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• 18 oct 2014

  14 nov 2014

  15 nov 2014

  Créteil | Brest

  Journée d'étude - Ethnologie, anthropologie

  Jubilé scientifique de Jean-Michel Guilcher

  Jean-Michel Guilcher, le fondateur de l'ethno-choréologie française, a eu cent ans le 24 septembre. Son œuvre scientifique fait référence et justifie les initiatives prises par plusieurs de ses anciens élèves pour lui rendre hommage, au travers de journées d'étude qui se tiendront successivement à Créteil (Archives départementales), le samedi 18 octobre, puis à Brest (faculté Victor Segalen), l'après-midi du vendredi 14 et la matinée du samedi 15 novembre. La rencontre francilienne s'attachera aux « causes et aux vocations de Jean-Michel Guilcher », parmi lesquelles l'enquête – de terrain ou dans les archives – et l'analyse des données recueillies ont toujours coexisté avec le souci de la transmission.Quant à la journée d'étude brestoise, elle permettra de rappeler son implication dans la mise en place d'un enseignement de l'ethnologie à l'université de Bretagne occidentale et la fondation du Centre de recherches bretonnes et celtiques, mais encore de mesurer l'écho persistant de l'enquête fondatrice sur la tradition populaire de danse en Basse-Bretagne et de reconsidérer l'ampleur de son travail de terrain, du Poitou à la Provence, via le Berry, la Gascogne, le Pays Basque et le Béarn, les Pyrénées centrales et le Roussillon, l'Auvergne ou encore le Dauphiné, en suscitant les témoignages de ceux qu'il a inspirés et qui l'ont poursuivi.

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• 16 mai 2008

  17 mai 2008

  Plozévet

  Colloque - Épistémologie et méthodes

  Histoire et actualité de la Recherche coopérative sur programme de Plozévet

  Les grandes enquêtes pluridisciplinaires des années 60-70 en France : bilans et perspectives

  Ce colloque, prenant prétexte d’un retour sur les Recherches coopératives sur programme (RCP) des années soixante – soixante-dix, en particulier sur celle de Plozévet, entend contribuer à l’histoire des sciences humaines et sociales, au regard des questions qu’elles se posaient alors et de celles qu’elles se posent aujourd’hui. Il vise aussi à interroger les formes scientifiques qu’elles préconisaient, au regard de celles qui se sont développées depuis. Ces travaux sont-ils révélateurs, voire moteurs de transformations dans les approches des sciences humaines et sociales ? Impliquant des disciplines parfois très éloignées les unes des autres, et instituant l’obligation d’interdisciplinarité, ont-elles permis l’émergence de nouvelles problématiques et méthodes, des approches novatrices et des coopérations pérennes ?

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