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Numérique : quelles intelligences du projet architectural et urbain ?

Digital intelligence and architectural and urban projects? Netcom journal

Revue Netcom

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Veröffentlicht am lundi, 11. février 2019

Zusammenfassung

Les univers de la conception, de la gestion, de l’aménagement ne sont pas restés étanches à la numérisation grandissante de nos environnements, urbains tout particulièrement. Big data, Smart city, jeux à réalité augmentée, généralisation du BIM… : en quoi l’usage du numérique est-il venu modifier certaines pratiques autant que la manière même de concevoir l’espace, d’en produire les connaissances par et pour le projet ?

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Résumé

Les univers de la conception, de la gestion, de l’aménagement ne sont pas restés étanches à la numérisation grandissante de nos environnements, urbains tout particulièrement. Big data, Smart city, jeux à réalité augmentée, généralisation du BIM… : en quoi l’usage du numérique est-il venu modifier certaines pratiques autant que la manière même de concevoir l’espace, d’en produire les connaissances par et pour le projet ?[1] Le présent numéro entend questionner des thématiques aussi variées que l’optimisation et la performance et de l’objet architectural, l’instrumentation des processus de conception, les modes de matérialisation et de fabrication numériques du projet architectural et urbain, ou encore la gouvernance urbaine. Trois principaux axes de réflexion structurent l’appel à textes : la transformation de la pensée et de l’acte de conception d’une part, et son impact sur l’organisation du travail et l’évolution des métiers en termes d’inter-professionnalité de nouvelles contraintes et de montée en puissance de la gamification de l’urbanisme de l’autre ; et enfin le numérique dans la médiation et la gouvernance du projet urbain. Est-ce l’autonomie créative, le rapport personnel à l’œuvre qui serait en jeu du côté des architectes ? Ou est-ce, pour l’ensemble des acteurs toujours fragmentés de la maitrise d’œuvre, la capacité de relever le défi de penser la chaîne intégrée de production des objets plus ou moins complexes pris dans des interrelations elles-mêmes complexes ? Peut-on imaginer de combiner les technologies du City Information Modeling (CIM) avec les Civic Techs pour régénérer la démocratie participative et travailler à l’essor d’innovations technologiques capables de faire émerger des communautés de citoyens engagés, orienter ou stimuler la co-construction de projets architecturaux et urbains et politiques publiques renouvelées par de nouveaux dispositifs participatifs ?

Argumentaire

Au-delà de l’acquisition de compétences et de la structuration de l’action, les technologies numériques participent à redéfinir les modes de relations entre acteurs humains ou non humains (Callon, 2004) celles-ci n’étant pas considérées comme de simples instruments mobilisés par les humains pour arriver à leurs fins mais comme des actants participant pleinement à la cognition, à l’acquisition de compétences ou à la prise de décisions. L’un des premiers enjeux que pose l’utilisation des outils numériques n’est-il pas celui de la formalisation de la pensée architecturale et urbaine ? « Ce n’est ni avec un pinceau, ni avec un crayon que l’on dessine, c’est avec l’intelligence ; l’outil ne fait rien à l’affaire, le mécanisme de la main n’est même qu’un accessoire et tout artiste qui ne dessine pas dans son cerveau, si adroite sa main, ne sera jamais qu’un pantographe »[2]. L’architecte Claude Parent, dans un entretien de 2002 (Parent & Obrist, 2002) constatait que la conception assistée par ordinateur (CAO), en accélérant le processus de pensée accompagnant l’acte créatif, privait les architectes de l’apport du temps du dessin, processus complexe, à la fois manuel et mental : « Et ça risque d’aller plus vite. Bientôt, les images vont se déformer toutes seules sur le moniteur et ils n’auront plus qu’à faire un arrêt sur image, à choisir quand celle-ci leur plaira »[3]. Le flou, l’indéterminé serait évacué au profit d’une hyper-technisisation du processus de conception si pas un véritable déterminisme de la technique sur la conception et la forme architecturale finale, encore renforcé par l’importance toujours plus grande du visuel dans la conception et la communication en architecture urbanisme (Geneau, 2018).

Axe 1 : La transformation de la pensée et de l’acte de conception

Aujourd’hui, la conception du projet architectural et urbain entre dans la logique de la Smart City. C’est-à-dire une ville intelligente basée sur l’exploitation de données multiples visant à améliorer ses performances dans de nombreux domaines tels que l’énergie, les transports, les services aux habitants. Il ne s’agit pas simplement de représenter ou de modéliser le projet architectural et urbain via des images de synthèse numériques, ce qui constitue encore pourtant actuellement la pratique numérique la plus répandue dans les agences d’architecture (Prévot & Leclercq, 2010). A l’échelle du bâtiment, les traductions de l’acronyme BIM (Building Information Modeling, Model ou Management) montrent la multiplicité de ses fonctions, allant de la conception à la gestion de projet et de patrimoine. C’est à la fois une nouvelle manière de modéliser un bâtiment par le biais d’une maquette numérique, un processus de réalisation, un outil d’information, une nouvelle méthode de collaboration entre acteurs du projet et une méthode de management, etc. Autrement dit, le BIM peut s’assimiler à une nouvelle méthodologie de travail de génération et d’utilisation de la maquette numérique permettant le partage de connaissance et une base d’information consolidée tout au long du cycle de vie d’une construction.

BIM et maquette numérique à l’échelle architecturale : l’intégration/rationalisation comme mot d’ordre

L’idée d’une mise en coordination généralisée via les technologies numériques dans le secteur du bâtiment a été fortement réactivée en 2014 suite à la directive européenne incitant à la mise en place d’une maquette numérique dénommée “BIM” dans tous les marchés publics. Aujourd’hui les marchés CREM (marché de conception, de réalisation et d’exploitation ou de maintenance) sont des marchés publics qui associent l’exploitation ou la maintenance à la conception et à la réalisation de prestations, notamment dans le domaine de l’énergétique du bâtiment. Ils associent les multiples partenaires de l’acte de bâtir dans des processus plus unifiés, notamment à travers des dispositifs contractuels qui les lient au sein de marchés plus globaux. Récemment utilisée pour aider à la conception/réalisation d’œuvres complexes et emblématiques telles que la Fondation Louis-Vuitton, La Canopée des Halles, la Philharmonie de Paris, la tour 2D à la Défense ou encore la tour Odéon à Monaco, des publications récentes ont également rendu compte des façons dont le BIM et la maquette numérique se traduisent concrètement dans les discours mais aussi les pratiques des acteurs de projets ordinaires tels que le logement social (Chaudet, Patrascu, Bouillon, 2016). Le 20 avril 2016, le premier permis de construire 100 % BIM de France a ainsi été déposé à Bussy Saint-Georges par Emmaüs Habitat pour un programme de 109 logements implanté dans l’éco-quartier du Sycomore[4].

  • A qui profite le BIM ?
  • La maquette numérique n’est-elle qu’un outil, ou est-elle le puissant vecteur de l’uniformisation et d’industrialisation du projet architectural et urbain ?

Bio-mimétisme et les nouvelles technologies : la question génétique en architecture

Les découvertes en génétique ainsi que l’avènement de la cybernétique (Wiener, 1948) auraient poussé des théoriciens comme Rayner Banham et Charles Jencks[5] à préfigurer, dès les années 1970, l’importance de la forme biologique (Onorato, 2014). En 2000, L’Universitat Internacional de Catalunya (UIC) a ouvert en 2000 un Master‘s degree in Biodigital Architecture[6]. Pour Alberto T. Estévez, son architecte-fondateur : « l’architecte du futur ne dirigera plus des maçons mais des ingénieurs génétiques »[7]. De septembre 2013 à mars 2014 s’est déroulée la 9ème édition d’Archilab[8], intitulée « Naturaliser l’architecture ». Elle entendait rendre visible une nouvelle pratique, qui, par l’exploration de la simulation du monde vivant par les outils numériques, se situerait « à la croisée du design, des sciences informatiques, de l’ingénierie et de la biologie. En faisant référence aux procédures apparues à la suite de l’introduction de l’ordinateur dans le processus de conception, non pas comme outil de représentation mais comme outil de calcul pour générer une architecture évolutionnaire, à la manière d’un organisme vivant, c’est bien le statut de l’architecte qui en est bouleversé jusqu’à devenir potentiellement « l’éleveur » d’un projet architectural devenu autonome dans ses modalités de croissance, de mutation ou encore de sélection (Roussel, 2014).

  • Quelle importance accorder à ces analogies à la fois mathématiques et naturelles dans la production théorique et pratique de l’architecture numérique (Picon, 2010) ?
  • Quel est le devenir de ces expérimentations ?

Axe 2 : Impact sur l’organisation du travail et l’évolution des métiers en termes d’inter-professionnalité, de nouvelles contraintes et de gamification de l’urbanisme

Au cours des dernières années, l’essor des technologies dites collaboratives a entraîné de nombreux changements dans l’organisation du travail.

  • Quelles sont les mutations des métiers, des compétences et des formes organisationnelles en cours ? Comment l’objet technique vient-il modifier les modalités de coordination et de collaboration dans un secteur marqué par la fragmentation des acteurs ?
  • Quels bouleversements ces nouveaux outils et nouveaux contrats introduisent-ils dans la chronologie du processus de désignation des acteurs privés (architectes, entreprises), de conception et de réalisation (Biau, 2014) ?
  • Concernant toujours l’hypothèse d’une hybridation des métiers et compétences liés à la production de la ville et du game design cette fois, en quoi la tendance croissante à combiner logiciels industriels conçus spécialement pour la modélisation des données du bâtiment, voire, à terme, des territoires et moteurs de jeux intégrant les dernières avancées en matière de simulation et de visualisation augmentée modifie-t-elle les métiers de la conception, de la réalisation et de la gestion urbaine et/ou territoriale ?

Enseignements et R&D

A l’ENSA de Toulouse et au LRA (Laboratoire de Recherche en Architecture), des dispositifs pédagogiques situés aux interfaces entre enseignement et recherches dans le domaine des « Architectures numériques » ont permis de confronter les étudiants au travail collaboratif consistant à produire ensemble la maquette numérique d’un équipement public remarquable : la bibliothèque José Cabanis (Faraut, Ferries, Goulette, Marques, 2016). Au Québec, les collèges d’enseignement général et professionnel (cégeps) Vieux-Montréal et de Limoilou, bientôt rejoints par l’École de technologie supérieure (ETS) ont d’abord contacté The Associated General Contractor of America (AGC), l’une des plus importantes associations du secteur de la construction aux États-Unis et se sont entendus avec eux pour devenir les diffuseurs officiels de leur formation en BIM dans la francophonie. Ils sont lancé le programme PeBIM en janvier 2015 reconnu par la Sofeduc et par le CanBIM Professional, organisme canadien certificateur du BIM[9].

  • Comment, concrètement, ces nouvelles technologies impactent-elles l’équipement, la pédagogie, les formations, les partenariats et les contrats de recherche, tant dans les écoles d’architecture que dans les écoles d’ingénieurs ou encore au sein des masters en aménagement et urbanisme et des laboratoires de recherche qui leur sont associés ?

Axe 3 : Le numérique dans la médiation et la gouvernance du projet urbain

Le numérique n’a pas dématérialisé la ville ou le territoire, loin de là ; et il est progressivement sorti des écrans pour investir l’espace physique, de façon visible. Technologies du BIM et des Systèmes d’information géographiques (SIG) s’allient, à l’échelle du quartier ou de la ville, pour produire le CIM (City Information Modeling). Agrégeant des données en temps réel issues de capteurs, des flux téléphoniques, des réseaux sociaux, voire des données remontées par les citoyens sur tel ou tel dysfonctionnement d’un service ou l’état de la voirie, ces « doubles virtuels » de la ville sont censés permettre des usages prospectifs divers dont l’accélération de projets d’open innovation et de services numériques à l’usage du citoyen. Des entreprises telles que GEOFIT[10], SIRS[11] ou GeoStat[12] produisent des bases de données urbaines à références spatiales dans ce but. Le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), l’IAU Ile-de-France développent des maquettes numériques à l’échelle du quartier afin de créer une ville simulable avec des modèles pouvant aller jusqu’à une précision de 3cm/pixel[13]. BIM in Motion[14] fait partie de l’équipe lauréate de l’appel à projets de l’épaMARNE-épaFRANCE pour l’aménagement de deux ZAC dans l’Est parisien. Enfin, des formations sont aujourd’hui proposées aux collectivités locales pour déployer un projet d’aménagement via le CIM[15].

  • Quels sont les enjeux pour développer ces systèmes complexes en termes de coût, humain (formation), et matériel (investissements) ?
  • Quels sont encore aujourd’hui les freins au développement de tels systèmes complexes, en termes de structuration des données, d’interopérabilité entre les systèmes d’exploitation ?
  • Peut-on imaginer de combiner les technologies du CIM avec les Civic Techs pour régénérer la démocratie participative et travailler à l’essor d’innovations technologiques capables de faire émerger des communautés de citoyens engagés, orienter ou stimuler la co-construction de politiques publiques renouvelées ou de nouveaux dispositifs participatifs ?

Soumission d’articles scientifiques

Les articles, d’une longueur de 15 à 20 pages, doivent comporter, en première page, les coordonnées complètes de l’auteur (ou des auteurs), un titre, un résumé et des mots-clés en français et en anglais.

Les articles seront évalués en double aveugle.

Soumission de notes scientifiques

En complément des articles scientifiques, cette rubrique contient des notes de recherches qui n’ont pas le statut d’article évalué en double aveugle mais qui présentent tout de même un intérêt pour leur caractère novateur ou pour la qualité de la problématique posée et des pistes envisagées. Ce sont des textes plus courts que les articles (5 à 10 pages) soit entre 10000 et 15000 caractères qui doivent apporter un complément utile à la thématique de ce numéro spécial. Ce type de contribution est également souhaité pour permettre au lecteur de comprendre les enjeux ou l’intérêt de prolonger la réflexion dans le cadre d’une future recherche.

Instructions aux auteurs

Articles scientifiques et notes scientifiques peuvent être publiés en français et/ou anglais.

Les contributions sont à envoyer à : Maryvonne Prévot (maryvonne.prevot@univ-lille.fr), Olivier Blanpain (olivier.blanpain@univ-lille.fr), Elodie Castex (elodie.castex@univ-lille.fr), Guest Editors du numéro, et sabrina.mommolin@univ-lehavre.fr pour la revue Netcom.

  • Maryvonne Prévot est Maître de conférences HDR à l’université de Lille, UFR de Géographie et Aménagement, Laboratoire Territoires Ville Environnement & Société (TVES) EA4477.
  • Olivier Blanpain est Professeur des Universités, à l’Ecole Polytechnique Universitaire de Lille, Laboratoire Territoires Ville Environnement & Société (TVES) EA4477.
  • Elodie Castex est Maître de conférences à l’université de Lille, UFR de Géographie et Aménagement, Laboratoire Territoires Ville Environnement & Société (TVES) EA4477.

Les modalités de mises en forme sont disponibles sur : https://journals.openedition.org/netcom/956

Comité scientifique

https://journals.openedition.org/netcom/1211

Plus d’informations sur la revue : https://journals.openedition.org/netcom/

Calendrier indicatif

  • 17 janvier 2019 : Appel à contribution.
  • 1er juillet 2019 : Soumission des propositions.

  • 1er octobre 2019 : Retour d’évaluation des propositions.
  • 1er février 2020 : Seconde expertise.
  • Septembre 2020 : Publication du numéro.

Bibliographie

BIAU V. (2014), « Les architectes et les contrats globaux : l’expérience d’un “monde à l’envers” », Lieux Communs - Les Cahiers du LAUA, LAUA (Langages, Actions Urbaines, Altérités - Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes). <halshs-01711480>

CALLON M. (2004), “The role of hybrid communities and socio-technical arrangements in the participatory design”, Journal of the center for information studies, n° 5, pp. 1-10.

CHAUDET B., PATRASCU M., BOUILLON J.-L., « La maquette numérique dans le secteur du bâtiment », Revue française des sciences de l’information et de la communication [En ligne], 9 | 2016, mis en ligne le 01 septembre 2016, consulté le 02 janvier 2019. URL : http://journals.openedition.org/rfsic/2044

FARAUT S., FERRIES B., GOULETTE J-P., MARQUES S. (2016), « Architectures numériques au service du projet : de l’analyse urbaine au projet architectural », Conference Paper, January 2014 : https://www.researchgate.net/publication/296692106

GENEAU L. (2018), De l’image au media. Quels outils pour le projet urbain ? Mémoire de Master 2 Urbanisme et aménagement, option Projet urbain, sous la direction de Maryvonne Prévot et de Geoffrey Galand (Atelier 9.81), Université de Lille, 96 p.

ONORATO J. (2014), La double nature de l’architecture numérique. Analogies avec la nature chez les principaux théoriciens de l’ère numérique, mémoire de master de l’ENSA Paris-Belleville, sous la direction de M-J. Dumont et de F. Fromonot, 102 p.

PARENT C., OBRIST H-U. (2012), Une conversation, Manuella Editions, 121 p.

PICON A. (2010), Culture numérique et architecture : une introduction, Bâle : Birkhäuser, 224 p.

PREVOT M., LECLERCQ C. (2010), « De la prolifération des études au projet sans auteur. Essai sur les projets urbains dunkerquois et sur la ville visible et invisible », Géocarrefour, vol. 85/4, p. 265 et suivantes.

ROUSSEL M., « L’architecture évolutionnaire. De la génétique en architecture », DNArchi, 01/05/2014, <http://dnarchi.fr/culture/larchitecture-evolutionnaire-de-la-genetique-en-architecture/>

Notes

[1] Ce numéro développe le contenu de l’axe 4 des 20e Rencontres internationales de l’APERAU internationale, « Que reste-il du projet ? » Lille, 18-22 juin intitulé : « Numérique, quelles intelligences du projet ? » : http://riurba.net/wp-content/uploads/2017/11/Appel-%C3%A0-communication-rencontres-APERAU-Lille-2018.pdf

[2] Eugène Viollet-Le Duc Cité par Duplay, C. et M. (1982), Méthode illustrée de la conception architecturale, Paris : Editions du Moniteur, coll. Architecture « Etudes », p. 182.

[3] Parent & Obrist, op. cit., p. 46.

[4] https://www.epamarne-epafrance.fr/actualites/lefficacite-du-bim/

[5] En 1971 Charles Jencks prévoyait la naissance dans les années 1990 d’un mouvement fondé sur les métaphores biologiques : la Biomorphic School.

[6] http://www.uic.es/en/studies-uic/esarq/university-masters-degree-biodigital-architecture

[7] Alberto T. Estévez, « Genetic Architecture : New ecologic-environmental architectural design & New cybernetic –digital architectural design”, in Genetic architectures, Arquitecturas genéticas, Lumen Books, SITES Books, Escola Tecnica Superior d’Arquitectura, Santa Fe Barcelona, 2003, p. 15-16.

[8] Créé en 1999, Archilab, « laboratoire international d’architecture », est un événement culturel autour de l’architecture expérimentale contemporaine. Sa première édition s’attachait à montrer en France l’émergence de la culture numérique dans l’architecture contemporaine.

[9] https://oce.uqam.ca/article/technologies-collaboratives-source-dinspiration-ingenierie-formation-prospective-reactive/

[10] https://geofit.fr/

[11] https://www.sirs-fr.com/sirs/fr/

[12] https://www.inria.fr/equipes/geostat

[13] https://www.revue-belveder.org/index.php/aider-la-gouvernance-urbaine-vers-des-maquettes-numeriques-intelligentes/

[14] https://www.biminmotion.fr/blog/bim-et-sig-lalliance-pour-le-city-information-modeling-cim

[15] https://evenements.infopro-digital.com/gazette-des-communes/formation-du-bim-au-cim-etendre-le-bim-management-a-l-espace-urbain-p-8624

Kategorien


Daten

  • lundi, 01. juillet 2019

Schlüsselwörter

  • TIC, numérique, urbanisme, gouvernance urbaine, projet, architecture, participation

Kontakt

  • Maryvonne Prévot
    courriel : maryvonne [dot] prevot [at] univ-lille [dot] fr
  • Sabrina Mommolin
    courriel : sabrina [dot] mommolin [at] univ-lehavre [dot] fr
  • Olivier Blanpain
    courriel : olivier [dot] blanpain [at] univ-lille [dot] fr
  • Elodie Castex
    courriel : elodie [dot] castex [at] univ-lille [dot] fr

Informationsquelle

  • Sabrina Mommolin
    courriel : sabrina [dot] mommolin [at] univ-lehavre [dot] fr

Zitierhinweise

« Numérique : quelles intelligences du projet architectural et urbain ? », Beitragsaufruf, Calenda, Veröffentlicht am lundi, 11. février 2019, https://calenda-formation.labocleo.org/557298

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