Le prix Henry-E. Sigerist a été créé en 1967 par M. et Mme Guggenheim-Schnurr de Bâle pour récompenser les jeunes auteurs d’excellents travaux de recherche en histoire de la médecine et des sciences naturelles.

Présentation

Prix mis au concours par La Société Suisse d'Histoire de la Médecine et des Sciences Naturelles (SSHSMN)

Le jury du Prix Henry-E. Sigerist encourage les auteurs de travaux d’histoire de la médecine et d’histoire des sciences naturelles, à concourir. Les manuscrits ou travaux publiés depuis moins de deux ans qui font partie de l’un ou de l’autre des catégories qui suivent sont admissibles :

• des articles publiés dans des revues spécialisées;
• des thèses de doctorat ayant été soutenues;
• des livres publiés;
• d’autres types de travaux, sélectionnés par le jury ou portés à son attention par des tiers.
• Le montant du prix est de CHF 2000.

Modalités de candidature

Les textes doivent être rédigés en allemand, en français, en italien ou en anglais et doivent être liés d’une manière ou d’un autre à la Suisse : soit par l’auteur, l’institution ou le contenu. La lauréate ou le lauréat ne devrait en règle pas être âgé de plus de 36 ans. Des travaux qui ont déjà été récompensés par d’autres prix n’entrent pas en considération. Les thèses, les livres et les autres types de travaux seront accompagnés d’un résumé de 5 pages au maximum.

Le règlement du prix est publié sur le site www.sggmn.ch.

Les candidatures (2 exemplaires des travaux, résumé et CV de l’auteur) doivent parvenir,

avant le 15 Avril 2020,

au président du jury:

Dr Philip Rieder

Institut éthique histoire humanités

Centre Médical Universitaire

Case postale

1211 Genève 4

Tél: 021 379 46 03

Philip.rieder@unige.ch

Jury

Dr Philip Rieder, IEH2, Université de Genève

Membres:

• Dr Pascal Germann, Institut für Medizingeschichte, Université de Berne
• Dr Maria Dorothée Boehmer, Institut für Biomedizinische Ethik und Medizingeschichte,Universität Zürich
• Prof. Martina King, Chaire des Medical Humanities, Université de Fribourg
• Dr Aude Fauvel, Institut des humanités en médecine (IHM), Université de Lausanne