi une prise de position et implique des considérations éthiques. Sur le terrain, les caractéristiques sociales de l’enquêteur, en particulier son genre, jouent un rôle déterminant dans les menaces qu’il ou elle affronte et dans les stratégies mises en œuvre. Par ailleurs, le chercheur se heurte à la difficulté d’interpréter des sources produites par des acteurs (États, ONGs, etc.) dont les catégories sont susceptibles de réifier la violence ou de l'effacer. La violence peut aussi avoir un impact sur les sources disponibles pour la connaissance des périodes anciennes et peut être interrogée en tant que contexte de production d’une source. Ces questions peuvent donner lieu à des réflexions de la part des chercheurs sur les manières dont la violence transforme leurs objets, et conditionne l’élaboration des contenus scientifiques.

3. À la croisée des démarches, comment restituer la violence ?

Les formats non-verbaux tels que le document visuel, photographique, sonore ou filmique permettent aussi d’aborder d’autres dimensions sociales, émotionnelles et cognitives de la violence, de déplacer le regard et d’enrichir l’approche du chercheur. Face à des contextes de violence, des artistes, dans les Amériques comme en Afrique ou au Moyen Orient, peuvent choisir de s’engager dans un travail d’interprétation et de mise en visibilité fondé sur des mécanismes liés aux sens, à la mémoire et aux émotions. La création actuelle tant dans la culture savante (littérature, art contemporain) que dans la culture populaire (création urbaine, pratique religieuse, musique et mode) fait de la violence un objet propre à être représenté et interrogé pour mieux le sublimer tout en le chargeant d’une force critique.

Bibliographie

  • Beik, W. (2007). The violence of the french crowd from charivari to Revolution. Past and Present, 197, pp. 75-110. 
  • Bourdieu, P. (2012). Sur l’Etat. Paris : Seuil.
  • Carrera Damas, G. (dir.). (1999). Historia general de América latina. Paris et Madrid : Unesco et Trotta.
  • Halperin Donghi, T. (1985). Reforma y disolución de los Imperios Ibéricos. Madrid : Alianza Editorial.
  • Tilly, C. (1984). Les origines du répertoire de l'action collective contemporaine en France et en Grande-Bretagne. Vingtième siècle, revue d'histoire, 4 (1), pp. 89-108. 
  • Weber, M. (1998 [1971]). Economie et société 1. Paris : Presses Pocket.

Instructions pour l’envoi des propositions

Cet appel est ouvert à tous les étudiants inscrits en Master et/ou en Doctorat, en Sciences Humaines et Sociales, et travaillant sur les Amériques et les Caraïbes. 

Les candidats devront compléter en ligne le formulaire, mis à disposition à cette adresse 

avant le 31 janvier 2018.

Ils devront fournir un résumé de la communication de 500 mots maximum incluant : un objet d’étude, le terrain de recherche, l’approche méthodologique et cinq mots clés. 

Les propositions sont acceptées en français, espagnol, anglais et portugais mais les journées seront réalisées en espagnol. Les résultats de la sélection seront communiqués début février. Les candidats sélectionnés devront ensuite réaliser un travail préliminaire sur leur thème de recherche pour alimenter les travaux de groupe durant les journées.

Organization

Centro de Estudios Mexicanos y Centroamericanos (UMIFRE 16, USR 3337, México), Instituto Francés de Estudios Andinos (UMIFRE 17, USR 2237, Lima), École des hautes études hispaniques et ibériques (Casa de Velázquez, Madrid), Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED, Madrid), Institut des Amériques

Conditions pratiques

À Mexico, les journées auront lieu au CEMCA. Les organisateurs offrent, pour les participants extérieurs à la ville de Mexico qui en font la demande, un logement en chambre double partagée pour les nuits du 21 et du 22 mai 2018, ainsi que deux déjeuners.

À Madrid, les journées auront lieu à la Casa de Velázquez en collaboration avec l’Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED). Les organisateurs offrent, pour les participants extérieurs à Madrid qui en font la demande, un logement en chambre double partagée pour les nuits du 21 et du 22 mai 2018, ainsi que deux déjeuners. 

Comité scientifique et d’organisation 

  • Michel BERTRAND, Directeur de la Casa de Velázquez
  • Guillaume DUARTE, IHEAL-CREDA
  • Évelyne MESCLIER, Directrice de l’IFEA
  • Nicolas MORALES, Directeur des études Casa de Velázquez
  • Arthur MORENAS, Institut des Amériques
  • Caroline PERRÉE, CEMCA
  • Ana María RIVERA MEDINA, UNED
  • Michelle SALORD LÓPEZ, Institut des Amériques
  • Frédéric SPILLEMAEKER, EHEHI-Casa de Velázquez
  • Bernard TALLET, Directeur du CEMCA
  • Marko TOCILOVAC, EHEHI-Casa de Velázquez
Jornadas de estudio del 21 al 22 de mayo 2018
Lugares: CEMCA (México) y Casa de Velázquez (Madrid)

Presentación

La novena edición de las Jornadas de los Jóvenes Americanistas (JJA) es una iniciativa de los doctorandos y jóvenes doctores de varias instituciones académicas europeas y latinoamericanas: el Centro de Estudios Mexicanos y Centroamericanos (CEMCA, México), el Instituto Francés de Estudios Andinos (IFEA, Lima), la Casa de Velázquez (Madrid) y la Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED, Madrid). Las JJA ofrecen un espacio de debate interdisciplinar e internacional para jóvenes investigadores, abierto a las reflexiones y las metodologías diversas de las Ciencias Humanas y Sociales. La edición del 2018, dedicada al estudio de las Violencias en las Américas, se desarrollará de forma simultánea en la Ciudad de México y en Madrid los próximos 21 y 22 de mayo. Cada investigador presentará su trabajo integrándolo en la temática de las jornadas. En México, las JJA serán parte de un coloquio internacional organizado en el marco de un Fonds d'Alembert, en colaboración con los servicios del SCAC, sobre el tema: «Le corps de la violence / El cuerpo de la violencia».

Problemática

¿Puede la violencia extrema que sufre América Latina en la actualidad ser un observatorio privilegiado de los fenómenos de violencia en función de distintas escalas temporales y espaciales? La «violencia de retribución» (Beik, 2007) de los subalternos que reclaman justicia puede oponerse a la «violencia legítima» del Estado (Weber, 1998 [1971]), a la «violencia simbólica» (Bourdieu, 2012) de las instituciones, o incluso a la violencia estructural de la opresión de clase, de género o de raza.

Como un fenómeno incorporado a las conciencias y los cuerpos, la violencia se manifiesta por el crimen o el enfrentamiento, pero también, de forma menos espectacular y más duradera, por el trauma o el silencio. Por tanto, un análisis contemporáneo de las violencias en las Américas deberá atender a la multitud de actores relacionados con las violencias, ya sea por ejercerlas, sufrirlas, u observarlas.

Se tratará por tanto de identificar aquello que sea específico de las violencias americanas, desde la época prehispánica hasta la actualidad pasando por el momento fundacional de las Independencias (Halperin Donghi, 1985), considerándolas asimismo desde un punto de vista global y conectado: por ejemplo, en lo que respecta al crimen organizado, a las migraciones, a la circulación de repertorios de acción (Tilly, 1984), o a las representaciones culturales.

En definitiva, el objetivo será proponer un acercamiento interdisciplinar al estudio de la violencia – tan a menudo considerada desde disciplinas acotadas – e identificar aquellas problemáticas que permitan pensar la interconexión de diferentes niveles o escalas de análisis. Las propuestas podrán integrarse en uno de los tres ejes siguientes:

Ejes de reflexión

    1. Los actores políticos de la violencia

Este eje propone una reflexión sobre los actores que recurren a repertorios de violencia según varias escalas. Los territorios latinoamericanos se han construido a partir de procesos violentos: los conflictos de la época precolombina como la guerra florida, así como la conquista colonial, la esclavitud y las guerras de Independencia, guerras civiles o interestatales podrán ser objeto de análisis. Por otra parte, las ciencias sociales pueden mostrar la acción de las fuerzas coercitivas del Estado y de sus aliados (policía, ejército, organizaciones paramilitares), marcadas habitualmente por tensiones internas. Actores y grupos colectivos se han enfrentado a los Estados desarrollando a su vez repertorios de acciones violentas e insurreccionales que podrán ser estudiados. Por último, la violencia se ejerce también a nivel local, por élites o grupos dominantes, para afirmar su autoridad ante entidades globales o regionales y grupos subalternos. Las violencias religiosas, ligadas al rito, a los sacrificios, a la Inquisición o a fenómenos más actuales podrán ser objeto asimismo de estudios específicos.

    2. La violencia en el terreno, el investigador en el corazón de la violencia

El investigador que estudia la violencia se encuentra personalmente con sus manifestaciones en el terreno. El estudio de estas situaciones límite constituye de por sí un posicionamiento e implica una reflexión ética. En el terreno, las características sociales del investigador, y en particular su género, juegan un papel determinante ante las amenazas a las que se enfrenta y las estrategias de las que dispone. Por otra parte, el investigador se enfrenta a la dificultad de interpretar fuentes producidas por actores (Estados, ONGs, etc.) cuyas categorías pueden reificar la violencia o desdibujarla. La violencia puede tener asimismo un impacto en las fuentes disponibles para el conocimiento de periodos antiguos y puede por tanto ser analizada como contexto de producción de fuentes. Estas cuestiones pueden dar lugar a reflexiones sobre la forma en que la violencia transforma los objetos de investigación y condiciona la elaboración de contenidos científicos

    3. En la encrucijada de las miradas, ¿cómo representar las violencias?

Los formatos no verbales como el documento visual, fotográfico, sonoro o fílmico permiten explorar otras dimensiones, sociales, emocionales y cognitivas de la violencia, desplazando así el punto de vista para enriquecer la mirada del investigador. Ante contextos de violencia, los artistas, en las Américas tanto como en África o en Oriente Medio, pueden comprometerse con un trabajo de interpretación y de visibilización en base a mecanismos ligados a los sentidos, a la memoria y a las emociones. La creación actual, ya sea en la cultura letrada (literatura, arte contemporáneo) o en la cultura popular (creación urbana, prácticas devocionales, música y moda) hace de la violencia un objeto representable y analizable para sublimarlo y cargarlo asimismo de fuerza crítica.

Bibliografía

  • Beik, W. (2007). The violence of the french crowd from charivari to Revolution. Past and Present, 197, pp. 75-110. 
  • Bourdieu, P. (2012). Sur l’Etat. Paris : Seuil.
  • Carrera Damas, G. (dir.). (1999). Historia general de América latina. Paris et Madrid : Unesco et Trotta.
  • Halperin Donghi, T. (1985). Reforma y disolución de los Imperios Ibéricos. Madrid : Alianza Editorial.
  • Tilly, C. (1984). Les origines du répertoire de l'action collective contemporaine en France et en Grande-Bretagne. Vingtième siècle, revue d'histoire, 4 (1), pp. 89-108. 
  • Weber, M. (1998 [1971]). Economie et société 1. Paris : Presses Pocket.

Consignas para el envío de propuestas

Esta convocatoria está abierta a todos los estudiantes inscritos en Master y / o Doctorado en Ciencias Humanas y Sociales que trabajen sobre las Américas y el Caribe.

Los candidatos tendrán que completar en línea el formulario, disponible en la siguiente dirección

antes del 31 de enero de 2018.

Las propuestas contendrán un resumen de 500 palabras máximo, en el que se expondrán: el objeto de estudio, el terreno de la investigación, el enfoque metodológico y cinco palabras clave.

Se aceptan propuestas en francés, español, inglés y portugués, aunque la lengua de las jornadas será el español. Los resultados de la selección se comunicarán a principios de febrero. Los candidatos seleccionados tendrán que hacer un trabajo preliminar sobre su tema de investigación para alimentar los trabajos del grupo durante las jornadas.

Condiciones prácticas en Madrid y México

En México, las Jornadas tendrán lugar en el CEMCA. Los organizadores ofrecen, bajo solicitud y para los participantes que no residan en la Ciudad de México, un alojamiento en habitación doble para las noches del 21 y 22 de mayo 2018, y dos almuerzos.

En Madrid, las Jornadas tendrán lugar en la Casa de Velázquez, en colaboración con la Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED). Los organizadores ofrecen, bajo solicitud y para los participantes que no residan en Madrid, un alojamiento en habitación doble para las noches del 21 y 22 de mayo 2018, y dos almuerzos.

Organización

Centro de Estudios Mexicanos y Centroamericanos (UMIFRE 16, USR 3337, México), Instituto Francés de Estudios Andinos (UMIFRE 17, USR 2237, Lima), École des hautes études hispaniques et ibériques (Casa de Velázquez, Madrid), Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED, Madrid), Institut des Amériques.

Comité científico y de organización 

  • Michel BERTRAND, Director de la Casa de Velázquez
  • Guillaume DUARTE, IHEAL-CREDA
  • Évelyne MESCLIER, Directora del IFEA
  • Nicolas MORALES, Director de estudios Casa de Velázquez
  • Arthur MORENAS, Institut des Amériques
  • Caroline PERRÉE, CEMCA
  • Ana María RIVERA MEDINA, UNED
  • Michelle SALORD LÓPEZ, Institut des Amériques
  • Frédéric SPILLEMAEKER, EHEHI-Casa de Velázquez
  • Bernard TALLET, Director del CEMCA
  • Marko TOCILOVAC, EHEHI-Casa de Velázquez

Locais

  • Casa de Velázquez
    Madrid, Espanha (28040)
  • CEMCA
    Cidade do México, México (11000)

Datas

  • mercredi, 31 de janvier de 2018

Palavras-chave

  • violences, violencias, amériques, américas

Contactos

  • Soledad Durán
    courriel : ehehi [at] casadevelazquez [dot] org

Fonte da informação

  • Matthieu Iandolino
    courriel : matthieu [dot] iandolino [at] casadevelazquez [dot] org

Para citar este anúncio

« Violences dans les Amériques », Chamada de trabalhos, Calenda, Publicado mercredi, 03 de janvier de 2018, https://calenda-formation.labocleo.org/427139

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