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Calenda - Le calendrier des lettres et sciences humaines et sociales

Suisse politique, Suisse savante, Suisse imaginaire

Politische Schweiz, gelehrte Schweiz, imaginierte Schweiz

Swiss politics, Swiss expertise and Switzerland in the imagination

Cohésion et disparité du Corps helvétique au XVIIIe siècle

Kohäsion und Disparität im Corpus helveticum des 18. Jahrhunderts

Cohesion and disparity of the Swiss corpus in the 18th century

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Publié le mardi 11 octobre 2016

Résumé

Le sentiment d’unité s’éprouve et se manifeste en Suisse bien avant à la Constitution fédérale de 1848, qui assure l’unification politique du pays. Au XVIIIe siècle en particulier, il est attesté par de nombreuses pratiques, sociales et lettrées, qui tendent à faire de la Suisse un espace national cohérent. L’ambivalence et la tension entre unité et diversité, entre cohésion et concurrence, entre le sentiment d’appartenance nationale et la défense obstinée des souverainetés cantonales, seront au cœur des questionnements du colloque.

Das Bewusstsein und das Gefühl von der Einheit der Schweiz waren schon lange vor der Inkraftsetzung der Bundesverfassung von 1848, als die politische Einigung verfassungsrechtlich zu einem Abschluss gelangte, klar ausgeprägt. Im 18. Jahrhundert artikulierte sich die Idee von der Schweiz als klar identifizierbarem nationalen Raum in zahlreichen gesellschaftlichen und kulturellen Zusammenhängen. Die wissenschaftliche Tagung will diese grundsätzliche Ambivalenz und das Spannungsverhältnis zwischen Einheit und Diversität, zwischen Kohäsion und Konkurrenz, zwischen dem Gefühl nationaler Zusammengehörigkeit des Corps helvétique und dem Beharren der Kantone auf ihren republikanischen Souveränitäten mit einem frischen, interdisziplinären Ansatz diskutieren.

Annonce

Colloque de la Société suisse pour l’étude du XVIIIe siècle (SSEDS), Neuchâtel, 23-25 Novembre 2017

Argumentaire 

Le sentiment d’unité s’éprouve et se manifeste en Suisse bien avant à la Constitution fédérale de 1848, qui assure l’unification politique du pays. Au XVIIIe siècle en particulier, il est attesté par de nombreuses pratiques, sociales et lettrées, qui tendent à faire de la Suisse un espace national cohérent : des encyclopédies, bibliographies, journaux, descriptions topographiques, ouvrages thématiques consacrés spécifiquement à la Suisse sont publiés ; des pratiques commerciales, industrielles, artistiques ou éducatives porteuses du label suisse se développent ; des discours de nature diverse, littéraires ou savants, contribuent à faire exister la Suisse comme une entité aux caractéristiques aussi fortes qu’identifiables. On remarque que des sciences particulières – la géologie, la botanique, par exemple – prennent la Suisse comme terrain d’étude et d’expérimentation spécifique, constituant le pays en espace pertinent pour l’exercice du savoir. Ces facteurs de cohésion apparaissent dans un Corps Helvétique politiquement très hétérogène. Divisions politiques, pluralité linguistique, divergences confessionnelles, grandes différences de prospérité économique selon les villes et les cantons, absence d’une monnaie commune et d'une force de défense centralisée, Diète fédérale aux compétences limitées : tels sont les traits marquants que soulignent les historiens lorsqu’ils décrivent la réalité socio-politique de la Suisse du XVIIIe siècle. En documentant ce qu’on a appelé « helvétisme » ou « mythe suisse », l’historiographie a montré par ailleurs la prégnance d’une conscience identitaire et d’un sentiment national qui font écho à une forme de cohésion du pays.

L’ambivalence et la tension entre unité et diversité, entre cohésion et concurrence, entre le sentiment d’appartenance nationale et la défense obstinée des souverainetés cantonales, seront au cœur des questionnements du colloque. Par-delà les ambitions promotionnelles, la mythographie élogieuse et l’imaginaire flatteur de la Suisse que cette historiographie a parfois véhiculés, il s’agira de reprendre à nouveaux frais, en privilégiant une approche pluridisciplinaire, l’examen des discours et des pratiques culturelles, sociales, politiques ou économiques qui ont pu produire des effets de cohérence et des dynamiques unificatrices, ou au contraire renforcer les divisions et différences internes. Dans le même esprit, on tiendra compte des textes et des actions qui marquent un recul avec les représentations d’une Suisse heureuse, solidaire ou idyllique, et qui prennent acte de leur caractère construit ou de leur inadéquation avec la réalité observable.

Axes thématiques

Issues d’horizons disciplinaires divers – histoire, histoire de l’art et des techniques, histoire de la littérature, histoire des idées politiques, histoire des sciences, histoire du droit, théologie, etc. –, les communications s’inscriront dans le cadre des orientations suivantes.

1.- Des sources nouvelles, ou des types de sources peu explorées, devront permettre de révéler des visions, descriptions ou représentations de la Suisse inédites. On peut penser aux sources privées, « egodocuments » et correspondances, aux curiosités littéraires (canulars, pamphlets, parodies, pastiches, etc.), aux récits, romans ou recueils de poèmes traitant de sujets politiques ou sociaux localisés dans l’espace helvétique. On pense aussi à des sources historiques et savantes de type cumulatif – histoire de la Suisse, histoire naturelle des Alpes, encyclopédies et bibliographies relatives à la Suisse, etc. –, dont on interrogera la fonction en termes de constitution du pays comme entité cohérente. Des publications périodiques pourront également être lues dans cette perspective.

2.- Des pratiques seront présentées et interrogées quant à leur rôle dans le processus de construction d’une cohérence nationale. En considérant la circulation des idées, des livres et des personnes, on se demandera selon quelles modalités s’articulent l’insertion de la Suisse dans une République européenne des lettres et la constitution d’un espace savant à l’échelle helvétique, et dans quelle mesure des lieux ou des institutions suisses sont reconnus, par les commentateurs de l’époque, comme les agents, les fédérateurs ou les promoteurs de certains savoirs au sein de l’Europe. D’autres pratiques pourront être étudiées dans le même sens, qu’elles soient artistiques, commerciales, éducatives, militaires, politiques, etc. Les formes de relations au sein de l’espace helvétique, entre les campagnes et les zones urbaines, entre les petites et les grandes villes, entre les cantons et les alliés, mériteront aussi l’attention : on pourra examiner en particulier la forme des relations politiques, diplomatiques, intellectuelles ou économiques qui se nouent entre les composants du Corps helvétique.

3.- L’unité politique de la Suisse étant en quelque sorte impensable au XVIIIe siècle, avant la création de la République Helvétique, on sera attentif aux sujets, images et représentations, de toute nature, qui permettent de nourrir le sentiment d’appartenance, de fédérer le dissemblable, de donner corps à un espace national perçu comme cohérent. On mentionnera à titre d’exemples l’étude par Elie Bertrand du substrat celtique des langues anciennes de la Suisse ; l’étude du peuple des Helvètes par les historiens ; les fictions légendaires dans les romans d’Isabelle de Montolieu ; la réputation de paradis des collectionneurs dont jouit la Suisse des Lumières ; le modèle de la communauté rurale idéale, inspiré de Hirzel ou de Rousseau ; le paysage alpestre assimilé à l’Arcadie ; etc.

Afin de favoriser la réflexion interdisciplinaire, les communications en tandem seront les bienvenues. Par exemple, un historien et un littéraire traitent ensemble du même sujet – le service étranger, la vie rurale, les habitudes de sociabilité intellectuelle, etc. Le comité scientifique recommande aux intervenants, individuels ou en tandem, de ne pas limiter leur communication à une simple étude de cas, afin d’articuler leur sujet et leur réflexion à la problématique générale du colloque.

La période prise en compte est le XVIIIe siècle. Les communications portant sur les années 1798 à 1848 seront cependant les bienvenues, dans la mesure où elles dialoguent avec des pratiques ou des discours hérités du XVIIIe siècle.

Modalités pratiques d'envoi des propositions 

Les communications individuelles seront limitées à 25 minutes, celles en tandem à 40 minutes. Les propositions, en français ou en allemand, comprendront environ 300 mots. Elles sont à adresser à Claire Jaquier (claire.jaquier@unine.ch) ou à André Holenstein (andre.holenstein@hist.unibe.ch).

Délai pour l’envoi des propositions : 15 novembre 2016.

Délai de réponse : début janvier 2017.

Comité scientifique

Rossella Baldi, Simona Boscani Leoni, Claire Gantet, André Holenstein, Claire Jaquier, Béla Kapossy, François Rosset, Timothée Léchot, Nathalie Vuillemin.

Adresse de contact

Claire Jaquier, Institut de littérature française, Faculté des lettres et sciences humaines, Espace Louis-Agassiz 1, CH – 2000 Neuchâtel.

URL : http://www.sgeaj.ch/fr/actualites/

Wissenschaftliche Tagung der Schweizerischen Gesellschaft für die Erforschung des Achtzehnten Jahrhunderts (SGEAJ), Neuchâtel, 23.-25. November 2017 

Fragestellung der Tagung und Einladung zur Einreichung von Referatskonzepten

Das Bewusstsein und das Gefühl von der Einheit der Schweiz waren schon lange vor der Inkraftsetzung der Bundesverfassung von 1848, als die politische Einigung verfassungsrechtlich zu einem Abschluss gelangte, klar ausgeprägt. Im 18. Jahrhundert artikulierte sich die Idee von der Schweiz als klar identifizierbarem nationalen Raum in zahlreichen gesellschaftlichen und kulturellen Zusammenhängen. Enzyklopädien, Bibliographien, Zeitschriften, topographische Beschreibungen sowie thematische Abhandlungen beschrieben die Schweiz in diesem Sinne. In Handel, Industrie und Gewerbe, in den Künsten oder im Erziehungswesen traten Bestrebungen in Erscheinung, die sich als wesensmässig schweizerisch verstanden. Literarische und gelehrte Diskurse stellten die Schweiz als ein Gebilde mit klaren Identitätsmerkmalen vor. Naturwissenschaften wie etwa die Geologie oder die Botanik machten die Schweiz zu ihrem Untersuchungsraum und experimentellen Laboratorium und definierten das Land damit als überzeugenden und sinnvollen Rahmen für wissenschaftliche Forschung. Während diese kulturellen, wissenschaftlichen und literarischen Bestrebungen die Einheit des Landes und die Zusammengehörigkeit seiner Glieder betonten, so vermittelte die politische, kulturelle und wirtschaftliche Verfassung des Corpus Helveticum im späten Ancien Régime alles andere als ein Bild der Einheitlichkeit und des nationalen Zusammenhalts: Uneinheitlichkeit und Gegensätze prägten die politischen Beziehungen zwischen den Gliedern des Corps helvétique, deren Bewohner unterschiedliche Sprachen sprachen. Das Verhältnis zwischen protestantischen und katholischen Landesgegenden war angespannt. Wirtschaft und Wohlstand der Bevölkerung waren regional sehr ungleich entwickelt. Es fehlten dem Land eine gemeinsame Währung oder eine gemeinsame militärische Verteidigungsorganisation. Die Tagsatzung – einzige gemeineidgenössische Einrichtung – verfügte nur über beschränkte Kompetenzen. Dies sind nur einige der hervorstechenden Merkmale, die die Historiker bei der Beschreibung der disparaten gesellschaftlichen und politischen Realität der Schweiz im 18. Jahrhundert hervorheben. Gleichzeitig hat die Geschichtsschreibung die Züge eines „Helvetismus“ bzw. eines „Mythos Schweiz“ herausgearbeitet, die als Ausdruck eines Identitätsbewusstseins und Nationalgefühls gedeutet werden dürfen und insofern auf Faktoren rückschliessen lassen, die dem Land trotz allem eine gewisse nationale Kohäsion verliehen.

Die wissenschaftliche Tagung will diese grundsätzliche Ambivalenz und das Spannungsverhältnis zwischen Einheit und Diversität, zwischen Kohäsion und Konkurrenz, zwischen dem Gefühl nationaler Zusammengehörigkeit des Corps helvétique und dem Beharren der Kantone auf ihren republikanischen Souveränitäten mit einem frischen, interdisziplinären Ansatz diskutieren. Es geht mithin um die Diskurse sowie die kulturellen, gesellschaftlichen, politischen und wirtschaftlichen Praktiken, die im 18. Jahrhundert einerseits die Kohäsion und die vereinheitlichenden Bestrebungen stärkten und andererseits die Gegensätze und die Uneinheitlichkeit im Land untermauerten. Dies soll ohne Werbeabsichten, aber auch fern von der verklärenden mythischen Sicht und den schmeichelhaften Vorstellungen geschehen, die die ältere Geschichtsschreibung bisweilen kennzeichneten. Vielmehr will die Tagung auch auf Texte und Praktiken aufmerksam machen, die sich von den Schilderungen der Schweiz als eines glücklichen, einigen, solidarischen oder idyllischen Landes distanzierten, indem sie den konstruktivischen Charakter dieser Vorstellungen entlarvten oder den Finger auf den Kontrast zwischen den Imaginationen und der faktischen Wirklichkeit legten.

Themen

Für die Tagung sind Beiträge aus den verschiedensten Disziplinen – aus dem Bereich der Geschichte, der Kunst- und Technikgeschichte, der Literaturgeschichte, der politischen Ideengeschichte, der Geschichte der Naturwissenschaften, des Rechts, der Theologie etc. – erwünscht, wobei sich diese an folgenden Leitfragen orientieren sollten.

  1. Mit der Vorstellung nicht bekannter Quellen oder noch wenig benutzter Quellentypen sollen Sichtweisen, Beschreibungen oder Vorstellungen der Schweiz präsentiert werden, die bislang nicht oder zu wenig bekannt waren. Zu denken ist dabei etwa an private und persönliche Quellen wie etwa Selbstzeugnisse (Ego-Dokumente) oder Korrespondenzen, an literarische Kuriositäten wie Scherze, Pamphlete, Parodien, Imitationen etc., an Erzählungen, Romane oder Gedichtsammlungen, die die politischen oder gesellschaftlichen Verhältnisse im schweizerischen Raum zum Thema machten. Zu denken ist auch an historische und wissenschaftlich-gelehrte Abhandlungen – wie etwa Darstellungen der Schweizer Geschichte, der Naturgeschichte der Alpen, spezifisch schweizerische Enzyklopädien und Bibliographien u.a.m. –, die auf ihre Bedeutung für die Stiftung der Vorstellung der Schweiz als einer zusammengehörigen Einheit befragt werden sollen. Auch Periodika kommen für eine derartige Betrachtung in Frage.
  2. Es interessieren Analysen von Praktiken, die auf die Stiftung eines Gefühls der Einheit und die Begründung spezifischer Vorstellungen von nationaler Zusammengehörigkeit abzielten. Die Untersuchung des Austauschs von Ideen und Büchern oder der Blick auf persönliche Netzwerke vermag zu erhellen, wie die Schweiz sich in die europäische Gelehrtenrepublik einfügte und wie sich das Land als Raum einer spezifischen Gelehrten- und Wissenschaftskultur konstituierte, der in der Wahrnehmung zeitgenössischer Beobachter als Akteur, Vermittler und Förderer eines spezifischen Wissens in Europa galt. Auch weitere Praktiken lassen sich in diesem Sinne untersuchen, seien diese künstlerischer, kommerzieller, pädagogischer, militärischer, politischer oder anderer Natur. Auch der Charakter der Beziehungen innerhalb des schweizerischen Raumes – jene zwischen Städten und ländlichem Raum, zwischen grossen und kleinen Städten, zwischen den Orten i.e.S. und deren Zugewandten Orten – soll Beachtung finden. So können insbesondere die politischen, diplomatischen, geistigen oder wirtschaftlichen Beziehungen betrachtet werden, die die verschiedenen Teile des Corps helvétique miteinander verbanden.
  3. Da die staatsrechtlich-politische Einheit des Corps helvétique bis zur Gründung der Helvetischen Republik ausserhalb des Horizonts des Denkbaren und Machbaren lag, will die Tagung den Themen, Bildern und Vorstellungen Beachtung schenken, die gleichwohl ein Gefühl der Zusammengehörigkeit stifteten, Ungleiches miteinander verbanden und einem Raum Gestalt verliehen, der in einem nationalen Sinn als Einheit vorgestellt werden konnte. In dieser Beziehung lassen sich exemplarisch Elie Bertrands Studie der keltischen Grundlagen der alten Sprachen der Schweiz, die zeitgenössischen historischen Studien zum Volk der Helvetier, die legendenhaften Fiktionen in den Romanen von Isabelle de Montolieu, der Ruf der Schweiz als einem Paradies für Sammler, die Vorstellung der Schweiz als ideale ländliche Gemeinschaft, wie sie von Hirzel oder Rousseau geprägt wurde, oder auch die Wahrnehmung der Alpenlandschaft als eines neuen Arkadien anführen.

Um dem interdisziplinären Ansatz der Tagung bestmöglich gerecht zu werden, sind gemeinsame Beiträge von Vertretern unterschiedlicher Fachrichtungen besonders willkommen. In diesem Sinne liessen sich Themen wie beispielsweise die Fremden Dienste, das Landleben, die Praxis gelehrter Geselligkeit u.a.m. gemeinsam aus der Sicht eines Historikers und einer Literaturhistorikerin erörtern. Das wissenschaftliche Tagungskomitee lädt die Referierenden – ob sie einzeln oder als Tandem vortragen werden – ein, sich nicht auf die Präsentation von Fallstudien zu beschränken, sondern ihr Thema konsequent und systematisch auf die übergeordnete Fragestellung der Tagung auszurichten.

Untersuchungszeitraum ist das Ancien Régime des 18. Jahrhunderts, doch sind auch Beiträge zum Zeitraum zwischen 1798 und 1848 möglich, sofern sie Themen und Aspekte behandeln, die in einer starken Traditionslinie zum 18. Jahrhundert stehen.

Vortragsvorschläge 

Für Einzelreferate sind 25 Minuten, für Gemeinschaftsreferate 40 Minuten vorgesehen. Konzepte für Tagungsbeiträge können auf Deutsch und Französisch (max. 300 Wörter) bis zum

15. November 2016 bei

Claire Jaquier (claire.jaquier@unine.ch) oder André Holenstein (andre.holenstein@hist.unibe.ch) eingereicht werden. Das wissenschaftliche Tagungskomitee wird dazu bis zum Anfang Januar 2017 Stellung beziehen. 

Wissenschaftliches Tagungskomitee

Rossella Baldi, Simona Boscani Leoni, Claire Gantet, André Holenstein, Claire Jaquier, Béla Kapossy, François Rosset, Timothée Léchot, Nathalie Vuillemin.

Kontaktadresse

Claire Jaquier, Institut de littérature française, Faculté des lettres et sciences humaines, Espace Louis-Agassiz 1, Schweiz – 2000 Neuchâtel.

URL: http://www.sgeaj.ch/aktualitat/

Lieux

  • Neuchâtel, Confédération Suisse (CH-2000)

Dates

  • mardi 15 novembre 2016

Mots-clés

  • Suisse, Lumières, représentations, identité, unité, disparité

Contacts

  • Timothée Léchot
    courriel : timothee [dot] lechot [at] unibas [dot] ch
  • Claire Jaquier
    courriel : claire [dot] jaquier [at] unine [dot] ch
  • André Holenstein
    courriel : andre [dot] holenstein [at] hist [dot] unibe [dot] ch

Source de l'information

  • Timothée Léchot
    courriel : timothee [dot] lechot [at] unibas [dot] ch

Licence

Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Suisse politique, Suisse savante, Suisse imaginaire », Appel à contribution, Calenda, Publié le mardi 11 octobre 2016, https://calenda-formation.labocleo.org/379450

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