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Société prise en otage (Colombie)

Stratégies individuelles et collectives face à la violence. Réflexions autour du cas colombien.

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Veröffentlicht am mardi, 21. novembre 2000

Zusammenfassung

Séminaire international Organisé par le Laboratoire de Sociologie, Histoire, Anthropologie des Dynamiques Culturelles (SHADYC, CNRS-EHESS), avec la participation des institutions suivantes : Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Ecole

Inserat

Séminaire international

Organisé par le Laboratoire de Sociologie, Histoire, Anthropologie des Dynamiques Culturelles (SHADYC, CNRS-EHESS), avec la participation des institutions suivantes : Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Ecole des Hautes Etudesen Sciences Sociales (EHESS), Institut des Hautes Etudes sur l'Amérique Latine (IHEAL), Institut de Recherche pour le Développement (IRD), et avec le soutien du Ministère des Affaires Etrangères et de l’Ambassade de France à Bogota.

Comité scientifique

Michel Agier, Jean-Michel Blanquer, Odile Hoffmann, Daniel Pécaut, Gonzalo Sanchez, Maria Victoria Uribe, Fernando Urrea.

Contact et inscriptions

Françoise Panardie - SHADYC, Centre de la Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille. Tel. : 04 91 14
07 20 ; Fax. : 04 91 91 34 01

Email : shadyc@ehess.cnrs-mrs.fr ; agier@ehess.cnrs-mrs.fr ; hoffmann@bondy.ird.fr

Présentation

Depuis près de quinze ans, la Colombie figure parmi les pays les plus violents au monde. Mais de nombreuses autres régions du globe connaissent des tensions et des affrontements dont l’issue semble bloquée par le durcissement des affiliations ethniques, religieuses, factionnelles ou régionales. L’autonomisation économique et la professionnalisation des groupes armés génèrent un climat de violence et d’impunité qui se répercute sur les pratiques et représentations sociales et politiques de toute la société.

Comment s'organise une société aux prises avec un conflit qui dure depuis des décennies ? Quelle influence directe ou indirecte ont le climat de guerre, la violence généralisée, les actes de terreur, la peur et les menaces directes ou indirectes, sur les comportements du travail, migratoires, résidentiels et sur les sociabilités quotidiennes ? Comment la population répond-elle à cette violence contre la société, individuellement ou à travers ses groupes constitués, associatifs, politiques, syndicaux ? Le cas colombien servira de point de départ à une analyse comparative des diverses dimensions de ces guerres, de leurs effets à court et long termes, et des réponses recherchées par les sociétés qui en sont devenues les otages.

Programme

Ce séminaire international se déroulera sur trois jours avec la participation de chercheurs en sciences sociales français et étrangers. Une vingtaine d'interventions seront présentées et débattues en séance plénière, chaque débat consistant à comparer systématiquement la situation colombienne avec le reste de l'Amérique latine (Mexique, Guatemala) et d'autres parties du monde (Afrique, Turquie, Sri Lanka, etc.). Les débats seront consacrés aux thèmes suivants :

Jeudi 23/11 : Les micro-conflits qui durent : causes et effets

Vendredi 24/11 : Guerre, mobilité et territorialité

Samedi 25/11 : Citoyennetés, identités. Les impasses et les réponses à la violence

Orte

  • Marseille, Frankreich

Daten

  • jeudi, 23. novembre 2000

Schlüsselwörter

  • Colombie, violence

Kontakt

  • Shadyc #
    courriel : shadyc [at] ehess [dot] cnrs-mrs [dot] fr

Zitierhinweise

« Société prise en otage (Colombie) », Seminar, Calenda, Veröffentlicht am mardi, 21. novembre 2000, https://calenda-formation.labocleo.org/185909

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