Colloque national et international Colloque organisé par le SOLITO (EA 3374) et technique et Culture (UMR 8498 CNRS/MNHM) Dans cet espace d'interface qu'est la zone littorale, les usages de la mer ne déterminent pas de clivages étanches entre

Colloque national et international


Colloque organisé par le SOLITO (EA 3374) et technique et Culture (UMR 8498 CNRS/MNHM)

Dans cet espace d'interface qu'est la zone littorale, les usages de la mer ne déterminent pas de clivages étanches entre les populations terriennes et les populations maritimes. Le rapport à la mer est variable. Si le concept de vocation maritime est trop souvent invoqué pour qualifier au nom d'un déterminisme ou d'une force irrésistible le choix des riverains qui s'engagent dans une voie maritime pure et dure, celui de pluriactivité permet de décliner les rapports comlexes que nouent les populations du littoral avec l'estran et la mer. Les historiens ruralistes et les sociologues ont largement démontré l'opérationnalité du concept de pluriactivité. Ce colloque a pour objectif de vérifier la pertinence de cette problématique dans les sociétés litorales du XVè au XXè siècles.

L'appel à communiquer se décline en cinq axes :

1. Les rapports à la terre et à la mer dans les sociétés littorales : modes de vie, contraintes ou choix ?

2. Encadrements institutionnels et encadrements professionnels, les rapports entre statut et activités.

3. Innovations techniques et professionnalisation.

4. Mutations sociales : structuration des professions maritimes, identités et clivages.

5. Les nouveaux usages du littoral et de la mer : continuité ou rupture ?

Les propositions de communication (environ 700 lignes) sont à adresser à :

Valérie Sauvaire, secrétariat du SOLITO jusqu'au 31 mars 2002.

Le comité scientifique :

G. Le Bouëdec (professeur d'histoire moderne, Université de Bretagne-Sud)
A. Geistdoerfer (directeur de recherche CNRS, laboratoire Technique et Culture)
F. Ploux (MCF histoire contemporaine, Université de Bretagne-Sud)
C. Cérino (ATER histoire moderne, université de Bretagne-Sud)
F. Chappé (MCF histoire contemporaine, université de Bretagne-Sud).
J. Matras-Guin (Chargé de Recherche CNRS, laboratoire Technique et Culture).