StartseiteLes migrants africains dans le monde : entre déboires, identité et altérité culturelle

StartseiteLes migrants africains dans le monde : entre déboires, identité et altérité culturelle

Les migrants africains dans le monde : entre déboires, identité et altérité culturelle

African migrants in the world: between setbacks, identity and alternative culture

« Cahiers du CELHTO », n°4

“CELTHO papers”, No. 4

*  *  *

Veröffentlicht am lundi, 05. mars 2018

Zusammenfassung

La revue inter-africaine Les Cahiers du CELHTO, publiée par le Centre d’études linguistiques et historiques par tradition orale (CELHTO), un bureau spécialisé de la commission de l’Union africaine (UA) basé à Niamey au Niger, lance à l’endroit de toute la communauté des ecnseignants-chercheurs et des chercheurs, un appel à contribution en vue de la publication de son quatrième numéro, appelé à paraître en décembre 2018. Cette revue se veut être un organe de publication, mieux, un instrument d’échanges inter et intra disciplinaire, un espace dont l’objectif principal est de susciter, dans les rangs de la communauté des enseignants-chercheurs et des chercheurs, notamment africains, des réflexions scientifiques de fond sur des sujets ayant trait à la culture, aux savoirs savants et profanes, et aux questions connexes, liées au développement.

Inserat

Argumentaire

Nul ne peut évoquer la question des migrants africains aujourd’hui sans penser principalement et, a priori, aux migrations dites illicites. D’origine subsaharienne notamment, ce type de migration qualifié de clandestine, occupe de nos jours une place importante dans les discours politiques et médiatiques. Parfois, pendant de longs mois, de jeunes africains, hommes et femmes avec enfants, risquent tout, y compris leur vie, pour entreprendre un périlleux périple qui leur fait traverser des dizaines de frontières et les dangereux courants de la Méditerranée, à la recherche d’une vie meilleure dans un pays du Nord. Certains y laissent leur vie ; d’autres sont renvoyés chez eux et d’autres encore qui atteignent leur destination, comprennent que leur existence n’y sera pas forcément plus facile. Mais étant donné le manque d’emplois (parfois les crises sociopolitiques) et les sombres perspectives auxquels ils sont confrontés dans leur pays, des millions de jeunes africains préfèrent encore l’exode, souvent clandestin.

Le 14 novembre 2017, la diffusion des images furtives d'une vente aux enchères nocturne de jeunes africains dans la région de Tripoli sur l’une des plus grandes chaines télévisées américaines, CNN, a suscité une onde de chocs, en se propageant comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. Face au tollé, des voix se sont fait entendre pour dénoncer un « crime d’une autre époque » rappelant les trois siècles noirs de la traite transatlantique. Ainsi, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est dit "horrifié", le président de l'Union africaine Alpha Condé "indigné", l'Union européenne "révoltée" et la France a réclamé une réunion "expresse" du conseil de sécurité de l'ONU sur la question. Le choc produit par le phénomène est si fort qu’il a fait objet de réflexion et de débat lors du 5e Sommet Union africaine-Union européenne, organisé à Abidjan les 29 et 30 novembre 2017. D’importantes décisions sont prises dans l’optique de régler cette crise.

La diffusion de ces images de ventes de migrants Noirs n’a, en fait, fait que relayer avec plus d’autorité la faible voix des organisations de défense des droits de l’Homme, de l’Organisation Internationale pour les Migrations(OIM), des médias, etc. dénonçant un phénomène en cours depuis plusieurs mois sur la base des témoignages des victimes et témoins.

Cette traite des Noirs s’inscrit dans les déboires que subissent les migrants africains sur le chemin de leur migration vers l’Europe, où ils espéraient mieux vivre. Ils sont victimes des réseaux de passeurs organisés avec des ramifications dans les pays de départs jusqu’à la Méditerranée avec pour point principal de transit, la ville d’Agadez au centre du Niger. Cet itinéraire, les réseaux de passeurs, les drames survenus dans le désert ne sont un secret pour personne. Ils sont souvent révélés ou rappelés comme lors d’un Colloque organisé par l’Université d’Agadez avec l’appui financier de l’État nigérien et de l’Union européenne, du 12 au 14 décembre 2016, sur Les dynamiques migratoires en Afrique de l’Ouest : histoire, flux et enjeux actuels. Mais les menaces terroristes en cours dans le Sahel et le Sahara et le défis de la réduction de la pauvreté sont, entre autres, les points de blocage pour le démantèlement de ces réseaux. Les déboires des migrants sur le parcours, sont presque mis sous éteignoirs médiatiques au profit de leurs drames qui surviennent dans la Méditerranée depuis plusieurs années. Ces migrants dont les politiques de préférence initiées par les gouvernants de leurs pays de départ les mettent en situation d’exclusion, sont victimisés.

Ceux qui, contre vents et marées, parviennent à prendre pied dans les pays d’accueil, sont généralement en situation dite illégale et font face à l’épineux problème d’insertion et de cohabitation froide avec les occupants des lieux. On se rappelle encore de la vague de fusillades des Noirs aux États-Unis ainsi que du déferlement des dizaines de milliers d’Israéliens qui, le 23 mai 2012, ont unanimement réclamé le départ des immigrés noirs de leur territoire.

À l’intérieur du continent africain, les migrants africains ne sont pas mieux traités. En dehors du cas libyen sus-évoqué, le cas le plus récurrent est celui de l’Afrique du Sud. Ce pays qui a ployé, pendant longtemps sous l’apartheid, a plongé, à peine l’apartheid aboli, sous une nouvelle forme de ségrégation. Non seulement les Blancs mais aussi et surtout des Noirs non sud-africains sont pris pour cible. Provenant du Mali, du Malawi, du Congo, du Mozambique, etc., vivant dans les townships, s’adonnant au petit commerce et acceptant de faire les travaux que les Sud-africains refusent de faire, ces Noirs non sud-africains sont ciblés par les xénophobes de ce pays. On se souvient encore des pertes en vies humaines occasionnées par la vague de xénophobie en Afrique du Sud ayant occasionné 62 morts en 2008. Parfois, ces actes sont entérinés par un discours officiel complice[1].

L’Algérie n’est pas en reste. Dans ce pays, les ressortissants des autres territoires africains sont considérés comme faussaires, escrocs, trafiquants de drogue, porteurs de maladies menaçant la santé publique, etc. À ce titre, ils sont souvent victimes de xénophobie de la part des natifs des lieux.

On voit ainsi que, malgré tout le discours sur les aspects positifs des migrations à travers le monde, où les migrants contribuent, dans bien des cas, au développement socioéconomique aussi bien de leur pays d’origine que de leur pays d’accueil, les migrants en général et les Noirs en particulier, continuent d’être objet de déboires divers. Or, nous vivons dans un monde globalisé et l’économie-monde que l’on appelle de tous les vœux est censée produire des citoyens globaux[2], avec une nouvelle sociologie des mobilités[3].

Au-delà des problèmes de survie et de respect des droits du migrant que posent ces genres de situations, les déboires liés aux migrations à l’échelle de la planète relancent le débat de l’altérité culturelle et de l’identité. Ce débat, relativement ancien, a été abordé, entre autres, par Iain Chambers, dans son ouvrage intitulé Migrancy, Culture, Identity, paru en 1994. Dans cet ouvrage dont le compte-rendu a été présenté par Claire Sallaberry[4], l’auteur montre que, dans un espace de plus en plus mobile du fait de la mondialisation, les frontières deviennent poreuses, amenant le migrant à faire face à une nouvelle forme de flexibilité, ce qui remet sans doute en question les composantes de son identité. Or, poursuit l’auteur, à cause d’une certaine peur grandissante de « l'autre », les cultures majoritaires (généralement natifs des lieux) finissent par percevoir le « migrant comme une menace politique, culturelle et ontologique ». On se retrouve ainsi, au plan culturel, devant non seulement une certaine incompréhension, mais aussi et surtout une négation abjecte de l'altérité due à l'amalgame opéré par la majorité envers les cultures minoritaires.

Le présent numéro de Les Cahiers du CELHTO se propose donc de se saisir de ce sujet d’actualité sur les migrations et de le traiter sous l’angle culturel et identitaire. En conséquence, la rédaction de la revue souhaite avoir des contributions originales et libres sur ces questions. Les chercheurs et enseignants-chercheurs, africains ou non, intéressés par cette thématique sont donc invités à soumettre des articles originaux de fond à la rédaction de ladite revue, suivant les axes non exhaustifs ci-après :

  • Migrations et identité : approches théoriques et conceptuelles ;
  • Migrations, mondialisation et africanités ;
  • Les constructions identitaires en situation de migration ;
  • Les imageries cultuelles sur le migrant africain ;
  • Identité culturelle du migrant africain à travers la littérature ;
  • Les biens culturels en situation de migration ;
  • Le patrimoine matériel et immatériel africain face à la question des migrations ;
  • Les cultures africaines à l’épreuve des migrations ;
  • etc.

Calendrier et modalités de soumission

  • Du 31 janvier au 30 avril 2018 : réception des contributions originales ;

  • Du 1er mai au 31 août 2018 : évaluation des articles ;
  • Du 1er au 30 septembre 2018 : correction par les auteurs des articles retenus ;
  • Octobre-novembre 2018 : travail de rédaction ;
  • Fin décembre 2018 au plus tard : parution de la revue.

NB : Pour ce numéro, seuls les 15 meilleurs manuscrits retenus par le Conseil scientifique de la revue seront publiés. Les auteurs sont invités à rédiger leur manuscrit selon les normes du CAMES (Norcames) pour laquelle a opté la revue Les Cahiers du CELHTO, contenues dans le présent ouvrage. Le non-respect scrupuleux de ces normes est éliminatoire.

Les manuscrits doivent être envoyés aux adresses suivantes : cahiers.celhto@gmail.comavec copie à publications@celhto.org

Les droits de publication

Une fois l’article accepté par le comité de rédaction, l’auteur entre en contact avec la rédaction de la revue pour l’acquittement des droits de publication.

Les Cahiers du CELHTO étant une revue de recherche et d’information éditée sans but lucratif, les auteurs ne percevront pas de versement de droits.

Épreuves et publications

Avant publication, l’auteur reçoit par courrier électronique un jeu d’épreuves à vérifier. Il doit les retourner corrigées sous huitaine à la rédaction. Seules les corrections typographiques sont admises sur les épreuves.

L’auteur reçoit, après parution, le tiré-à part de son article en version électronique au format PDF. Il pourra recevoir, sur demande, un exemplaire de la revue en payant les frais d’expédition.

Les articles sont la propriété de la revue et peuvent faire l’objet, avec l’accord de l’auteur, d’une mise en ligne.

Chaque membre du comité scientifique et de lecture recevra gracieusement un exemplaire de chaque numéro de la revue.

Équipe éditoriale de la revue

Directeur de publication

  • M. Somé Magloire, Professeur Titulaire d’Histoire, Université Ouaga 1 Pr Joseph KI-ZERBO (Burkina Faso)

Président du Comité scientifique

  • M. Mouckaga Hugues, Professeur Titulaire d’Histoire, Université Oumar Bongo de Libreville (Gabon)

Rédacteur en chef 

  • M. Tsigbé Koffi Nutefé, Maitre de Conférences, Histoire contemporaine, Université de Lomé (Togo)

Comité de rédaction

  • M. Gnaléga Benjamin, Chargé de programme , CELHTO, Niamey (Niger)
  • M. Akue Adotevi Mawusse Kpakpo Maitre de Conférences, Philosophie, Université de Lomé (Togo)

Normes éditoriales

Les articles à soumettre à la revue doivent être conformes aux normes ci-dessous décrites.

Présentation générale des manuscrits

Chaque projet d’article doit être envoyé sous la forme d’un document Word d’un maximum de 50 000 signes (espaces et notes comprises), police Garamond, taille 12 (pour le corps de texte, 10 pour les notes de bas de page et 11 pour les citations en retrait), interligne 1,5, avec la mise en forme la plus simple possible (pas de styles, de puces ou de retraits, mais des alinéas au début de chaque paragraphe).

L’ordre logique du texte doit respecter le canevas suivant :

  • un titre bref ;
  • une signature comportant le(s) nom(s) de(s) l’auteur(s) en majuscules et le ou les prénoms en minuscules avec une initiale majuscule, le nom et l’adresse complète de l’institution d’attache, le courriel et le téléphone de l’auteur présenté avec l’indicatif international ;
  • un résumé en français et en anglais de 10 lignes au maximum ;
  • un minimum de trois et un maximum de cinq mots clés ;
  • une introduction ;
  • un développement ;
  • une conclusion ;
  • une partie source et bibliographie.

Les articulations du développement du texte sont à titrer et/ou à sous-titrer  de la façon suivante :

1. pour le titre de la première section ;

1.1. pour le sous-titre de la première sous-section ;

1.2. etc.

2. pour le titre de la deuxième section ;

2.1. pour le sous-titre de la deuxième sous-section ;

2.2. etc.

Les sous-sous-titres sont à éviter autant que possible.

La conclusion doit être brève et insister sur les résultats et l’apport original de la recherche.

Les langues de publication de la revue sont le français et l’anglais. La publication d’un texte en une langue autre que le français et l’anglais est soumise à autorisation exceptionnelle de l’administration de la revue. Les termes étrangers au français et à l’anglais sont en italique et sans guillemets.

La revue s’interdit l’usage du soulignement qui est remplacé par la mise en italique.

La présentation des figures, cartes, graphiques, … doit respecter le miroir de la revue qui est de 16x24 cm. Ces documents doivent porter la mention de la source, de l’année et de l’échelle (pour les cartes).

Les siècles sont indiqués en chiffres romains, lettres capitales, suivies d’un « e » en exposant et d’un espace insécable.

Ex. : XXsiècle.

Les majuscules sont accentuées.

Pour les citations, utiliser les guillemets français suivis ou précédés d’un espace insécable « », et les guillemets anglais simples pour les citations à l’intérieur de citations ‘’.

Lorsqu’une citation dépasse quatre lignes, il faut la détacher du corps de texte. Dans ce cas, elle n’est ni précédée, ni suivie de guillemets. L’interligne est simple et la taille de la citation est de 11.

Les appels de notes sont des chiffres arabes en exposant, sans parenthèses, placés avant la ponctuation et à l’extérieur des guillemets pour les citations.

Pour la définition des sigles et acronymes, seule l’initiale du premier mot est en majuscules, en moins qu’il s’agisse d’un nom propre ou d’institutions.

EX1 : CELHTO : Centre d’études linguistiques et historiques par tradition orale.

EX2 : AUF : Agence universitaire de la Francophonie (Francophonie étant un nom propre d’institution, l’initiale est en majuscule).

Présentation des sources et bibliographie

La référence bibliographique adoptée est celle intégrée au texte. Elle se présente comme suit : (nom de l’auteur avec une initiale en majuscule, virgule, année de publication (deux points) : page à laquelle l’information a été prise).

Ex : (Gnalega, 2015 : 15).

Sous la rubrique sources et bibliographie, les sources consisteront à montrer, d’une façon détaillée, les sources orales et autres documents primaires ou de première main consultés et/ou cités. Elles sont à présenter comme suit :

Pour les sources orales : dans l’ordre alphabétique des noms des informateurs, dans un tableau comportant un numéro d’ordre, nom et prénom des informateurs, la date et le lieu de l’entretien, la qualité et la profession des informateurs, leur âge ou leur date de naissance.

Pour les archives, il convient de mentionner en toutes lettres, à la première occurrence, le lieu de conservation des documents suivi de l’abréviation entre parenthèses. C’est l’abréviation qui est utilisée dans les occurrences suivantes :

Ex. : Paris, Archives nationales (A.N.), 77, dossier 47 (artistes).

Archives des Musées Nationaux (A.M.N.), dossier de carrière, O275, fol. 1-149.

Bordeaux, Archives municipales (A.M. Bordeaux)

Ne pas oublier de préciser la cote et la pagination des documents cités (fol. pour les documents manuscrits).

Pour les autres cas, merci de respecter les modèles suivants :

  • Ouvrages 

Arasse D., 1999, L’Annonciation italienne. Une histoire de perspective, Paris, Hazan.

Seconde édition d’un ouvrage traduit :

Belting H., 1998 (Munich 1993), Image et culte. Une histoire de l’art avant l’époque de l’art, Paris, Le Cerf.

Si la seconde édition a eu lieu dans la même ville que la première édition, indiquer seulement la date de la première entre parenthèses.

Belting H., 1998 (1993), Image et culte. Une histoire de l’art avant l’époque de l’art, Paris, Le Cerf.

  • Ouvrages collectifs 

Assima-Kpatcha E. et Tsigbé K. N. (éd.), 2013, Le refus de l’ordre en Afrique et au Togo, Lomé, Les presses de l’Université de Lomé.

Si les directeurs de l’ouvrage sont plus de trois, faire suivre ces trois noms de « et al. ».

  • Catalogues d’exposition 

Martinez J.-L., A. Pasquier (éd.), 2007, Praxitèle (cat. exposition : Paris, 2007), Paris, Musée du Louvre/Somogy.

  • Actes de colloque

Capodieci L., Ford P. (éd.), 2011, Homère à la Renaissance : mythe et transfigurations (actes de colloque : Rome, 2008), Paris/Rome, Somogy/Académie de France.

  • Mémoires de recherche et thèses de doctorat

Salvi C., 2005, Recherches sur Jean-Baptiste Monnoyer, peintre de fleurs, mémoire de DEA sous la direction d’Antoine Schnapper, Université Paris-IV (Paris Sorbonne).

  • Articles de revue

Blau È., 2008, « L’urbanisme et l’architecture des villes d’Europe centrale pendant la première moitié du XXe siècle », Perspective, n° 3, p. 409-440. (Attention, ne pas mettre pp.)

  • Articles d’ouvrages collectifs, d’actes de colloque ou de catalogue d’exposition :

Camille M., 2000, « Before the Gaze. The Internal Senses and Late Medieval Practices of Seeing », dans R. Nelson (dir.), Visuality Before and Beyond the Renaissance. Seeing as Others Saw, Cambridge, Cambridge University Press, p. 197-223.  (Attention: le titre de l’article doit être suivi de « dans » pour les articles en français et « in » pour les articles en anglais).

Les normes anglaises sont respectées pour les ouvrages anglo-saxons : les noms, adjectifs et verbes prennent une majuscule, pas d’espace avant les signes de ponctuation.

Moxey K., 1994, The Practice of Theory: Poststructuralism, Cultural Politics, and Art History, Ithaca/Londres, Cornell University Press.

Les noms des traducteurs ne sont précisés que pour les sources anciennes :

Ovide A., 1992, Les métamorphoses, Lafaye G. (trad.), Paris, Gallimard.

Le non-respect des normes éditoriales peut entraîner le rejet d’un projet d’article.

Contact

Les Cahiers du CELTHO, Revue du Centre d’études linguistiques et historiques par tradition orale, Niamey, Niger, B. P. : 878 Niamey (Niger) - Téléphone : (00227) 20 73 54 14  -  Fax : (00227) 20 73 36 54 E-mail : publications@celhto.org – Site Web : www.celhto.org

Notes et références

[1]Le Monde Afrique, « Manifestation anti-immigrés et vague de xénophobie en Afrique du Sud
Disponible sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/24/manifestation-anti-immigres-et-vague-de-xenophobie-en-afrique-du-sud_5084908_3212.html#q5Mk0LkjWsYtkte3.99

[2] J. ROTBLAT, World Citizenship. Allegiance to Humanity, Londres, Macmillan, 1997.

[3] J. URRY, Sociologie des mobilités. Une nouvelle frontière pour la sociologie ? Paris, Armand Colin, 2005.

[4]Claire Sallaberry, « Migration, Culture et Identité », Les Cahiers du MIMMOC [En ligne], 5 | 2009, mis en ligne le 20 juin 2010, consulté le 10 janvier 2018. URL : http://journals.openedition.org/mimmoc/458

[5] Les normes de la Revue Histoire de l’art, INHA, Paris et celle de la Revue Educom de l’Université de Lomé ont servi de base à la rédaction du présent document.

[6]Le Monde Afrique, « Manifestation anti-immigrés et vague de xénophobie en Afrique du Sud
Disponible sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/24/manifestation-anti-immigres-et-vague-de-xenophobie-en-afrique-du-sud_5084908_3212.html#q5Mk0LkjWsYtkte3.99

[7] J. ROTBLAT, World Citizenship. Allegiance to Humanity, Londres, Macmillan, 1997.

[8] J. URRY, Sociologie des mobilités. Une nouvelle frontière pour la sociologie ? Paris, Armand Colin, 2005.

[9]Claire Sallaberry, « Migration, Culture et Identité », Les Cahiers du MIMMOC [En ligne], 5 | 2009, mis en ligne le 20 juin 2010, consulté le 10 janvier 2018. URL : http://journals.openedition.org/mimmoc/458

[10]The standards of the Review Histoire de l’art, INHA, Paris and those of the Review Education of the University of Lomé were used as a basis for the writing of this document.

Orte

  • Niamey, Niger (878)

Daten

  • lundi, 30. avril 2018

Schlüsselwörter

  • migration, déboire, identité

Verweis-URLs

Informationsquelle

  • Komi Yves TUBLU
    courriel : tublu [at] africa-union [dot] org

Zitierhinweise

« Les migrants africains dans le monde : entre déboires, identité et altérité culturelle », Beitragsaufruf, Calenda, Veröffentlicht am lundi, 05. mars 2018, https://calenda-formation.labocleo.org/435176

Beitrag archivieren

  • Google Agenda
  • iCal
Suche in OpenEdition Search

Sie werden weitergeleitet zur OpenEdition Search